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Roodkloosterbeek
Illustration
Le petit étang du Lange Gracht. Au fond derrière la digue, le grand étang du Lange Gracht.
Carte.
le Roodkloosterbeek, ses sources, ses étangs
Caractéristiques
Longueur 6,5 km
Bassin 11,5 km2
Débit moyen 0,05 m3/s
Cours
Source principale source du Sylvain
· Coordonnées 50° 48′ 37″ N, 4° 27′ 27″ E
Source secondaire source de l'Empereur
· Coordonnées 50° 48′ 34″ N, 4° 27′ 15″ E
Confluence la Woluwe
· Localisation rue Jacques Bassem, 28
· Coordonnées 50° 48′ 53″ N, 4° 25′ 42″ E
Géographie
Principaux affluents
· Rive gauche Trois Fontaines / Dry Borren
· Rive droite Sluipdelle (intermittent)
Pays traversés Drapeau de la Belgique Belgique
Régions traversées Région bruxelloise
Principales localités Auderghem

Le Roodkloosterbeek est un ruisseau de Belgique alimentant le bassin de l'Escaut. Il prend sa source en forêt de Soignes, dans la périphérie de Bruxelles. Il est alimenté par plusieurs sources dont celle du Sylvain, celle dite de l'Empereur et celle des Trois Fontaines. Il traverse les cinq étangs aménagés au fil des siècles qui entourent l'ancien Prieuré du Rouge-Cloître. Il passe par le parc du Bergoje et rejoint la Woluwe voûtée rue Jacques Bassem.

Toponymie modifier

Son nom est composé du nom du prieuré, "Het Rood Klooster" en néerlandais suivi de "beek", qui signifie "ruisseau"[1].:p66

Une origine possible de "rood klooster" est Roode Cluse [ou Kluis], c’est-à-dire l’Ermitage rouge devenu plus tard "Roeden Clooster". La couleur rouge de l'hermitage provenait de l'enduit rouge fait à base de tuiles pilées. Lorsqu’il est devenu prieuré (ayant nécessairement un cloître) l'attribut rouge est resté.

Cours modifier

Le vallon du Roodkloosterbeek commence à Jezus-Eik (50.790503 N, 4.48051 Est). Le talweg suit Onze-Lieve Vrouwweg, Kleine Flossenweg, puis la Vijversweg (chemin des Etangs, sentier de grand randonnée N° 579). Ce vallon a été creusé lors des dernières glaciations, il y a environ 10.000 ans. Son apparence n'a pas changé depuis, aucune intervention humaine sur le relief n'ayant eu lieu [2]:p4 [3]:p182.


Ces quatre premiers km en Forêt de Soignes ne comportent aucune source permanente.[1]:p78-79

Le Roodkloosterbeek à l'amont de l'ancien Prieuré de Rouge-Cloître
Point nom commentaires
Source du Sylvain
Source de l'Empereur
31 Petit étang des Clabots (Etang N°1)
32 Grand étang des Clabots (Etang N°2)
33 Mare des Clabots
34 Etang du Moulin (Etang N°3) étang de pêche

La nappe phréatique apparaît au contact des sables bruxelliens et et des argiles yprésiennes imperméables sous-jacentes. [4]:p7 Elle va alimenter des fossés, des dépressions, des sources, certaines cachées au fond du chapelet d'étangs. Le site a compté jusqu'à quinze étangs, une dizaine sont encore visibles sur la carte de 1771 (Ferraris). Il en reste cinq aujourd'hui.

La première source permanente (rive gauche) est la source du Sylvain. Sylvain fait référence au dieu des forêts la Roma antique et est aussi le surnom du peintre René Stevens cofondateur de la Ligue des amis de la Forêt de Soignes. Un médaillon de bronze à son effigie a été inauguré en 1936.

