Sarah Mostrel

écrivain, musicienne, poète, romancière
Sarah Mostrel
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Sarah Mostrel, en 2009
Alias
Sara Naor
Activité principale
Romancière, essayiste, nouvelliste, artiste peintre, poétesse
Auteur
Langue d’écriture Français

Œuvres principales

  • La Rougeur des Pensées (2001)
  • La Caresse de l'Âme (2003)
  • Osez dire je t'aime (2009)
  • Un amour sous emprise (2016)

Sarah Mostrel est écrivain, musicienne, artiste peintre. Ingénieure de formation, elle est aujourd'hui journaliste.

Après avoir publié ses premiers ouvrages sous le pseudonyme Sara Naor, elle reprend son patronyme en 2009, lors de la sortie de son essai Osez dire je t'aime.

Biographie modifier

Sarah Mostrel est née en région parisienne[1]. À 7 ans, elle apprend le piano, pour lequel elle éprouvera une véritable passion. Après avoir effectué un an de scolarité au sein de l'Ecole polytechnique féminine à Sceaux , elle part à 18 ans faire ses études en Israël et obtiendra le diplôme d’ingénieur en électronique du Technion, équivalent du M.I.T. en Israël, créé en 1912. Dix ans plus tard, elle revient en France. En 1999, elle est primée lors d’un concours international de poésie organisé par la Porte des Poètes. Les textes de Sarah Mostrel voient le jour en 2000, date de sa première publication (L’Absolu illusoire, éd. La Porte des Poètes). Recueils de poésie et de nouvelles s’enchaînent, et Sarah Mostrel décide de s’adonner à l’écriture. Elle travaillera en tant qu’ingénieur jusqu’en 2002, mais déjà, elle publie des articles, pige pour plusieurs supports, et finalisera ce parcours en faisant une école de journalisme, métier qu’elle exerce actuellement dans la presse magazine.

Sarah Mostrel a publié en 2009 une enquête sur les relations amoureuses (Osez dire je t’aime, éd. Grancher), ainsi qu’un recueil de poésie (Le Parfum de la mandragore, éd. Atlantica Séguier). En , est sorti Désirs Pastel, un CD musical de 15 titres avec des textes inédits qu’elle a composés et qu’elle lit (et chante pour certains passages), sur une musique de Pierre Meige qui l’accompagne au piano. Un livre d’artiste, À cœur défendant, composé de 10 poèmes inédits de Sarah Mostrel est publié en 2011 aux éditions TranSignum, illustré des peintures de Jean-Luc Guinamant et traduit en anglais par Michel Lavaud. En 2012, voit le jour Tel un sceau sur ton cœur, aux éditions Auteurs du Monde[2] et en 2013, le premier volet d’une trilogie, Révolte d’une femme libre, un livre de nouvelles[3], suivi de La dérive bleutée. En 2016, sort Chemin de soi(e), un recueil de 75 poèmes illustré de ses propres photos.

Sarah Mostrel a été choisie pour figurer dans plusieurs anthologies poétiques : Anthologie de l'éternel amour, de Pierre Haïat, éd. du Cherche Midi en 2007, Poètes juifs de langue française, de Jacques Eladan, éd. Courcelles Publishing en 2010, Anthologie des auteurs et poètes contemporains de la francophonie 2000-2010 et Florilège des poètes francophones, de la Société des Auteurs et poètes de la Francophonie en 2011, 2012, 2013 et 2014. Elle figure aussi dans les anthologies de la Lucarne des Écrivains : Les écrivains en pleine Lucarne (2014) et D’écriture en écriture (2015). En 2021, elle apparaît dans Voix de femmes : Anthologie de poésie féminine contemporaine de Raynaldo Pierre-Louis et Dierf Dumène.

Publications modifier

Roman modifier

Livres d'artiste modifier

Essais modifier

Recueils de poésie modifier

Recueils de nouvelles modifier

Participation à des recueils collectifs modifier

Sarah Mostrel a également participé à plusieurs recueils collectifs, notamment :

