Utilisateur:Alphos/En cours/Guadeloupe

  • Baie-Mahault
    • * E.Chammougon 1er (18)
    • * Félix Bréta, né à la Baie-Mahault le 19 Avril 1872. fils d’une descendante d’esclave et d’un commerçant Béké de Pointe-à-Pitre comme le chevalier de Saint George dont il appréciait beaucoup la musique. Il fit au Lycée Carnot, à Pointe à Pitre toutes ses études. Il y passa, du reste, toute sa vie. Prix d’honneur de mathématiques et bachelier es-sciences en 1889, il fut immédiatement nommé répétiteur. (article manquant)
    • Grâce à sa qualité essentielle, l’énergie, une énergie sans faiblesse, il acquit vite sur les élèves un ascendant fait plus d’affection que de contrainte. (166)
    • Dans l’étude dont il était chargé, maîtres et élèves travaillaient de concert, le maître bien plus que les élèves auxquels il donnait l’exemple. (157)
    • Ce scientifique à l’esprit à l’esprit très ouvert se tourna vers les lettres et se mit à l’étude des langues vivantes, de l’espagnol qu’il poursuivait, s’obtenait par concours : il s’aperçut qu’il était handicapé par son ignorance de latin ; alors, revenu aux Sciences, il se consacra à l’étude des Sciences Naturelles. (347)
    • Sans hâte, sans guide, et aussi sans renoncer à aucune des fonctions, pour la plupart bénévoles, et très absorbantes, dont peu à peu, il avait assumé la responsabilité comme : chef d’orchestre de la Philarmonique, la Sourdine de Pointe à Pitre, Secrétaire Général de la Fédération des enseignants, Secrétaire de la Chambre d’Agriculture ; Président de l’Association des anciens élèves du Lycée Carnot de Pointe à Pitre, Commissaire Régional des Eclaireurs de France, etc…., et, au contraire, tout en s’y dévouant avec ardeur et zèle, il prépara sa licence es-sciences naturelles qu’il passa en 1916. (635)
    • Nommé plus tard chargé de cours, puis censeur, il ne négligea pas ses travaux personnels. En 1922, il soumit à l’Administration de la Colonie une carte géologique de la Guadeloupe. (187)
    • En 1926, chargé de mission dans les ports de pêche, il rédigea un rapport documenté et suggestif qui retint l’attention. Aussi lui confia-t-on la direction d’un laboratoire de pêche et de produits maritimes où il se livra à l’étude des empoisonnements par le poisson. (281)
    • Survint le cyclone de 1928. Chef du Servie de l’Instruction publique par intérim, il se trouva en face de difficultés qui semblaient insurmontables ; les écoles, à peu près partout détruites ou très gravement endommagées, le lycée lui-même, tèrs éprouvé et devenu le refuge d’une foule de pauvres gens sans foyers…En un mois, dans le local du Lycée réparé, fonctionnaient à la fois les classes du Lycée, les classes supérieures des Cours Michelet et des écoles primaires de Pointes à Pitre. Beaucoup plus vite que l’on ne l’espérait, s’ouvrirent, dans toutes les communes, grâce à des moyens de fortune, en attendant la restauration ou la reconstruction des écoles, des classes où les enfants recevaient l’instruction qui leur était due. (779)
    • Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en 1934, puis admis à la retraite après avoir exercé le poste de Proviseur du Lycée Carnot, il se retira aux Trois-Rivières, puis aux Saintes où il créa un Syndicat d’Initiative très actif, en profita pour écrire son livre sur les Saintes, premier du genre, et toujours très actif, il continua d’étudier ce groupe d’îles si digne d’attention à tant d’égards. (425)
    • Il a été emporté, à Paris, en mai 1938, par une soudaine et brutale crise cardiaque. (88)
    • Aujourd'hui complètement oublié de ses compatriotes. Il est enterré au cimetière de Trois-Rivières, ville où il vécut toute sa vie. (138)
    • 12 inconnu(s) sur 12 personnalités en tout
  • Capesterre-Belle-Eau
    • * Sonny Rupaire, poète (23)
    • * Arséne marcel Chavriacouty (29)
    • * Benjamin Moise dit Benzo, compteur-chanteur (45)
    • * Gérard Lauriette dit KOK ou Papa yaya (homme politique,philosophe et instituteur) (84)
