L'économie de Toul, jadis tournée vers l'industrie et stimulée par la présence d'un nombreux contingent militaire, rencontre depuis les années 1990, des difficultés provoquées par les restructurations militaires et la fermeture de l'usine Kléber (2009), à l'origine de perte de plusieurs milliers d'emplois. Enfin, bien qu'en reconversion, la ville n'accueille que peu d'activités tertiaires et aucune formation supérieure n'y est dispensée (à l’exception d’un BTS transport)