Richard Butler (1er comte de Glengall)
| Membre de la Chambre des lords |
|---|
| Comte de Glengall (en) | |
|---|---|
| - |
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 43 ans) |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Père |
James Butler, 9th Baron Caher (d) |
| Mère |
Sarah Nichols (d) |
| Conjoint |
Emilia Jefferyes (d) (à partir de ) |
| Enfants |
Richard Butler, Harriet Chichester, Marchioness of Donegall (d) Lady Charlotte Butler (d) Lady Emily Butler (d) |
.svg&lang=fr)
Richard Butler, 1er comte de Glengall ( - ), connu sous le nom de Lord Cahir avant 1816, est un pair irlandais.
Biographie modifier
Il est le fils et l'héritier de James Butler, 9e baron Cahir et de Sarah Nicholls. En , il accède au titre de son père et occupe son siège à la Chambre des lords irlandaise[1]. À la suite de la mise en œuvre des Actes d'Union de 1800, il est élu parmi les 28 représentants irlandais et siège sur les bancs des conservateurs à la Chambre des lords britannique. Le , il est nommé vicomte Cahir et comte de Glengall, deux titres de la pairie d'Irlande.
Mariage et descendance modifier
Le , il épouse Emily Jefferyes, fille de James St. John Jefferyes et Arabella FitzGibbon, sœur de John FitzGibbon (1er comte de Clare). Ils ont quatre enfants[2]:
- Richard Butler (2e comte de Glengall) ( - )
- Harriet Anne Butler ( - ), mariée à George Chichester (3e marquis de Donegall)
- Charlotte Butler Talbot ( - ), mariée à Christopher Rice Mansel Talbot, député
- Emily Georgina Arabella (1812 -), mariée d'abord à Richard Pennefather (en) (décédé en 1849); puis au général Henry Aitcheson Hankey
Son fils unique, Richard Butler, lui succéda[1].
Références modifier
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Richard Butler, 1st Earl of Glengall » (voir la liste des auteurs).
- (en) John Debrett, The Peerage of the United Kingdom of Great Britain & Ireland, vol. 1, (lire en ligne), p.1073.
- (en) Edmund Lodge, The Peerage of the British Empire as at Present Existing : Arranged and Printed from the Personal Communications of the Nobility, Saunders and Otley, (lire en ligne), p. 229
