• Une puce = thème d'un paragraphe

(entre parenthèses : détail des thèmes abordés au cas où le titre ne serait pas explicite)


Le tout en 35 pages imprimables dont :

  • Géographie : 5 pages
  • Histoire : 5 pages dont :
  • Préhistoire et antiquité : 3/4 de page
  • Moyen Âge : 3/4 de page
  • Renaissance et absolutisme : 3/4 de page
  • Le siècle des révolutions : 1 page
  • Les 2 GM : 3/4 de page
  • Après 1945 : 1 page
  • Politique et administration : 5 pages
  • Population et société : 5 pages
  • Économie : 5 pages
  • Patrimoine culturel : 4 pages
  • Compléments : 2 pages
  • Références : 4 pages


Géographie modifier

Localisation et frontières modifier

Géologie, topographie, hydrographie modifier

Climat modifier

Paysages et environnement modifier

Répartition spatiale des hommes et des activités modifier

  • Déséquilibre est / ouest et diagonale du vide
  • Déséquilibre Paris / province
  • Population urbaine et principales agglomérations

Axes de communication et transports modifier

  • Axes multimodaux majeurs, centralisation parisienne
  • Tranport routier
  • Transport ferroviaire
  • Transport aérien
  • Autres modes de transport (fluvial, maritime, vélo, conduites)


Histoire modifier

Origine du nom "France" et évolution du territoire modifier

Avant les invasions barbares modifier

  • Peuplement préhistorique
  • La Gaule pré-romaine
  • L'époque gallo-romaine

La France au Moyen Âge modifier

Renaissance et absolutisme (XVIe-XVIIIe siècle) modifier

  • Renaissance et guerres de religion (XVIe)
  • Le grand siècle (XVIIe)
  • Déclin de la monarchie absolue et contestations (XVIIIe)

Le siècle des révolutions modifier

En 1789, les États généraux sont convoqués par Louis XVI pour trouver une solution à la crise financière que traverse le pays[h 1]. Mais les délégués des trois ordres outrepassent rapidement les pouvoirs qui leur sont attribués : à la suite du Serment du Jeu de paume, ils s'érigent en une Assemblée nationale constituante les 17 et 20 juin[h 2], mettant ainsi fin à l'Ancien Régime. Le 14 juillet, la prison de la Bastille, symbole de l'arbitraire royal, est prise par les insurgés parisiens[h 2] ; la révolte se propage ensuite dans le pays[h 2]. Le Roi ne peut alors empêcher l'assemblée constituante de décider l'abolition des privilèges dans la nuit du 4 août[h 2], puis d'adopter le 26 août une Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen[h 3]. Après un essai de monarchie constitutionnelle[h 3], la République naît en septembre 1792[h 4], et Louis XVI, accusé de trahison, est guillotiné le [h 4]. La France révolutionnaire se lance alors dans plusieurs années de guerres contre les monarchies voisines[h 5], et se radicalise lors de l'épisode de la Terreur[h 5]. Elle ne retrouvera une stabilité partielle qu'en 1795 avec l'instauration du Directoire, une République bourgeoise soucieuse de conserver l'acquis sans verser le sang de ses citoyens[h 4].

Le , le général Napoléon Bonaparte renverse le Directoire par un coup d'État et lui substitue le Consulat[h 6] ; cinq ans plus tard, il est couronné Empereur des Français[h 7]. Napoléon Ier crée ou réforme de nombreuses institutions, dont beaucoup existent toujours en 2010[note 1],[h 8]. Surtout, le Premier Empire sera marqué par de nombreuses victoires face aux puissances voisines, donnant à Napoléon une image de génie militaire[h 9] : au début des années 1810, la moitié de la population européenne est sous son contrôle[note 2],[h 7]. Le déclin sera néanmoins rapide : après une éphémère abdication puis un bref retour au pouvoir[h 10], l'Empereur est définitivement vaincu à Waterloo le [h 10].

La France entame alors une seconde expérience de monarchie constitutionnelle[h 11], tandis que le Congrès de Vienne lui retire toutes ses conquêtes postérieures à 1789. Les rois Louis XVIII (1814-1824) et surtout Charles X (1824-1830) remettent en question une partie des acquis de la Révolution, comme la liberté de religion ou la liberté de presse[h 12]. Face à la contestation qui monte, Charles X tente de restaurer son prestige en prenant Alger le [h 12] ; il ne peut cependant empêcher les Trois Glorieuses, un mouvement révolutionnaire qui amène sur le trône Louis-Philippe, un roi alors considéré comme réformateur[h 13]. Néanmoins, si la Monarchie de Juillet est une période d'essor économique important — elle correspond au début de la Révolution industrielle en France[h 14] et à l'ouverture des premières grandes lignes ferroviaires[h 14] —, Louis-Philippe est davantage acquis au libéralisme économique que politique[h 15] et voit bientôt son pouvoir contesté par des opposants de plus en plus nombreux[h 16].