  • « Attentat à la pudeur », dans Accidents de Parcours, éd. la Bartavelle Noire, 2000 (ISBN 2877446069) [présentation en ligne] [4]
  • L’Amour à la feuille, revue Paperolles, 2001 (ISSN 1262-2273) [présentation en ligne] [4]
  • Le Café, revue La Nef des Fous, 2002 (ISSN 1284-9286) [présentation en ligne] [4]
  • Erreur de programmation, revue La Nef des Fous, 2003 (ISSN 1284-9286) [présentation en ligne] [4]
  • « Apparition », dans Noël Noir, éd. de l’Ours blanc, 2003 (ISBN 2914362218) [présentation en ligne] [4]
  • Un Roman noir, revue Chemins de Traverse, 2004 (ISSN 1297-3610) [présentation en ligne] [4]
  • Paroles vanvéennes, éd. du Bout de la rue, 2004 (ISBN 2952146810) [présentation en ligne] [4]
  • Il se fait tard, Chemins de traverse : revue de l'Ours Blanc et de l'Homme bleu, 2009 (ISSN 1297-3610) [présentation en ligne] [4]
  • Printemps des poètes vanvéens, éd. Chapitre Douze, 2011
  • « Les 4 saisons », dans Le Zapping des Fées : 6e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2015 (ISBN 978-2-919521-31-9)
  • « Lettre d’une juive en colère », dans Charlie For Ever, éd. Ovadia, , 128 p. (ISBN 978-2-36392-151-2)
  • « Le vol de l’aigle », dans La ville qui contait dans sa tête : 7e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2015 (ISBN 978-2-919521-34-0)
  • « Décombres » et « Au bord de nos rives », dans La Belouette, recueil no 1, éd. Plumes et Talents, 2015 (ISBN 978-2-9551455-0-0)
  • « Les verbes sonnent implacables, acerbes, corrosifs », dans Verbaliser l'Homme approximatif : Hommage à Tristan Tzara, éd. Transignum, 2016 (ISBN 978-2-915862-32-4)
  • « Même le désert refleurit », dans Les petits mots du diable : 8e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2016 (ISBN 978-2-919521-35-7)
  • « Absurde », dans La Belouette, recueil no 2, éd. Plumes et Talents, 2015 (ISBN 978-2-9551455-1-7)
  • Enfances en poésie, Le Pan poétique des muses, hors-série, éd SIÉFÉGP, 2016 (ISSN 2492-0487)
  • Femmes & poésie, peinture, Le Pan poétique des muses, hors-série, éd SIÉFÉGP, 2017 (ISSN 2492-0487)
  • « Voyage, voyage ! », dans Un si beau voyage : 9e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2017 (ISBN 978-2-919521-37-1)
  • 101 livres ardoises, éd. Transignum, 2018 (ISBN 978-2-915862-43-0)
  • « Et tu aimas la fleur » (texte et dessins), dans Ma plus belle histoire d'amour : 10e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2018 (ISBN 978-2-919521-43-2)
  • « Un éphémère bonheur », dans Le bonheur a dit qu’il reviendrait : 11e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2019 (ISBN 9782919521487)
  • « Une musique folle » (texte et photo) et « Reviens » (texte et peinture), dans La Belouette, recueil no 4, éd. Plumes et Talents, 2019 (ISBN 9782955145531)
  • 10 peintures dans Coalescences, éd. Astropik, 2019
  • « Une fragile passerelle jetée sur le vide », dans L’océan ciel: 12e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2020 (ISBN 9782919521524)
  • « Reflet miroir », dans POE'VIES, 2020
  • « Prendre figure », dans La longue nuit de Mr Jour: 13e concours d'écriture des contes du jour et de la nuit, éd. Épingle à nourrice, 2021 (ISBN 9782919521548)

Discographie modifier

Albums modifier

Sarah Mostrel a également participé au CD littéraire Contes invivables (2004) et à l'écriture de paroles de chanson dans l'album des Mauvaises Langues en 2005.

Théâtre modifier

Sarah Mostrel a écrit et mis en scène une pièce de théâtre, Célébration, inspiré de son livre éponyme.

Prix modifier

Elle a été primée lors du 7e Concours international de Poésie La Porte des Poètes en 1999, a reçu une mention spéciale au Grand prix international Charles Le Quintrec en 2012 et une Médaille de l’Alliance Francophone/Kréatika, remise à la mairie du 15e arrondissement de Paris en 2013[5]. Elle a obtenu en 2014, le Prix André Ombreuse pour la poésie néoclassique de la Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie ainsi que la Médaille du Rayonnement culturel de La Renaissance française] En 2015, elle a été décorée de la médaille de la Société académique Arts-Sciences-Lettres.

Notes et références modifier

  1. « Biographie », sur www.sarahmostrel.online.fr (consulté le )
  2. « Sarah Mostrel : l'amour sans fard et en vérité », Vanves Info, no 265,‎ , p. 19 (lire en ligne)
  3. « Révolte d’une femme libre », Vanves Info, no 273,‎ , p. 29 (lire en ligne)
  4. a b c d e f g h i j et k Sous le pseudonyme Sara Naor
  5. Michèle Barbier, « Résultats du Festival Kréatika », sur Alliance francophone, (consulté le )

Liens externes modifier