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Réseau Mithridate

Réseau Mithridate
Histoire
Fondation
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Type
Réseau ou mouvement de la Résistance françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Fondateur

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Le réseau de résistance Mithridate, fondé dès par Pierre Herbinger à la requête du service britannique de renseignement MI6, fut l’un des plus importants de la Seconde Guerre mondiale. Il rassembla plus de 1 600 agents répartis sur tout le territoire français, la Belgique et le Nord de l’Italie.

Réseau franco-britannique, Mithridate n'est pourtant rattaché au Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) français qu'en janvier 1942[1]. C’est un réseau de renseignements militaires chargé de fournir aux états-majors les indications nécessaires pour précéder ou accompagner les opérations de guerre.

Il fut opérationnel jusqu’en 1945. Il compta 1 987 agents homologués dont 127 morts pour la France et 208 déportés rentrés vivants[1]. Quatre de ses membres ont été faits compagnon de la Libération : André Aalberg, Laure Diebold, Pierre-Jean Herbinger et François Binoche[2].

Membres du réseau modifier

  • André Aalberg (1913-1943), alias « Jean Louis », « Dieudonné » ou « Lucien Navarron », secrétaire général puis chef-adjoint du réseau, arrêté le 10 octobre 1943 ;
  • Jean Baumel (1907-1977), chef de section, arrêté par la Gestapo en février 1944 et déporté à Auschwitz.
  • François Etienne Binoche (1911-1997)[3] ;
  • Louis Borrou (1923-1944)[4];
  • Marcel Félix Brzostowski (1923-1995)[5], alias « Mickey », arrêté le 17 juin 1942 à Bas Ruy par Bourgoin, Isère. Condamné par le Tribunal d'Etat (section de Lyon) le 23 septembre 1943 à 6 ans de travaux forcés. Interné dans les prisons de Clermont-Ferrand, de Lyon puis d'Eysses [6]et enfin au camp de Compiègne. Déporté à Dachau, puis Kottern. Status résistant déporté , sous-lieutenant des FFC;
  • Henriette Cabot (1899-1968), (née Baube)[7] dite "la dame des 4 boules". Infirmière de la Croix rouge Résistante. Chevalier de la légion d'Honneur. Croix de guerre 1939-1945. Croix du combattant volontaire. Médaille de la résistance.
  • Roger Cannaud (1923-1944)[8];
  • Robert Antoine Michel Challard (1915-1944)[9];
  • Georges Cornaille (1889-)[10]; réseau ISOLE
  • Jack René André Couturaud[11] (1917-1972), décoré de la légion d'honneur à sa mort le 8 janvier 1973. Après avoir pris part à la Campagne de Belgique, Monsieur Couturaud est fait prisonnier en mai 1940. Réformé au Stalag 1 B, il rejoint la France et participe en 1943 et 1944 à diverses missions comme agent des Forces Françaises Combattantes (Réseau Mithridate). Outre sa participation à l'action de la résistance, il apporte un concours actif à la réalisation, dans des conditions précaires de 150 ambulances commandées par la Défense passive (Ministère de l'intérieur) pour être affectées aux villes côtières soumises aux bombardements aériens[12].
  • Pierre Ernest Adrien Dejean (1912-1944)[13], arrêté par la Gestapo le 2 septembre 1944, mort en déportation à Alkloven le 18 août 1944 ;
  • Claude Derieux (1913-1958)[14], arrêté le 14 novembre 1943, interné à la prison Montluc, déporté à Buchenwald;
  • Isidore Despradelle (1905-1944)[15] ;
  • Laure Diebold (1915-1965), alias « Mona » et « Mado », secrétaire de Jean Moulin, arrêtée le 18 juillet 1942, relâchée puis arrêtée de nouveau le 24 septembre 1943, déportée à Ravensbrück ;
  • Frédéric Donet (1891-1980)[16], alias « Laflèche », chef-adjoint des réseaux Mithridate à partir de fin 1943, arrêté le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, libéré à Bruxelles en septembre ;
  • Jacqueline Fleury (1923-2019), alias "Tamanini" [17],[18] arrêtée en août 1943, déportée à Ravensbrück et Buchenwald le 15 août 1944, rapatriée le 30 mai 1945.
  • Jean Joseph Xavier Emile Ganeval (1894-1981)[19], arrêté à Lyon le 14 novembre 1943, interné à la prison Montluc puis déporté à Buchenwald ;
  • Camille Georges Jousse (1887-1945), arrêté à par la Gestapo, déporté en janvier 1944, mort en déportation le 22 avril 1945 à Buchenwald[20] ;
  • Rogatien Gautier (1917-1998)[21] alias « Roddy », chef-radio du réseau, arrêté le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, libéré à Bruxelles en septembre ; Décoration : Rosette de l'Ordre de la Libération[22]
  • Émile De Gorter (1922-1944)[23], agent de liaison et de renseignement, exécuté sommairement le 20 août 1944 au Château de Vincennes ;
  • Maurice Goujard (1893-1945) [24],[25], arrêté le 17 octobre 1943 à Clermont-Ferrand , déporté à Bergen-Belsen;
  • Jean Marie Anselme Guet[26], responsable du secteur Nord et secrétaire général des réseaux Mithridate à partir de fin 1943, arrêté le 23 mai 1944, libéré à Bruxelles en septembre ;
  • André Horb (1921-1944), dit “André Wendling”[27], agent télégraphiste, abattu le 10 octobre 1944 à Saorge ;
  • Ferdinand Jegou (1919-1945)[28], mort en déportation ;
  • Paul Jules Georges Joyeux (1913-)[29], responsable des Vosges ;
  • Léon Jules (1897-1982)[30] ;
  • Stéphanie Kuder (1910-1986), dit "Murat", arrêtée le 25 novembre 1943, déportée à Ravensbrück, Hannover-Limmer et Bergen-Belsen
  • Gabriel Lacour (1897-1943)[31], alias “l’Aigle”, délégué général Zone Sud du réseau, fusillé le 20 décembre 1943 à Clermont-Ferrand ;
  • Jean-Marie Landry (1915-)[32], alias “André”, opérateur-radio ;
  • Georges Laurent (1910-1944)[33], alias “Zozo” ou “René”, exécuté sommairement le 9 juillet 1944 au lieu-dit "Le Coudert" , à Riom-ès-Montagnes ;
  • Jean Longueville (1893-)[34], alias « Lambert » ;
  • André Lourioux (1920-1943)[35], fusillé le 16 avril 1943 à Angers (Maine-et-Loire) ; réseau ISOLE
  • Henri François Mailhebiau (1920-1944)[36] ;
  • Pierre Marcel Marie (1920-1998)[37], agent du réseau à Versailles puis responsable du secteur Sud-Loire ;
  • Clément Henri Aimé Meis (1912-2010)[38], alias « Aimé », opérateur-radio, arrêté le 17 octobre 1943 à Clermont-Ferrand, déporté à Buchenwald ;
  • André Fernand Mérand (1915-1943)[39], arrêté le 2 novembre 1942 à Châtelaillon-Plage (Charente-Inférieure), fusillé le 16 avril 1943 à Angers ;
  • Paul Noël Mioche (1917-)[40], déporté à Dachau ;
  • Fernand Morneau (1920-1944)[41], fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Paul Paris (1893-1945)[42], arrestation à Paris par la Gestapo le 3 mai 1944, déportation le 21 mai 1944 et arrivée à Neuengamme - Sandbostel le 24 mai 1944 (matricule : 30375), décès dans le même camp le 17 avril 1945 ;
  • Jean Pescay (1909-)[43], alias “Marseille” puis “Jean-Jean”, chef du secteur de Toulouse ;
  • Anet Marius Pourtier (1896-1943)[44], mort sous la torture le 17 novembre 1943 à Clermont-Ferrand ou Chamalieres ;
  • Jean Louis Probst (1918-1996)[45], alias “Jeannot”, arrêté le 11 janvier 1944 à Toulouse, évadé dans la nuit du 3 au 4 mars 1944 de la prison d’Agen ;
  • René Stahl (1913-1944)[46], alias “René”, arrêté le 23 mai 1944 à Paris et fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Michel (Jules Joseph) et Charles (Louis Gaston) Stoven[47],[48],arrêtés à Renescure le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, déportés et exécutés à Brandebourg-sur-la-Havel le 25 septembre 1944 ;
  • Lucien Félix Eugène Trapier (1903-1975)[49],[50] ;
  • Robert François Raymond Vecchierini (1901-1944)[51], arrêté le 24 juin 1944 à Valenciennes et fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Paul Weil (1910-1980)[52], le 14 décembre 1942, déporté à Buchenwald.