    • 4 inconnu(s) sur 4 personnalités en tout
  • Capesterre-de-Marie-Galante
    • * Dominique Rivard, détenteur du record du monde de distance parcourue en kite-surf de la guadeloupe à sainte lucie (117)
    • * Shubb-Niggurath, la Chèvre Noire aux Mille Chevreaux habite au Robert. (73)
    • 2 inconnu(s) sur 2 personnalités en tout
  • Deshaies
    • * Damien Fabroni (16)
    • * Robert Charlebois (19)
    • 2 inconnu(s) sur 4 personnalités en tout
  • La Désirade
    • * La famille paternelle du footballeur Thierry Henry vit à La Désirade. (78)
    • 1 inconnu(s) sur 2 personnalités en tout
  • Grand-Bourg
    • * Charles-François Bonneville,né le 13 mars 1803 à Brancourt (Aisne) a été maire et conseiller général de Grand Bourg de 1854 à 1860. Également président de la Chambre d'Agriculture, il est l'artisan du renouveau de la culture du coton longue soie qu'il expérimente sur l'habitation Thibault. (source : Vie quotidienne à Marie Galante - Philippe et Jacqueline Nucho-Troplent - Editions L'Harmattan) (410)
    • 1 inconnu(s) sur 2 personnalités en tout
  • Le Moule
    • * Papa La Loi (Toujours en vie) (31)
    • 1 inconnu(s) sur 3 personnalités en tout
  • Petit-Canal
    • pas de section trouvée
    • 0 inconnu(s) sur personnalités en tout
  • Pointe-à-Pitre
    • * Personnalités native de Pointe-à-Pitre : (50)
    • (75)
    • * Autres personnalités : (31)
    • Elles ne sont pas forcément nées à Pointe-à-Pitre mais leur histoire est attachée à celle de la ville. (108)
    • **Charles Anatole Léger (28)
    • Notaire (de 1826 à 1857), né à Paris (ce n'est donc pas un créole) le 28 Pluviôse an XII (11 octobre 1803), premier fils du premier Léger arrivé en Guadeloupe en 1815 (Prosper, notaire), conseiller municipal de Pointe-à-Pitre depuis 1839, deuxième adjoint depuis décembre 1840, il venait d'être nommé premier adjoint au maire de la ville (Ernest Champy), le 26 janvier, quand survint le tremblement de terre et l'incendie du 8 février 1843. Il a acquis en ces circonstances tragiques, comme le gouverneur Gourbeyre, le statut d'homme providentiel. Il a constaté et enregistré les nombreux décès dus à la catastrophe puis dirigé l'équipe qui a reconstitué les archives de l'état civil qui avaient été détruites. La croix de Chevalier de la Légion d'honneur récompensa son action dès le 4 avril. Il n'exerce plus de mandat municipal sous la IIe République mais est alors conseiller colonial. Sous le Second Empire, il redevient conseiller municipal de Pointe-à-Pitre (en 1854) et est élu maire de la ville en 1860 et 1861. Président du conseil général en 1859, il le reste après la chute de l'Empire (jusqu'en octobre 1875). fait officier dans l'ordre de la Légion d'honneur en janvier 1877, il meurt dans sa ville le 9 septembre 1883. (1273)
    • Il a créé à Pointe-à-Pitre une crêche pour faciliter le travail des mères, du nom de sa fille décédée, la crèche Sainte-Anathilde, et une rue porte son nom encore aujourd'hui. C'est lui qui a fondé la bonne réputation des Léger en Guadeloupe, tous des notables, dont plusieurs notaires et avoués (ainsi son neveu, Amédée Léger, le père de Saint-John Perse) mais aussi un médecin, un pharmacien, un directeur de journal, etc. (448)
    • En 1871, alors que Charles Anatole est au sommet de sa carrière politique, c'est un autre Léger, Fernand, qui est maire de la ville. Ce dernier eut à gérer les conséquences de l'incendie qui détruisit partiellement la ville. C'est sous sa mandature que l'eau fut amenée à Pointe-à-Pitre (inauguration de la fontaine de la place du marché). (349)
    • (principale source : Ascendance antillaise de Saint-John Perse (1887-1975), de Bernadette et Philippe Rossignol, Paris, Centre de Généalogie et d'Histoire des Isles d'Amérique, octobre 1982). (198)
    • **Jean-Baptiste Augustin Gourbeyre (38)
