Liste des Bœuf Gras au Carnaval de Paris

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Liste des Bœufs Gras parus lors de la Promenade du Bœuf Gras au Carnaval de Paris et dates de leurs défilés. Dans le cas où plusieurs Bœufs Gras sortent la même année, la précision apparaît.

Premiers défilés connus et apogée de la fête : 1739-1870 modifier

le mercredi 4, avec un Bœuf Gras
et des bouchers, le 5, jeudi gras,
avec un autre Bœuf Gras[1].
Longueur, du sommet de la tête à l'extrémité de la croupe, 2,85 m,
Hauteur au garrot, 1,75 m, circonférence au sternum, 3,02 m,
Poids : 1 975 kg[17].
  • 1847Monte-Cristo
Hauteur au garrot, 1,66 m, hauteur à la croupe, 1,70 m
Longueur de la tête à la queue, 2,77 m
Circonférence, 3,70 m, poids 950 kg[18]
  • 1848 – Pas de défilé du Bœuf Gras.
  • 1849Californien défile à Versailles[19],[20].
  • 1850César défile en banlieue de Paris.
  • 2 et 4 mars 1851 – Reprise de la fête à Paris, après trois ans d'interruption[21]. 3 Bœufs Gras participent à celle-ci[22] :
Liberté, 1 750 kg,
Le Champi[23]
Le Californien[19].
Père-Tom[26],[27],
Shelby,
Saint-Clare.
Porthos,
Athos,
Aramis,
d'Artagnan[28]
Sébastopol, longueur 2,70 m, hauteur 1,70 m, poids 1 330 kg,
Malakoff, longueur 2,60 m, hauteur 1,72 m, poids 1 320 kg,
Bomarsund, longueur 2,50 m, hauteur 1,72 m, poids 1 270 kg,
et 3 autres Bœufs Gras.
Duc-Guillaume,
Progrès,
Succès,
Qu'en-dira-t-on,
Prétendant[31].
Sarlabot[32] 1 005 kg
Léviathan, âgé de cinq ans, taille 1,75 m, poids 1 390 kg,
Sarlabot, bœuf sans cornes, poids 965 kg[33].
Dalila, âgé de cinq ans, taille 1,58 m, poids 1 010 kg[34],
Favori, âgé de 4 ans et demi, taille 1,60 m, poids 1 060 kg[35],[36].
Bastien hauteur 1,67 m au garrot, longueur 2,88 m, poids 1 225 kg[37]
Lombard[38]
Turin[38]
Solferino, 1 090 kg,
Magenta, 1 050 kg,
Palestro, 1 330 kg,
Zurich, 1 030 kg,
Villafranca, 960 kg.
Pékin, long de 2,60 m, poids : 1 280 kg,
Qu'en-dira-t-on, 2,70 m, 1 340 kg,
Shang-Haï, 2,60 m, 1 270 kg.
dont 2 n'ont pas défilés :
Lustucru
Cultivateur[41]
La Vera-Cruz,
Mexico,
Saïgon,
Bien-Hoa,
Grand-Bassam,
Tu-vas-me-l'payer[42],[43].
Le Pied qui r'mue, 1 060 kg,
Rothomago, 1 035 kg,
Le Franc-Picard, 1 100 kg,
Le Bossu, 1 135 kg,
Conty,
Lalla-Roukh[44].
Victorieux, 1 200 kg,
Charmant, 1 110 kg,
Bonhomme, 1 160 kg,
Montjoie, 1 130 kg,
Aladin, 1 180 kg,
Frégate, 1 170 kg.
Bataclan
Capitaine Henriot
Maitre Guérin, 1 305 kg
le Vieux Garçon, 1 240 kg
le Petit Journal
le Grand journal
le Journal
Mon Journal
Beau-Nivernais, 1 360 kg
les Nouvelles, 1 330 kg
la Tremblade, 1 310 kg
l'Évènement, 1 350 kg
la Lune, 1 550 kg[48]
le Grand-Gymnase
Sardanapale
Freyschütz
Orphée
le Diable-Boiteux[49].
La Nièvre, 1 361 kg,
Mignon, 1 355 kg,
Le Lutteur masqué[52], 1 480 kg,
Paul Forestier, 1 311 kg[28].
Théodoros, 1 468 kg,
Chilpéric
Tulipatan, 1 281 kg[53].
Le Tremblay[54], 1 320 kg,
Port-Saïd, 1 340 kg,
Le Beau Normand, 1 410 kg,
Amurat IV[55].
  • 1871 à 1895 inclus, pas de défilés du Bœuf Gras.