Références modifier

  1. ↑ a et b 'La Mémoire des Français Libres, tome III, page 1121 (extrait du n° spécial de juin 1958)
  2. ↑ Cités sur le site de l'ordre de la Libération.
  3. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 60889 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 709973 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 53 ».
  4. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 74830 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  5. ↑ Service Historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 95819 Service Historique de la Défense, Caen SHD AC 21 P 719124
  6. ↑ Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie, « Prison d'Eysses », sur ajpn.org.
  7. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 38228 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  8. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 104282 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  9. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 104282 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  10. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 142754 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  11. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 149038 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  12. ↑ Archives nationales, « N° de Notice : c-334009 », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr.
  13. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 166342 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  14. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 176806 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 633292 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  15. ↑ « Service historique de la Défense, Caen - AC 21 P 443 285 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  16. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 189078 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 139 9 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 636053 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 32 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  17. ↑ Maxime François, « Seine-Saint-Denis : Jacqueline Tamanini, résistante de la première heure, est morte », sur leparisien.fr, (consulté le )
  18. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 225907 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  19. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 241704 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 611212 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 56 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  20. ↑ « Titres, homologations et services pour faits de résistance - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  21. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 248070 », Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 248070 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 528 6 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 81, sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  22. ↑ « Base des Médailles du Service Historique de la Défense », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  23. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 165474 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  24. ↑ « Enseigner la mémoire ? - Histoire et mémoire de la déportation - La famille Probst-Goujard, une famille de résistants-déportés marnais au service du réseau Mithridate en zone sud - Dossier mis en ligne par Jean-Pierre et Jocelyne Husson », sur pedagogie.ac-reims.fr (consulté le ).
  25. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 264795 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  26. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 275753 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 139 19 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 621135 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 47 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  27. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 602420 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  28. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 308946 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 576524 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  29. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 313658 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR P 28 4 518 3 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  30. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 314236 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 577885 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  31. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 327578 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  32. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 335711 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 585425 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  33. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 342568 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  34. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 376114 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 126 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  35. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 378476 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  36. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 384534 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  37. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 394198 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 127 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  38. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 409127 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 109 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 595518 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 75 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  39. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 411272 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  40. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 420816 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  41. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 432065 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 601672 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  42. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 458172 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 655458 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 65 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  43. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 470441 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 110 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 658541 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 92 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  44. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 489054 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 650697 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  45. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 491770 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 651431 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  46. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 556046 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 677633 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  47. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 557715 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 678617 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 111 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  48. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 557716 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 678618 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 111 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  49. ↑ « Recensement Insee », sur Match ID.
  50. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 576753 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  51. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 587696 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 687074 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  52. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 601862 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 691710 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Rogatien Gautier (aut.) et Jacqueline Fournier (dir.), Agent Number One : réseau Mithridate, 1940-1945, Éd. France-Empire, Paris, 2003, 322 p. (ISBN 2-7048-0968-2)

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