En février 1848, une nouvelle révolution éclate, dont les objectifs ne sont plus seulement politiques mais aussi sociaux[h 17]. Néanmoins, si la Seconde République instaure le suffrage universel masculin, abolit l'esclavage dans les colonies et la peine de mort pour raison politique[h 18], elle ne tarde pas à perdre son assise ouvrière suite aux Journées de Juin[h 19], durant lesquelles plus de 5 000 insurgés sont tués au combat et 25 000 autres arrêtés[1],[2]. La République devient alors conservatrice et élit Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de l'empereur, à sa tête[h 19]. Ce dernier organise un coup d'État le {{date|2|décembre|1851]][h 20] et est couronné empereur l'année suivante[h 21]. Si les premières années du Second Empire sont celles d'un régime autoritaire[h 21], Napoléon III entame un tournant libéral en 1860[h 22], qui n'empêche pas une montée des oppositions politiques[h 23]. Les réalisations du Second Empire sont néanmoins nombreuses : outre l'accélération du développement ferroviaire et industriel entamé sous Louis-Philippe[h 24], la France participe à l'unification italienne[h 24], le baron Haussmann redessine la capitale[h 24] et une politique sociale est amorcée[h 25]. La défaite de la France face à une Allemagne en cours d'unification, en 1870-1871, est un double tournant dans l'histoire du pays. D'une part, l'empereur capitule à Sedan le et la République est proclamée le 4[h 26] ; d'autre part, l'Allemagne annexe le Bas-Rhin, l'essentiel du Haut-Rhin et de la Moselle, et une petite partie de la Meurthe[h 27], des territoires dont la perte va longtemps hanter la mémoire collective française[h 28].

La Troisième République naît de manière chaotique[h 27]. Outre les conséquences de la guerre et la Commune de Paris — une insurrection de la capitale qui est écrasée par l'armée en 1871[h 28] —, la nature républicaine du régime n'est pas acquise avant la fin des années 1870[h 29]. Ce régime sera pourtant le plus long de ceux qu'a connus la France depuis 1789. Les républicains mettent peu à peu en place leur projet politique : l'école est rendue gratuite, laïque et obligatoire en 1881-1882[h 30], les libertés de presse et de réunion sont accordées en 1881[h 30], le divorce et les syndicats sont autorisés en 1884[h 30]. Le régime est fortement anticlérical, ce qui le mène jusqu'à la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905[h 31]. À la même époque, la France se dote d'un vaste empire colonial, qui sera le deuxième au monde après celui du Royaume-Uni en 1914[note 3],[h 32]. Si plusieurs crises politiques se succèdent — crise boulangiste, scandale des décorations, scandale de Panamá, affaire Dreyfus[h 33] —, la nature républicaine du régime apparaît de moins en moins contestée[h 34]. La menace principale vient désormais de l'extérieur, où la guerre apparaît de plus en plus imminente[h 35].

La France dans les deux Guerres mondiales modifier

  • La Première Guerre mondiale
  • L'Entre-deux-guerres
  • La Seconde Guerre mondiale

La France depuis la Libération modifier

  • Lendemains de la Libération
  • La Quatrième République & la décolonisation
  • Les années gaullistes (1958-1974)
  • Alternances et mutations politiques depuis 1974


Politique et administration modifier

Principes constitutionnels modifier

Symboles républicains modifier

(Marianne, Marseillaise, 14 juillet, drapeau ...)

L'organisation des pouvoirs modifier

Découpage administratif et décentralisation modifier

  • Découpage de base
  • Décentralisation
  • Territoires à statut particulier (outre-mer, Alsace-Lorraine)

Tendances politiques, partis et élections modifier

Dirigeants actuels modifier

Justice modifier

Défense modifier

Système de protection sociale modifier

Fiscalité et budget de l'État modifier

Appartenance à des organisations internationales modifier

  • UE
  • Autres (ONU, OMC, OTAN ...)

Relations extérieures et diplomatie modifier

Réponse aux défis globaux modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

Immigration et population étrangère modifier

Langues modifier

Cultes modifier

Éducation modifier

Santé modifier

Sécurité modifier

Famille modifier

(homosexualité, contraception & avortement, égalité hommes/femmes)

Médias modifier

Sports modifier

Engagement associatif, syndical et politique modifier

Banlieues modifier

Jours fériés modifier

Économie modifier

Monnaie modifier

Revenus de la population, salaires et développement humain modifier

Logement, consommation et équipement des ménages modifier

Emploi modifier

Entreprises modifier

Principaux secteurs d'activité modifier

Agriculture et agro-alimentaire modifier

Industrie modifier

Énergie modifier

Commerce modifier

(y compris cafés & restaurants)

Tourisme modifier

Recherche modifier

Mode, luxe et beauté modifier

Technologies de l'information et de la communication modifier

Services modifier

Finance et assurance modifier

  • Banque
  • Bourse
  • Assurance

Place de la France dans l'économie mondiale modifier

  • Rang mondial
  • Commerce extérieur


Patrimoine culturel modifier

Patrimoine architectural modifier

Patrimoine artistique et événements culturels modifier

(par type d'art puis événements majeurs : festival de Cannes, etc)

Une longue tradition scientifique modifier

Gastronomie modifier

Rayonnement culturel international modifier

La France dans l'art et la littérature modifier

Compléments modifier

Notes modifier

Codes modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Références modifier

  1. p.237.
  2. a b c et d p.242.
  3. a et b p.243.
  4. a b et c p.246. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « h246 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  5. a et b p.245-248.
  6. p.250.
  7. a et b p.257.
  8. p.255-256.
  9. p.257-258.
  10. a et b p.259.
  11. p.267.
  12. a et b p.269.
  13. p.270.
  14. a et b p.274.
  15. p.271-272.
  16. p.272.
  17. p.278.
  18. p.279.
  19. a et b p.280.
  20. p.281.
  21. a et b p.282.
  22. p.284.
  23. p.285.
  24. a b et c p.283.
  25. p.285.
  26. p.286.
  27. a et b p.290.
  28. a et b p.291.
  29. p.292-294.
  30. a b et c p.294.
  31. p.297-298.
  32. p.319.
  33. p.295-297.
  34. p.296.
  35. p.299.

  1. Pierre Milza, Napoléon III, Paris, Perrin, coll. « Tempus », , p. 177
  2. Michel Mourre, Dictionnaire encyclopédique d'histoire, G-J, Paris, Bordas, , « Juin 1848 », p. 2479


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « note », mais aucune balise <references group="note"/> correspondante n’a été trouvée