Renaissance du cortège : 1896-1951 modifier

Champignol, 1 140 kg,
Messidor, 1 019 kg,
Don Juan, 1 200 kg[57],[58].
10 février – Bœuf Gras de la Rive gauche (abattoirs de Vaugirard) : Vaugirard 1er[66].
14 avril – Bœuf Gras de la Rive droite (abattoirs de la Villette) : Givrillot (1 750 kg[67]).

Deuxième renaissance du cortège : à partir de 1998 modifier

Références modifier

  1. Mercure de France, février 1739, pages 387 à 390.
  2. Courrier Français, 7 ventôse, an XIII (1805).
  3. a et b « La pompe du bœuf gras a été plus brillante cette année que l'année dernière », Journal de l'Empire, 11 février 1807. Il a donc défilé en 1806 et 1807.
  4. Collections historiques de la préfecture de Police, facture de la somme de cent vingt francs accordée, à titre d'indemnité aux Marchands Bouchers qui promènent le Bœuf gras dans Paris.
  5. Le bœuf gras défile à Paris le mardi gras 27 février 1816, comme le rapporte Le Constitutionnel, 28 février 1816, numéro 59, page 3, 2e colonne. L'image décorant le placard de l'Ordre et la Marche du Bœuf Gras 1816, conservé au musée Carnavalet à Paris, a été reproduite en première page du journal La Presse, 23 mars 1927. Voir cette image reproduite sur la base Gallica.
  6. « On admire sur-tout le superbe croissant dont sa tête est couronnée. » (Le Constitutionnel, 18 février 1817).
  7. FRANCE, Paris, 3 février., Journal des débats, 4 février 1818, p. 1, 2e colonne. Voir l'article reproduit sur la base Commons.
  8. Journal des débats, 24 février 1819.
  9. Journal des débats, 20 février 1822, p. 3, 2e colonne.
  10. Journal des débats, 25 février 1824, 1re colonne. Voir la description du cortège, dans le Journal des débats du 3 mars 1824, p. 1, 1re colonne. Voir cet article reproduit sur la base Commons.
  11. Le Constitutionnel, 15 février 1825.
  12. Journal des débats, 4 mars 1829, p. 2, 3e colonne. Voir l'article reproduit sur la base Commons.
  13. Journal des débats, 10 février 1834, Journal des débats, 12 février 1834.
  14. Journal des débats, 9 février 1834.
  15. L'Ami de la religion et du Roi, journal ecclésiastique, politique et littéraire, lundi 23 et mardi 24 février 1835, p.747. Voir l'article d'annonce du Bœuf Gras 1835 reproduit sur la base Commons.
  16. Ordre et marche du bœuf gras, programme de 1845 (Bibliothèque historique de la ville de Paris, dossiers Actualités Carnaval).
  17. Le Moniteur universel, 20 février 1846. Mensurations données par le programme de la fête, repris par L'Illustration du 8 février 1896. Le programme précise que ce bœuf, « pour la grosseur, n'a de rival que l'éléphant du Jardin des Plantes. ». Dagobert a reçu ce nom pour la fête en référence à un personnage du roman à succès d'Eugène Sue Le Juif errant.
  18. La Presse, 5 février 1847, page 3, 5e colonne.
  19. a et b Bœuf Gras baptisé en référence à la ruée vers l'or en Californie, débutée en 1849.
  20. « Encore le bœuf gras », La Revue comique à l'usage des gens sérieux, avril 1849, page 238, 2e colonne.
  21. Le Constitutionnel, lundi gras 3 mars 1851, page 2, 5e et 6e colonnes. Les Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine conservent le programme de la fête, intitulé Marche du Bœuf Gras. Il annonce la sortie, les 2 et 4 mars 1851, d'un Bœuf Gras, qui n'a pas de nom et pèse 1 432 kg. Le texte de ce programme indique que la fête n'a pas eu lieu depuis trois ans. Arnault, l'organisateur de cette renaissance, dirigeait l'Hippodrome. C'était un établissement parisien de spectacles en plein air, inauguré le 3 juillet 1845.
    « Ce vaste établissement se trouvait, quand on venait de Paris, à gauche de l'Arc de Triomphe, dans l'axe même de ce monument, à l'endroit où s'ouvre de nos jours l'avenue Victor-Hugo. »