La température de l'eau est constante et paraît donc fraîche en été, et chaude en hiver.[5]:PI 10

Le Roodkloosterbeek suit le vallon des Grandes Flosses (Grote flossenweg) le long du chemin des Etangs. Son débit augmente à la hauteur de la source de l'Empereur. Ce nom serait dû au fait que l'empereur Charles Quint s'y serait désaltéré et en aurait apprécié la qualité [1]:p78-79 [5]:PI 8. C'est sans doute cette source qui se prénommait précédement "Clabots borre".[6]:p359

Ces deux sources permanentes récoltent les eaux de la nappe phréatique au point le plus bas de la Forêt de Soignes (altitude 60 m.).[3]:p183 [2]:p6 [5]:PI 9

La réserve naturelle commence dans la partie aval du vallon des Grands Flosses. Une source de moindre importance a creusé un étroit sillon pour rejoindre le Roodkloosterbeek[7].

A partir de cet endroit, les moines du Prieuré ont aménagé la vallée par des étangs et du maraîchage. Les lits de terre bombés, disposés en arêtes de poisson encore légèrement visibles en témoigneraient.[2]:p7. Bien qu'elles aient été travaillées par l'homme, cette zone et la zone forestière au Nord du ruisseau sont classées "réserve forestière".[1]:p64 [8]

Le petit étang des Clabots (rive gauche - étang N°1) est alimenté par un affluent, le ruisseau des Trois Fontaines. Ses eaux rejoignent le grand étang des Clabots (étang N°2).[4]:p7. Leurs abords ont été remis dans leurs états naturels et ne sont plus accessibles. Un ponton d'observation a été aménagé.[8]:p5

L'étang en aval s'appelle l'étang du Moulin (étang N°3). Son trop- plein servait de force motrice au moulin du Prieuré bâti intra-muros. Cet étang est réservé à la pêche (goujons, carpes, brochets ...) avec des abords aménagés. Il est hors réserve naturelle.

La mare des Clabots (300 m2, rive droite) a été creusée par les moines afin de pouvoir édifier la digue qui sépare les étangs N°2 et N°3. Cette digue était continuée par un chemin jusqu'au Château de Trois-Fontaines.

Le relief accentué de la rive droite est dû aux anciennes carrières et fronts de taille d'où ont été extraits le beau grès blanc et les pierres calcaires qui ont servi à bâtir les différents bâtiments du Prieuré au fil des siècles.

Le Roodkloosterbeek dans l'ancien Prieuré de Rouge-Cloître (Intra muros)
Point nom commentaires
Source des Pierres alimente les viviers et la Fontaine
Source du bassin ornemental
Source de la Basse-Cour quartier agricole

Le prieuré fut fondé au XIVème siècle par un groupe d'ermites. Ils suivirent la règle de saint-Augustin comme chanoines réguliers de saint-Augustin[9]. Leur vie contemplative impliquait d'être coupé du monde profane, de vivre en autarcie.[6]:p359

L'emplacement de l'ermitage initial à l'entrée du vallon (au lieu dit de Bruxkens cluse) fut jugé trop bas et trop marécageux. [6]:p366 Le nouveau choix fut des plus judicieux car étaient là à disposition les ressources de la forêt, de l'eau de source à profusion, du calcaire et du grès pour les bâtiments, le ruisseau pour le moulin, le maraîchage, les étangs poissonneux.[10]:p5

Le moulin à eau indispensable fut construit pour moudre le blé et presser l'huile (diplôme de la duchesse Jeanne, le 12 avril 1398)[6]:p358. Suite à des inondations catastrophiques en 1436, un pertuis voûté fut créé en 1477. Il commence à l'aval du moulin, alimentait en eau l'infirmerie, la brasserie, la boulangerie, bâtiments aujourd'hui disparus, [10]:p8-9 la gravure de de Doncker annotée visibles comme le pertuis sur le plan Culp de 1786[11]. Le Roodkloosterbeek redevient à ciel ouvert à la porterie.

À la suite de l'Édit autrichien de 1783, aux révolutions brabançonne et française, le site fut découpé en lots et livré aux spéculateurs entre 1798 (enchère aux chandelles le 11 janvier) et 1804. [12]:p107-113

Au XIXème siècle la force motrice du moulin et les divers bâtiments du prieuré servirent successivement à des filatures de coton,[5]:PI 17 sur la carte Vandermeulen, à une teinturerie[6]:p358, à une menuiserie, une scierie de marbre et de pierre blanche.[12]:p119 La maison du meunier abrita une forge.[12]:p127.

