Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?

modifierIntroduction

La section Le saviez vous ? du Portail:Monarchie permet de mettre en avant des anecdotes et statistiques liées a la monarchie. Pour ajouter une entrée à cette section, veuillez suivre la procédure suivante :

  1. Cherchez le numéro de la première sous-page disponible à partir des différentes sélections proposées ci-dessous.
  2. Créez la sous-page à l'aide du numéro retenu. (Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/<# here>)
  3. Écrivez votre texte avec le contenu du modèle Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/Modèle
  4. Liez la sous-page nouvellement créée à la liste des sélections (cette page).
  5. Repérez sur la page d'accueil du portail l'occurrence Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/{{rand|1|X}} et remplacez le X par le nombre total de sous-pages.

modifierSélection 1

Dans son sens plus étendu, le blasonnement décrit l'ensemble des armoiries. Dans ce cas, hormis l'écu obligatoirement premier décrit, l'ordre de citation est plus flou.

modifierSélection 2

Si l'écu accompagné de ses ornements, est la représentation graphique des armoiries, le blasonnement en est sa représentation verbale.

modifierSélection 3

Né de la pratique des tournois, des hérauts (qui donneront leur nom à l'héraldique) et de la nécessité de constituer de véritables annuaires (les armoriaux) à double fonction de recueil d'identités et de dépôt d'exclusivité, à une époque où l'illustration, surtout en couleur est une entreprise de longue haleine, le blasonnement se développe en véritable langue, avec vocabulaire et syntaxe, étonnant de rigueur et de précision, permettant de décrire rapidement et sans ambiguïté les blasons les plus complexes.

modifierSélection 4

L'identité héraldique, s'étant longtemps limitée aux éléments portés par l'écu, le blasonnement se contente souvent de ne décrire que celui-ci. Les ornements n'ont pris de l'importance que tardivement, et le blasonnement complet se doit de les intégrer.

modifierSélection 5

Si Napoléon préférait le Chant du départ (il en fit l'hymne officiel de l'Empire) à la Marseillaise, c'est que Rouget de Lisle fut l'amant de Joséphine de Beauharnais. On comprend mieux le choix de l'Empereur.

modifierSélection 6

Napoléon et Joséphine n'eurent pas d'enfants, mais l'Empereur adopta néanmoins Stéphanie de Beauharnais, petite-cousine du premier mari de Joséphine, Alexandre de Beauharnais. Mariée au futur grand-duc Charles II de Bade, Stéphanie est selon certains la mère de Gaspar Hauser, l' « orphelin de l’Europe » de Verlaine.

modifierSélection 7

Napoléon II (L’Aiglon), fils unique de Napoléon, mourut de la tuberculose en Autriche en 1832, dans la famille de sa mère l'impératrice Marie-Louise, à l'age de 21 ans. Dans un geste visant à promouvoir la Collaboration, Adolf Hitler remit son corps à la France, le 15 décembre 1940, 100 ans jours pour jour après le retour du corps de Napoléon depuis Saint-Hélène. Il repose depuis aux Invalides, près de son père.

modifierSélection 8

Napoléon ne fut blessé qu'une seule fois dans toute sa carrière militaire, à la bataille de Ratisbonne, le 23 avril 1809. Une balle en bout de course lui a frappé le talon, n'occasionnant qu'une contusion.

modifierSélection 9

Plusieurs étapes marquent en 1804 le début du Premier Empire : le 18 mai, la Constitution de l'an XII, rédigée par le Sénat, stipule que Napoléon Bonaparte est Empereur des Français ; Cambacérès en demande l'application immédiate, même si un plébiscite doit être organisé. Le 2 août, résultats du plébiscite : 99,92 % de oui. Le 6 novembre, sénatus-consulte de proclamation des résultats du plébiscite. Enfin le 2 décembre, Napoléon est sacré par le pape Pie VII à Notre-Dame de Paris.

modifierSélection 10

Si Napoléon est mort le 5 mai 1821, la nouvelle de sa mort ne fut connue en Europe que 2 mois plus tard. D'Angleterre, la nouvelle fut transmise par l'Ambassadeur de France, arriva à Calais le 5 juillet 1821, fut télégraphiée à Paris pour se retrouver dans le Moniteur Officiel le 6 juillet, et elle fut diffusée plus largement le 7.

modifierSélection 11

Le premier fils de Napoléon, né d'une aventure avec une suivante de sa sœur Caroline Bonaparte nommée Catherine Éléonore Denuelle de la Plaigne, s'appelait Charles Léon. Il fut connu sous l'appellation Comte Léon et mourut en 1881. Sa naissance en décembre 1806 prouva à l'Empereur que la stérilité de son couple avec Joséphine ne venait pas de lui.