    A. L'Esprit Les Hippodromes, Bulletin de la Société historique d'Auteuil et de Passy, 1er et 2e trimestres 1915, p.245, 1re colonne.
    L'Hippodrome fut contraint de déménager après 1855 et rouvrit le 10 juin 1856 au rond-point de la Plaine de Passy, qui porte aujourd'hui le nom de place Victor-Hugo.
  22. Darthenay La Fête de l'Agriculture, Le Nouvelliste, 4 mars 1851, p.2, 2e colonne. Voir l'article reproduit sur la base Commons. Voir l'itinéraire de la Promenade du Bœuf Gras 1851 et l'annonce de la fête donnée à l'Hippodrome de Paris à cette occasion.
  23. Bœuf Gras baptisé Le Champi en référence au court roman de George Sand François le Champi, paru en 1848.
  24. a et b Programme de la fête (Bibliothèque historique de la ville de Paris, dossiers Actualités Carnaval).
  25. Voir la chanson de Justin Cabassol Manlius, le bœuf gras, publiée dans le recueil du Caveau 1853, contenant des œuvres créées en 1852 et aussi le programme de la fête. Ce bœuf a été nommé Manlius Capitolinus en référence à une pièce de théâtre de ce nom. Cette pièce est mentionnée dans un article sur la Société des Ménestrels de Belleville, goguette qui en interprète une scène en 1847. Par la suite le nom du bœuf a été abrégé en Manlius.
  26. ...« magnifique animal âgé de cinq ans, de pure race cotentine »...« Le Père-Tom mesure un mètre quatre-vingt centimètres au garrot, deux mètres soixante-douze centimètres de longueur totale et trois mètres vingt centimètres de circonférence à l'ombilic. » Citation du « Programme officiel du Cortège et de la Marche du Bœuf-Gras Avec l'Itinéraire »...
  27. Les trois Bœufs Gras de 1853, Père-Tom, Shelby et Saint-Clare ont été baptisés en l'honneur de héros du livre La Case de l'oncle Tom de Harriet Beecher Stowe. Une controverse a été soulevée à cette occasion par un journaliste parisien à propos de l’appellation Père-Tom choisie à la place d'Oncle-Tom. Voir à ce sujet l'article de J. Berny Père ou non ?, paru dans Le Journal pour rire du 26 février 1853, p.4.
  28. a et b L'Illustration, 8 février 1896.
  29. Programme de l'Ordre et de la Marche des Bœufs-Gras, 1855, Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine.
  30. Voir le programme de 1857 en ligne sur Internet.
  31. La Presse, 22 février 1857, page 3, 1re colonne.
  32. La Presse, 23 février 1857, page 2, 5e colonne. Sarlabot porte le nom du domaine où il a été élevé en Normandie et de la nouvelle race bovine à laquelle il appartient.
  33. Le Bœuf Gras baptisé également Sarlabot, du nom du domaine de Trousseauville où il est né, qui a participé au défilé parisien en 1857, a été abattu le 19 avril 1857. En 1858, défile un Bœuf Gras homonyme et de la même race.
  34. Nommé Dalila en hommage à une œuvre d'Octave Feuillet.
  35. La Gironde, 16 février 1858. Programme de l'Ordre et de la Marche des Bœufs-Gras, 1858, (2 programmes, l'un n'indique que les trois premiers bœufs), Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine.
  36. Le périodique Annales de l'agriculture française, 1858, p.176, donne une liste de Bœufs Gras 1858 différente :
    Turlututu, Léviathan, Dalila appartenant à M. Adeline, et Sarlabot envoyé par M. Dutrône. Turlututu pesait 1 330 kg, Léviathan 1 390 kg, Dalila, 1 010 kg, ... Sarlabot, âgé de cinquante-quatre mois environ, pesait 980 kilog.
    La même liste est donnée par L'Univers illustré du 27 février 1858, p. 135, 2e colonne, article Les Bœufs gras.
  37. « Le cortège, dirigé par M.Meeh, sera splendide, et le bœuf gras, chargé de guirlandes, sera placé sur un magnifique char. Lundi et mardi, d'autres bœufs feront la promenade. Mardi aura lieu la visite aux Tuileries. » Le Constitutionnel, 5 mars 1859.
    Bastien a été nommé en référence à un succès de la chanson œuvre du goguettier Eugène Imbert : « Les Bottes de Bastien » :