Les étangs sont loués avec ou sans droits de chasse.

Une première machine à vapeur et une chaudière fonctionnent dès 1858.[12]:p127 Le moulin, cependant tourne encore et se perfectionne. Il est vendu en 1874 muni de "deux paires de meule, trois pierres de meule dont une horizontale".[12]:p131 Abandonné, il s'écroula en 1887.[12]:p135

Après son acquisition par l'Etat en 1910, le site fut classé en 1959 et devint propriété de la Région de Bruxelles-Capitale en 1992.[10]:p13-14. Entre 1997 et 2009, les études archéologiques [13] et les différents chantiers entrepris ont transformé le site en ce qu'il est actuellement (2023): une évocation de l'époque baroque telle que présentée sur la gravure de Petrus De Doncker de 1725. Bruxelles-Environnement (IBGE) s'occupe des espaces non-bâtis.

Le pertuis a été rénové et est doublé par une conduite ovoïde. Ce 2ème trop-plein de l'étang de pêche est situé à la Kalkpoort. L'ovoïde débouche au petit étang du Lange Gracht près de la Porte de la Ferme.

Trois viviers ont été recréés; ils sont alimentés par la Steenborre (source des Pierres) via une canalisation. Initialement, pour rendre habitable cette plaine marécageuse, les chanoines firent capter les sources et draîner le terrain. Lorsqu'en 1804, les viviers furent comblés, l'eau ne put plus s'évacuer et les fondations des bâtiments furent attaqués par l'humidité.[12]:p111

Cette Steenborre ou source des Pierres est située au-dessus de la maison du Meunier. Depuis 2010 son eau alimente également par gravitation, la belle fontaine située dans la cour d’honneur, à côté de la Maison du Portier[7]. Cette fontaine fut reconstituée avec les pierres mises à jour au cours des fouilles archéologiques de 2006. [10]:p11

A proximité de la Maison du Meunier, un beau bassin ornemental rectangulaire présente une eau d’une grande clarté. Cette eau rejoint le Roodkloosterbeek voûté à cet endroit[7].

Dans le coin opposé du site se trouve le quartier agricole, là se situe la source de la Basse-Cour contre le mur du Centre d'Art protégée par une grille[7].Elle alimente directement le petit étang du Lange Gracht.

Le Roodkloosterbeek à l'aval de l'ancien Prieuré de Rouge-Cloître
Point nom commentaires
35 Petit étang du Lange Gracht (Etang N°4)
36 Grand étang du Lange Gracht (Etang N°5)
37 Mares - Jardin botanique Jean Massart
38 Etang Parc du Bergoje

Le petit étang du Lange Gracht (étang N°4) est alimenté de plusieurs façons; Il récolte l'eau du Roodkloosterbeek par le pertuis et l'ovoïde. Une canalisation apporte l'eau de la source de la Basse-Cour. Deux petites sources affleurent au bas du mur d'enceinte.

Son aspect actuel, comme ceux des quatre autres étangs ou du parc du Bergoje résulte des travaux entrepris par Bruxelles Environnement à partir de 1994: éclaircissement des berges, curage, reprofilage des berges.

La digue qui sépare le petit étang du grand étang a été ajoutée à la fin du XIXème. La carte de Ferraris montre encore le Lange Gracht d'un seul tenant.

A la même hauteur, rive droite, les murs de brique en ruine sont ceux d'une glacière construite pour Monsieur Romain Govaert en 1874[12]:p131.

L'îlot du grand étang du Lange Gracht (étang N°5) abrite une héronnière. Huit nids ont été occupés en 2023.

L'eau rejoint le Roodkloosterbeek par une canalisation. Le ruisseau coule dans un pertuis maçonné ouvert sur quelques mètres au point bas du Jardin botanique Jean Massart. La voûte en brique de l'ancien pertuis est visible. Cette ruine comme celle de la glacière sont conservées en l'état car elles servent de gîte d'hiver aux chiroptères. [14]:p8

La partie Ouest du Jardin botanique intitulée "une zone humide semi-naturelle typique des marais brabançons" très marécageuse comporte une petite pièce d'eau et quelques mares. Parmi les sept sources dénombrées, deux sont qualifiées de sources calcaires incrustantes. Le calcaire dissous en se déposant et en se solidifiant crée une roche sédimentaire friable, le "tuf calcaire".[15],[5]:point d'intérêt 17

La petite mare la plus au Nord, proche de l'étang n'est plus alimentée que par une canalisation récoltant les eaux de pluie des bâtiments. Lors de la création du jardin en 1922, le niveau de l'étang N°5 permettait l'alimentation de la zone humide via une prise d'eau. Celle-ci n'est plus fonctionnelle depuis l'abaissement de ce niveau[16].

Le ruisseau reçoit l'eau de la pièce d'eau par un trop-plein. Il est ensuite voûté pour passer sous la chaussée de Wavre. Il traverse le parc du Bergoje à ciel ouvert. Un étang récolte l'eau de petites sources éparses et alimente le ruisseau.

A partir du pertuis situé à gauche de l'entrée du parc le Roodkloosterbeek rejoint la Woluwe à la hauteur du numéro 28 de la rue Jacques Bassem. [17] :p30

Dans le cadre du maillage bleu, Le plan de gestion du site Natura 2000 Parc du Bergoje prévoit la remise à ciel ouvert du Roodkloosterbeek jusqu'au collecteur de la Woluwe. [18]:p14


Le ruisseau des Trois-Fontaines Dry Borren, affluent rive gauche modifier

Le vallon des Trois-Fontaines Dry Borren
Point nom commentaires
28 Fosse de Bonne Odeur Welriekende hors plan
29 Etang Blankedelle
30 Etang Trois Fontaines
Source Trois Fontaines
31 Petit étang des Clabots (Etang 1) confluent

La réserve naturelle des Trois Fontaines[19] s'étend sur 8 ha. Le bord Nord Est de son bassin versant marque la limite entre deux affluents de l'Escaut, la Senne et la Dyle.

Le vallon des Trois Fontaines commence à la Fosse de Welriekende (Bonne-Odeur) (50.7849 N,4.45512 Est).[5]:PI 14 Le sentier du Vallon des Chênes longe son talweg, puis se nomme le sentier du Caudael jusqu'à son confluent avec un vallon commençant au-delà du ring R0 .

Celui-ci passe par la Mare de Blankedelle (50.80097 N,4.46497 Est).[1] :p83-85 alimentée par une source permanente. Le talweg suit le chemin de Blankedelle le long d'une belle clairière. Elle est en fait une lisière au milieu de la forêt maintenue en l'état par Bruxelles Environnement. Le ru est qualifié d' oued l'eau disparaîssant dans le sous-sol sableux jusqu'à la source des Trois Fontaines. [19]:p13

Le château tel qu'on la voit sur la carte de Ferraris et sur les gravures du XVIIème fut laissé à l'abandon à la fin du XVIIIème siècle.

La source des Trois Fontaines se situe face à un ancien petit castel forestier [20]:p2 qui a gardé le nom du château et le pan de mur à gauche. Elle tirerait son nom de la présence, autrefois, de trois sources, dont deux auraient disparu. L’eau sort de terre via un très large orifice.[5]:point d'intérêt 14 Cette source est la troisième source permanente du Roodkloosterbeek. Le petit étang à côté du bâtiment est alimenté par des suitements de fond de vallée.[20]:p2

Le ruisseau des Trois Fontaines se déverse, de l’autre côté du viaduc Herrmann-Debroux, dans le Petit étang des Clabots. Jusqu’au 18ème siècle, cette eau était captée et acheminée vers le prieuré de Rouge-Cloître via une conduite en bois. Quelques dizaines de mètres avant l’autoroute, deux sources plus modestes alimentent également le cours d’eau.


