Les reines d'
Afrique noire ont marqué les époques anciennes avant l'arrivée des Européens. En Côte d'Ivoire, nous avons la reine Opokou abla, mère du peuple Baoulé ivoirien. Elle naît au début du
XVIIIe siècle et elle est la nièce du Roi Osei tutu, cofondateur de l'Empire ashanti, dans l'actuel Ghana. À la suite de la guerre de succession, la princesse Opokou abla, qui vit tuer son frère qui devait régner après le roi, pris la fuite avec les gens loyaux de son frère et se dirigea vers l'ouest (actuelle Côte d'Ivoire)
[1]. Avec son peuple, la reine Opokou abla passa par des tribulations comme le raconte la légende du peuple face au fleuve, où elle sacrifie son fils avant que le peuple ne traversa le fleuve qui se tarit après le sacrifice de son enfant d'où le nom Baoulé Baoulé qui veut dire l'enfant est mort.
La reine Nzinga de l'Angola régna aussi sur son peuple. Elle est fille du roi kiluanji et la reine kangela. Elle a régné au royaume Ndingo et elle a été opposante face aux colons lors de la conquête coloniale en Afrique noire[2]. Dans le grand-popo à Djanglanmey, la princesse Gbokpoe edowoe, la seul descendante royale qui se maria à son frère de même tribu, AZÉ Adzonõ, un guérisseur traditionnel, reste une figure historique qui marqua la région Kotafon. À la fin du XIXe siècle, qui marqua la fin du commerce des esclaves en terre noir, la famille royale fit face au problème de stérilité pour conserver son trône, ainsi il y eut une conspiration interne contre le trône Gbokpoe ainsi la famille royale fit le mariage entre frère et sœur de la tribu royale. Cette princesse était une figure historique parmi les Kotafon qui lutta contre l'esclavage avant la fin de l'esclavage entre Africains sur la terre noire.
Nous avons aussi la reine Tiyi qui était l'épouse royale d'Amenhotep III. Elle fut influente dans son époque[3]. Sans oublier la reine de midi qui est la reine de l'Éthiopie qui régna sur l'Afrique noire (Afrique subsaharienne) avant que plusieurs royaumes d'Afrique de renoms ne s'incarnent.
