Marguerite Nebelsztein

militante féministe française

Marguerite Nebelsztein, née en 1988 en Indre-et-Loire, est une militante féministe du collectif Génération précaire puis du collectif Georgette Sand.

Carrière professionnelle modifier

À 17 ans, elle se rend à Hong Kong pour une année AFS en famille d'accueil, à la Tuen Mun Catholic Seconday School. L'année suivante, elle entame à l'Université de Tours François Rabelais, une licence en histoire. Elle poursuivra d'ailleurs cette licence par une dernière année en 2009, au Québec, à l'université de Sherbrooke. Elle poursuit en master à l'Université française de Pau et des Pays de l'Audour et clôture ses études par un Master 2 Pro à l'ESJ Paris.

Parallèlement à ces études, Marguerite Nebelsztein enchaîne stages et rédaction d'articles à NRJ , au Nouvel Observateur puis à Le Monde, Libération, La Nouvelle République, ou encore Le Parisien. Ces stages seront interrompus par un séjour en Afghanistan, à Kaboul, avec la première organisation étudiante du monde : l'AIESEC, dans une université privée locale.

À la fin de ses études, elle s'engage aux côtés du collectif Génération Précaire, pour l'amélioration des droits des stagiaires en France.

Pigiste, elle retourne à Hong Kong en 2014 à l'occasion de la Révolution des parapluies.

Engagée dans le collectif Georgette Sand depuis 2014, elle participe à l'écriture du livre Ni vues ni connues, qui décrypte les processus d'invisibilisation des femmes dans les livres d'histoire.

En 2020, elle co-fonde la newsletter féministe et participative : Sorocité[1]Elle participe à l'écriture du cahier de vacances féministe sorti chez Hachette en 2022.

En 2021, elle lance avec le collectif Georgette Sand, les rencontres féministes de la Teinturerie dans sa ville d'origine, Richelieu.

Références modifier

  1. « Sorocité », sur Sorocité (consulté le )

Liens externes modifier