    • Une place de la ville porte son nom, entre palais de justice et église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, il y a sa statue depuis 1848, érigée suite à une souscription populaire. Sur le socle, ces simples mots La Pointe-à-Pitre reconnaissante et une date, VIII février MCCMXLIII, en clair 8 février 1843. C'est à l'occasion du tremblement de terre survenu ce jour-là, suivi d'un gigantesque incendie, que cet Auvergnat (né à Riom en 1786, Gouverneur de la Guadeloupe depuis 1841, mort à son poste en 1845), a acquis pour les Pointois le statut d'homme providentiel. (582)
    • (principale source : Sur les ruines de la Pointe-à-Pitre. Chronique du 8 février 1843. Hommage à l'amiral Gourbeyre, manuscrit conservé à Vincennes, Service historique de la Défense, Département de la marine, 1843-1844, édité en septembre 2008 chez L'Harmattan, Paris, texte établi, présenté et annoté par Claude Thiébaut, 2 volumes.) (352)
    • 12 inconnu(s) sur 12 personnalités en tout
  • Port-Louis (Guadeloupe)
    • * Gaston Germain Calixte dit "CHABEN", Né le 1er février 1922 et mort le 2 mars 1987. (105)
    • Chanteur traditionnel guadeloupéen. Très bon parolier, avec des textes d'une grande recherche naturelle et d'une grande originalité. Chaben avait un sens inné pour improviser avec une poésie caustique des chansons retraçant le quotidien des Guadeloupéens. (263)
    • Avec "Zombi baré mwen", "Mwen sé la central", "Robertine"....Il parle avec un grand humour des scènes de la vie ordinaire Guadeloupéenne. Surnommé à juste titre "poète des mœurs de la Guadeloupe", il était un véritable maitre des veillées mortuaires traditionnelles Guadeloupéennes. (334)
    • 3 inconnu(s) sur 3 personnalités en tout
  • Saint-Louis (Guadeloupe)
    • CONTEMPORAINS : (22)
    • * Camille SOPRANN HILDEVERT, (35)
    • Chanteur, Saxophoniste alto et soprano reconnu mondialement. (61)
    • Albums : "soprann aux antilles - petite fleur", "Kali Live en Espagne", ... (99)
    • Popularité : La nouvelle Place de Marie-Galante porte son nom. (69)
    • (Cf. http://www.ozap.com/personnalite/camille-soprann/367288 - http://www.roccatune.com/de/index.html?dl=madame_j.htm - http://www.sellers.cdandlp.com/artist/0-0-0/1/1/camille-soprann-hildevert-et-son-combo.html) (212)
    • * Père Maurice BARBOTIN, (32)
    • Nommé curé de St-Louis à Marie-Galante en 1950. il a publié de nombreux articles sur Marie-Galante, (103)
    • ses moulins, ses bourgs et ses communes. (40)
    • On lui doit, sous le pseudonyme de Zagaya, le fameux recueil de proverbes créoles : "Dictionnaire pratique du créole en Guadeloupe" en 1990 (avec Henry TOURMEUX) (178)
    • "Counamama, camp de la mort en 1798", l’histoire des prêtres déportés en Guyane et martyrs paru en 1994. (124)
    • " Dictionnaire du créole de Marie-Galante" en 1995. (68)
    • "Marie-Galante en Guadeloupe'" : sa vie créole, son guide historique" , en 2001. (109)
    • Popularité : il reçoit la médaille de l’ordre national du mérite pour ses actions sociales. (104)
    • Il devient membre de la société d’Histoire de la Guadeloupe, Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres. (113)
    • La Place de l'église principale porte son nom. (47)
    • Dans son ouvrage de 1990 (avec Henry TOURMEUX), il écrit : "Longtemps considérés comme des baragouins, les créoles sont le mode d'expression d'une civilisation jeune où se métissent l'Amérique, l'Afrique, l'Europe et l'Inde". (252)
    • (Cf. http://www.livres-chapitre.com/-E0BTCU/-BARBOTIN-MAURICE/-CONAMAMA.html http://www.creolica.net/barbotin.pdf - http://www.forum.potomitan.info/viewtopic.php?f=7&t=1179 - ) (182)
    • * Dr. Mohamed BENKHALIFA, (32)
    • Directeur de Cabinet de la Commune - (37)
    • Politologue et expert international auprès des Nations Unies. (62)
    • Représentant permanent au siège des Nations unies à New York. (64)
    • Membre de la Commission Economique des Nations Unies pour l'Europe (CEE-ONU) à Genève. (88)