Notes et références modifier

  1. a b c d et e Thierry Demey, La Ceinture Verte de Bruxelles, Badeaux, , 576 p. (ISBN 978-2-930609-00-3).
  2. a b et c Raymond Delahaye, « Promenade nature en forêt de Soignes sur le thème de l’eau 2018 : dossier réalisé suite à la promenade du 18 mars 18 » [PDF], sur www.naturawoluwe.be (consulté le ).
  3. a et b Roger Langhor – Les amis de la forêt de Soignes, « La forêt de Soignes, site unique pour les sciences de la terre et de l’archéologie : chapitre 20 du livre isbn 978-2-8047-0030-0 » [PDF], sur www.zonienwoud.be (consulté le ), p. 181-196.
  4. a et b Jean-Christophe Pignon - Bruxelles Environnement, « Plan de gestion de la réserve naturelle du Rouge-Cloître » [PDF], sur environnement.brussels, (consulté le ).
  5. a b c d e f et g Sous Androïd ou Apple installer l'application Erfgoedapp. Dans cette application, choisir "Les sources du Roodkloosterbeek à Auderghem". Outre les 17 points d'intérêt (=PI) répertoriés, quatre fonds de carte reprennent l'historique. La plus ancienne est la carte de Ferraris de 1771
  6. a b c d et e Alphonse Wauters, « Histoire des environs de Bruxelles, vol. III », (consulté le ).
  7. a b c et d « les sources du RoodKloosterBeek », sur www.coordinationsenne.be,   (consulté le ).
  8. a et b Bruxelles Environnement, « Les réserves du Rouge-Cloître : une occupation ancienne qui a modifié la physionomie de la forêt » [PDF], sur document.environnement.brussels, (consulté le ).
  9. Olivia Bassem, Bernard van Orley – Rouge-Cloître et le Forêt de Soignes au XVIsième siècle, Auderghem, Centre d’Art de Rouge-Cloître, , 54 p.,  .
  10. a b c et d Centre d’Art de Rouge-Cloître. Emilie Debauve, « A la découverte de l’histoire de Rouge-Cloître : guide du visiteur » [PDF], sur www.rouge-cloitre.be (consulté le ).
  11. P-R Culp arpenteur, « Plan du prieuré de Rouge-Cloître, au village d'Auderghem », inscription gratuite aux archives est nécessaire pour visualiser le plan via l'onglet "archives numérisées", sur Archives de l'Etat. Collection des Cartes et Plans manuscrits. Série I. Cote 603, (consulté le ).
  12. a b c d e f g et h Augusta Maes, Deux siècles dans la vie de Rouge-Cloître (1780-1980), Auderghem, Le Folklore Brabançon. Num 226, pp 97-175, , 78 p.,  .
  13. Meganck, Marc en Co, Atlas du sous-sol archéologique de la région de Bruxelles : N°21 Auderghem, Bruxelles, Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale. Direction des Monuments et des Sites, , 200 p.,  .
  14. « Plan de gestion de site Natura 2000 – Station IA9 jardin Massart », enquête publique du 4 septembre au 4 octobre 2023 [PDF], sur environnement.brussels, (consulté le ).
  15. Marie MEZIERE-FORTIN, « Le tuf : une concrétion calcaire, une roche d’origine sédimentaire », sur hydrobioloblog.fr, (consulté le ).
  16. Atelier Eole – Odile De Bruyn, « Jardin botanique et expérimental Jean Massart : étude historique et paysagère » [PDF], sur ulb.ac.be, (consulté le ).
  17. Louis Schreyers et Nadine de Vos, Auderghem par quatre chemins, Auderghem, Aparté éditions, , 198 p. (ISBN 978-2-9303-2742-6),  .
  18. « Plan de gestion de site Natura 2000 – Station IA10 parc du Bergoje », enquête publique du 4 septembre au 4 octobre 2023 [PDF], sur environnement.brussels, (consulté le ).
  19. a et b Bruxelles Environnement, « Plan de gestion de la Réserve Naturelle des 3 Fontaines » [PDF], sur document.environnement.brussels, (consulté le ).
  20. a et b Bruxelles Environnement, « La Réserve Naturelle des Trois Fontaines : un patrimoine historique et biologique » [PDF], sur document.environnement.brussels, (consulté le ).