Marcelle Roy

poétesse québécoise
Marcelle Roy
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Marcelle Roy, née le 6 avril 1935, est une poétesse québécoise. Elle vit à Montréal[1].

Biographie modifier

Marcelle Roy détient un baccalauréat en arts de l'Université Laval (1956)[1].

Elle travaille à la revue Recherches amérindiennes au Québec en plus de collaborer aux revues Questions de culture, Arcade, Moebius, Liberté, Estuaire et L'Arbre à paroles[1].

En poésie, elle publie plusieurs titres, soit Traces (VLB Éditeur, 1982), L'Hydre à deux cœurs (Éditions du Noroît, 1986), La ville autour (Éditions du Noroît, 1995), Longitudes (Éditions du Noroît, 1998), Pattes d'oie (Éditions du Noroît, 2003) ainsi que Lumière aux aguets (Éditions du Noroît, 2008)[2],[3],[4],[5],[6].

En 1983, Marcelle Roy est finaliste du Prix des jeunes écrivains du Journal de Montréal[1],[7].

Elle est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois[1].

Œuvres modifier

Poésie modifier

Prix et honneurs modifier

Notes et références modifier

  1. a b c d et e « Recherche - L'Île », sur www.litterature.org (consulté le )
  2. « Nouveautés », Québec français, no 48,‎ , p. 2–11 (ISSN 0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
  3. René Dionne, « Traces de Marcelle Roy », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 32,‎ , p. 67–67 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  4. Hugues Corriveau, « Chants solitaires / Jean-Simon DesRochers, Parle seul (avec sept illustrations d’Andrée-Anne Dupuis Bourret) Montréal, Les Herbes rouges, 2003, 72 p., 14,95 $. / Marcelle Roy, Pattes d’oie, Montréal, le Noroît, 2003, 80 p., 15,95 $. / Danyelle Morin, Cantejondo. Un chant profond, de vous à moi (préface de Bruno Roy), Ottawa, David, 2003, 196 p., 13 $. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 112,‎ , p. 34–35 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  5. Gilles Toupin, « Amour, catastrophes et hydre », La Presse •,‎
  6. David Cantin, « Les mots souples du poème », Le Devoir •,‎ , p. F3 •
  7. a et b Réginald Martel, « Un prix littéraire à Philippe Haeck pour "la Parole verte" », La Presse •,‎

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier