Michel Pelchat (homme politique)

personnalité politique française

Michel Pelchat
Fonctions
Sénateur de l’Essonne

(8 ans, 2 mois et 2 jours)
Député français

(7 ans, 5 mois et 17 jours)
Élection 12 juin 1988
Réélection 28 mars 1993
Circonscription 5e de l’Essonne
Législature IXe et Xe (Cinquième République)
Groupe politique UDF (1988-1993)
UDFC (1993-1995)
Prédécesseur Proportionnelle par département
Successeur Jean-Marc Salinier

(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection 16 mars 1986
Circonscription Essonne
Législature VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Conseiller général de l'Essonne

(22 ans et 8 jours)
Circonscription Canton de Gif-sur-Yvette
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris
Date de décès (à 68 ans)
Lieu de décès Paris
Nationalité Française
Parti politique UDF puis UMP
Profession Ingénieur au CEA

Michel Pelchat, né le et mort le à Paris, est un homme politique français. Membre de l'Union pour un mouvement populaire, il est conseiller général du canton de Gif-sur-Yvette et premier vice-président du conseil général de l'Essonne, député de la cinquième circonscription de l'Essonne puis sénateur de l’Essonne.

Biographie modifier

Michel Pelchat est né le à Paris et décédé le à Paris[1] en cours de mandat. C’était un ami personnel de l’industriel et homme politique Serge Dassault[2].

Il est ingénieur au Commissariat à l'énergie atomique.

Carrière politique modifier

Michel Pelchat est successivement conseiller général du canton de Gif-sur-Yvette, premier vice-président du conseil général de l'Essonne, député de la cinquième circonscription de l'Essonne de 1986 à 1995 puis sénateur de l’Essonne de 1995 à son décès en 2004[3]. Il est considéré comme l'un des « pères fondateurs de l’Essonne »[4]. Il est à l'origine de la législation sur les quotas de chansons françaises à la radio[5].

Intégrité publique et condamnations modifier

Une information judiciaire fut ouverte à son encontre en 1996 pour abus de biens sociaux, recel, corruption active et complicité dans le cadre de la signature d’un contrat en 1989 entre l'homme d'affaires Vsevold Dimitrieff et le Syndicat intercommunal des ordures ménagères de la vallée de Chevreuse, alors présidé par Michel Pelchat[6]. Les perquisitions organisées au siège du Siom ne donnèrent pas lieu à sa mise en examen[4].

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Références modifier