Interdiction des plastiques à usage unique
Les mesures d'interdiction des plastiques à usage unique sont des textes législatifs instaurés par plusieurs pays afin d’interdire la distribution d’objets jetables en plastique à partir du début des années 2010. Ces mesures sont principalement motivées par la prise de conscience des risques de la pollution plastique, particulièrement en milieu océanique.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/52/Trinkhalm.jpg/220px-Trinkhalm.jpg)
Contexte et motivations
modifierJuridictions européennes
modifierEn 2019, au terme d'un processus législatif inhabituellement rapide, une procédure législative ordinaire européenne est adoptée[1] interdisant, avec effet en 2021, une dizaine de catégorie d'articles en plastique à usage unique : vaisselle en plastique, cotons-tiges, gobelets, barquettes en polystyrène de la restauration à emporter.
Autres juridictions
modifierJuridictions asiatiques
modifierChine
modifierInde
modifierJuridictions nord-américaines
modifierJuridictions africaines
modifierEn juillet 2019, grâce à l'action de l'écologiste Gloria Majiga-Kamoto, la Cour suprême du Malawi a statué que la fabrication, la commercialisation, la vente et l'utilisation de plastique à usage unique (60 micromètres ou moins) sont illégales[2].
Juridictions d'Amérique du Sud
modifierEffets
modifierRéduction attendue du volume de déchets
modifierAdaptation des industries concernées
modifierImpacts négatifs et effets pervers possibles
modifierNotes et références
modifier- (en) « P8_TA-PROV(2019)0305 Reduction of the impact of certain plastic products on the environment », sur europarl.europa,
- Nimi Princewill, « Malawi's landscape is clogged with plastic waste that could linger for 100 years. One woman has taken on plastic companies and won », Cable News Network, (consulté le )
Voir aussi
modifier- Hélène Seingier, Réduire son empreinte plastique, Ulmer, coll. « Résiliences », , 128 p. (ISBN 9782379222870).