modifierSélection 12

Napoléon n'était pas uniquement un habile stratège et technicien sur les champs de bataille, il l'était aussi sur l'échiquier. On garde en particulier de lui une courte mais belle partie contre Madame de Rémusat, où il attire le Roi ennemi dans son propre camp, jusqu'au mat.

modifierSélection 13

Le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799) faillit échouer le 19 brumaire, lorsque Bonaparte fut violemment pris à parti au sein du Conseil des Anciens, puis du Conseil des Cinq-Cents. Au sein de ce dernier, Napoléon n'arriva pas à prononcer une parole et ressortit sous les huées des députés. Un peu plus tard, croyant faussement avoir été mis hors-la-loi, il fit intervenir la troupe en prétendant avoir été menacé. Il n'était en effet pas rare à l'époque de voir des parlementaires armés.

modifierSélection 14

Napoléon Ier fut sacré le  ; la bataille d'Austerlitz eut lieu le . Tandis que son neveu Louis-Napoléon Bonaparte fit son Coup d'État le  ; et il fut proclamé empereur le , sous le nom de Napoléon III.

modifierSélection 15

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira, refrain qui symbolise la Révolution française, fut entendu pour la première fois en mai 1790. Son auteur, un ancien soldat chanteur des rues du nom de Ladré, avait adapté des paroles anodines sur le Carillon national, un air de contredanse très populaire dû à Bécourt, violoniste au théâtre Beaujolais et que la reine Marie-Antoinette elle-même aimait souvent jouer sur son clavecin.

Le titre et le thème du refrain de cette chanson ont été inspirés par l’optimisme imperturbable de Benjamin Franklin, représentant très apprécié par le peuple français du Congrès des 13 colonies d’Amérique à Paris, du 22 décembre 1776 au 12 juillet 1785 qui, lorsqu’on lui demandait des nouvelles de la guerre d’Indépendance américaine, répondait invariablement dans son mauvais français : « Ça ira, ça ira » (pour l’anglais : It’ll be fine). À la Révolution, le texte fut transformé par les sans-culottes en apostrophes assassines à l’égard de l’aristocratie et du clergé. Le « Ça ira » survécut à thermidor et le Directoire ordonna même qu’on le chantât avant chaque spectacle. Il fut interdit sous le Consulat [réf. souhaitée].

modifierSélection 16

La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne est un texte juridique français, exigeant la pleine assimilation légale, politique et sociale des femmes, rédigé en septembre 1791, par l’écrivaine Olympe de Gouges sur le modèle de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 proclamée le 26 août 1789. Premier document à évoquer l’égalité juridique et légale des femmes par rapport aux hommes, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne a été rédigée afin d’être présentée à l’Assemblée nationale pour y être adoptée.

modifierSélection 17

Le cimetière de Picpus est le seul cimetière privé de la ville de Paris (France). Il a été créé sur un terrain cédé par le couvent des Chanoinesses de Saint-Augustin pendant la Révolution française.

modifierSélection 18

Les Républiques sœurs sont des États européens ayant existé pendant la Révolution française, par exemple ; la République cisalpine, la République batave, ou encore la République parthénopéenne.

modifierSélection 19

Le baiser Lamourette est un geste inventé par Antoine-Adrien Lamourette, évêque constitutionnel de Lyon. Le 7 juillet 1792, il propose à l'Assemblée un baiser fraternel destiné à aplanir les différences entre partis révolutionnaires.

modifierSélection 20

Les cartes traditionnelles françaises (telles qu'on les connaît aujourd'hui) ont été créés au Moyen Âge. Pour cette raison, les figures (ou « têtes ») représentent des personnages considérés comme héroïques à cette époque.
Trèfle

Lancelot du Lac désigne le valet, Alexandre le Grand désigne le roi.

Carreau

Hector désigne le valet, Rachel désigne la dame, Jules César désigne le roi.

Cœur

Étienne de Vignolles désigne le valet, Judith désigne la dame, Charlemagne désigne le roi.

Pique

Ogier de Danemarche désigne le valet, Athéna désigne la dame, David désigne le roi.

modifierSélection 21

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/21

modifierSélection 22

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/22

modifierSélection 23

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/23

modifierSélection 24

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/24

modifierSélection 25

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/25

modifierSélection 26

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/26

modifierSélection 27

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/27

modifierSélection 28

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/28

modifierSélection 29

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/29

modifierSélection 30

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/30

modifierSélection 31

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/31

modifierSélection 32

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/32

modifierSélection 33

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/33

modifierSélection 34

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/34

modifierSélection 35

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/35

modifierSélection 36

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/36

modifierSélection 37

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/37

modifierSélection 38

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/38

modifierSélection 39

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/39

modifierSélection 40

Portail:Monarchie/Le saviez-vous ?/40