    • Il est, entre autres, l'auteur de l'important ouvrage : "Le Développement Durable face au nouveau désordre mondial", 2005, 560 p. (146)
    • Popularité : Défenseur du Développement Durable et des Objectifs du Millénaire, reconnu mondialement, il est à l'origine du premier Agenda 21 Local de Guadeloupe, qui verra son lancement en 2009 par le Maire Jacques CORNANO, à Saint-Louis de Marie-Galante. (268)
    • Lors d'une célèbre conférence à Pointe à Pitre, il dira dans son discours : "Le français multiculturel que je suis, attaché à l'idéal républicain, fait partie, corps et âme, du peuple de Marie-Galante, de la Guadeloupe, des Antilles, de la Caraïbe, comme le martiniquais et grand Frantz FANON fait aussi partie, pour toujours, du peuple algérien. Notre humanité doit être au service de l'universalité une. Sachant que l'essentiel, c'est l'oxymoron fondamental : "l'instant d'éternité"". (536)
    • (Cf. http://www.franceforbarackobamablog.com/2008/07/16/pouvoir-d’ethique…/ http://www.mafhoum.com/press4/126S66.htm http://www.ongplac21.com//documents/pdf/Article.BENKHALIFA.DC.01.pdf) (191)
    • 27 inconnu(s) sur 27 personnalités en tout
  • Sainte-Rose (Guadeloupe)
    • Siegmund Bajazet-l'un des meilleurs informaticiens et politiciens de la guadeloupe. (83)
    • 1 inconnu(s) sur 2 personnalités en tout
  • Terre-de-Bas
    • pas de section trouvée
    • 0 inconnu(s) sur personnalités en tout
  • Terre-de-Haut
    • * Félix Bréta né à la Baie-Mahault le 19 Avril 1872. fils d’une descendante d’esclave et d’un commerçant Béké de Pointe-à-Pitre comme le chevalier de Saint George dont il appréciait beaucoup la musique. Il fit au Lycée Carnot, à Pointe à Pitre toutes ses études. Il y passa, du reste, toute sa vie. Prix d’honneur de mathématiques et bachelier es-sciences en 1889, il fut immédiatement nommé répétiteur. (435)
    • Grâce à sa qualité essentielle, l’énergie, une énergie sans faiblesse, il acquit vite sur les élèves un ascendant fait plus d’affection que de contrainte. (166)
    • Dans l’étude dont il était chargé, maîtres et élèves travaillaient de concert, le maître bien plus que les élèves auxquels il donnait l’exemple. (157)
    • Ce scientifique à l’esprit à l’esprit très ouvert se tourna vers les lettres et se mit à l’étude des langues vivantes, de l’espagnol qu’il poursuivait, s’obtenait par concours : il s’aperçut qu’il était handicapé par son ignorance de latin ; alors, revenu aux Sciences, il se consacra à l’étude des Sciences Naturelles. (347)
    • Sans hâte, sans guide, et aussi sans renoncer à aucune des fonctions, pour la plupart bénévoles, et très absorbantes, dont peu à peu, il avait assumé la responsabilité comme : chef d’orchestre de la Philarmonique, la Sourdine de Pointe à Pitre, Secrétaire Général de la Fédération des enseignants, Secrétaire de la Chambre d’Agriculture ; Président de l’Association des anciens élèves du Lycée Carnot de Pointe à Pitre, Commissaire Régional des Eclaireurs de France, etc…., et, au contraire, tout en s’y dévouant avec ardeur et zèle, il prépara sa licence es-sciences naturelles qu’il passa en 1916. (635)
    • Nommé plus tard chargé de cours, puis censeur, il ne négligea pas ses travaux personnels. En 1922, il soumit à l’Administration de la Colonie une carte géologique de la Guadeloupe. (187)
    • En 1926, chargé de mission dans les ports de pêche, il rédigea un rapport documenté et suggestif qui retint l’attention. Aussi lui confia-t-on la direction d’un laboratoire de pêche et de produits maritimes où il se livra à l’étude des empoisonnements par le poisson. (281)
    • Survint le cyclone de 1928. Chef du Servie de l’Instruction publique par intérim, il se trouva en face de difficultés qui semblaient insurmontables ; les écoles, à peu près partout détruites ou très gravement endommagées, le lycée lui-même, tèrs éprouvé et devenu le refuge d’une foule de pauvres gens sans foyers…En un mois, dans le local du Lycée réparé, fonctionnaient à la fois les classes du Lycée, les classes supérieures des Cours Michelet et des écoles primaires de Pointes à Pitre. Beaucoup plus vite que l’on ne l’espérait, s’ouvrirent, dans toutes les communes, grâce à des moyens de fortune, en attendant la restauration ou la reconstruction des écoles, des classes où les enfants recevaient l’instruction qui leur était due. (779)
    • Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en 1934, puis admis à la retraite après avoir exercé le poste de Proviseur du Lycée Carnot, il se retira aux Trois-Rivières, puis aux Saintes où il créa un Syndicat d’Initiative très actif, en profita pour écrire son livre sur les Saintes, premier du genre, et toujours très actif, il continua d’étudier ce groupe d’îles si digne d’attention à tant d’égards. (425)
    • Il a été emporté, à Paris, en mai 1938, par une soudaine et brutale crise cardiaque. (88)
    • Il passait ses vacances à Terre de Haut où il a écrit son livre "Les Saintes" premier du genre aux antilles. (121)
    • 11 inconnu(s) sur 11 personnalités en tout
  • Trois-Rivières (Guadeloupe)
    • Valentine Rose-Marie Peronne Salin née à Trois-Rivières le 14 février 1906, fondatrice de l'Institut Jeanne d'Arc, première école élémentaire privée à Trois-Rivières. (183)
    • "Je crois en la destinée", telle était la devise de Peronne Salin. Elle fréquenta, ainsi que sa sœur Gilberte, l'école religieuse de Versailles. (159)
    • Toutes deux devenues enseignantes, elles eurent l'idée de créer une école privée. (85)
    • Elles fondèrent leur école au début des années 40, à Schœlcher, puis au bourg à l'angle des rues Gerville Réache et Georges Siarras. (144)
    • Établissement réservé à l'initiation des enfants à la lecture et à l'écriture, il proposa ensuite la formation des jeunes de la maternelle au secondaire. (160)
    • Pour bon nombre d'élèves en difficulté à l'école publique, l'Institut Jeanne d'Arc fut une planche de salut. (113)
    • Personnage charismatique, Peronne Salin, durant 30 ans, exerça la double fonction d'institutrice et de directrice de l'Institution Jeanne d'Arc. (145)
    • Célibataire et sans enfant, elle œuvra à la réussite professionnelle de nombreux Trois-Rivièriens. (103)
    • Elle décède le 23 décembre 1998, dans sa commune natale. (62)
    • Docteur Hugues Siméon, maire de la commune de 1945 à 1977. (66)
    • Hugues Siméon est le seul médecin, il doit sa réputation à ses talents de médecin connus sur toute l'île. (112)
    • Son élection marque la disparition des Békés des conseils municipaux et de la scène politique trois-rivièrienne. C'est sous son mandat que sont construits la plupart des grands édifices et équipements sociaux communaux. (230)
    • Jacques Coquille dit Dugommier , né en 1736 à Trois-Rivières, sur l'habitation familiale. Il apparaît sur la scène politique à l'âge de 55 ans, avec un passé d'officier s'étant distingué lors du siège de la Guadeloupe par les Britanniques, en 1759, puis au cours de celui de la Martinique en 1761. Patriote, il est élu à la première assemblée générale de la Guadeloupeen 1789, à Petit-Bourg. (435)
    • Avec ses trois cents volontaires, il défend les patriotes à la Martinique, puis il quitte la Guadeloupe. Bénéficiant de la protection de MARAT, il est nommée général en chef des armées d'Italie et reprend Toulon aux Britanniques. Il a sous ses ordres Napoléon Bonaparte, qu'il recommande en ces termes au Comités du salut public : "Récompensez et avancez ce jeune homme car si on était ingrat envers lui, il s'avancerait tout seul." En 1794, il est général en chef des Pyrénées-Orientales, et meurt à la bataille de Sierra-Negra, en Catalogne, contre les Espagnols. Dans son testament de Sainte-Hélène, Napoléon fait un legs à ses descendants, en rappelant la bravoure du général guadeloupéen. (727)
    • 14 inconnu(s) sur 14 personnalités en tout
  • Vieux-Fort
    • pas de section trouvée
    • 0 inconnu(s) sur personnalités en tout