    Bastien est un grand personnage
    Au ventre rond, aux cheveux gras.
    On lui donne dans le village
    Du « monsieur » gros comme le bras.
    Pieds nus, et vivant de carottes,
    Hier c'était un franc vaurien :
    Mais il a des bottes,
    Il a des bottes,
    Bastien ;
    Il a des bottes, bottes, bottes,
    Il a des bottes,
    Bastien.

  38. a et b Le Monde illustré, 12 mars 1859.
  39. Programme non daté, conservé aux Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine. Quatre bœufs portent des noms en rapport avec des évènements survenus en Italie, moins d'un an auparavant. La date du programme est facile à déduire.
  40. Voir le programme de 1861 en ligne sur Internet.
  41. La liste des Bœufs Gras 1861 a été relevée dans le Programme officiel, Ordre et Marche des Bœufs Gras, 1861, conservé aux Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine.
  42. La Presse, 3 mars 1862, page 2, 5e colonne.
  43. Le Bœuf Gras de 1862 baptisé Tu-vas-me-l'payer l'est en hommage à une chanson alors à la mode, comme l'explique Jacques Lefranc dans Le Courrier de la Semaine du Supplément littéraire illustré du "Petit Parisien" du 1er février 1891, p. 2, 1re colonne (voir l'article en entier reproduit sur la base Commons.) :
    ... ce nom n'a d'autre but que de donner des gages à la chanson populaire, car ce refrain court alors les rues :
    Tu vas m'le payer, Aglaé !
  44. Cortege et Marche des Bœufs-Gras, 1863, Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine. Un des six Bœufs Gras porte le nom de « Lalla-Roukh », opéra-comique en 2 actes, livret de Michel Carré et Hippolyte Lucas, d'après Thomas Moore, musique de Félicien David, donné pour la première fois, à l'Opéra-Comique, le 12 mai 1862.
  45. Tous de race cotentine et âgés d'au moins 5 ans.
  46. Paris, Le Petit Journal, 26 février 1865, page 2, 1re colonne.
  47. Le Petit Journal, 12 février 1866, page 2, 2e et 3e colonnes.
  48. La Lune est un Bœuf Gras nommé en l'honneur du journal satirique La Lune et non en l'honneur du satellite de la Terre. Voir Feu le bœuf-gras, chapitre de Vingt années de Paris, livre de souvenirs d'André Gill paru en 1883.
  49. Timothée Trimm Messieurs les bouchers !..., Le Petit Journal, 26 février 1867, page 2, 1re et 2e colonne
  50. L'opinion nationale, du 27 février 1868 annonce par erreur Vieux Garçon, 1 305 kg, Bœuf Gras qui a en fait défilé en 1865.
  51. L'article Les bœufs gras de 1868, Le Petit Journal, 7 février 1868, page 1, 2e colonne, indique comme premiers noms de baptême des bœufs gras de 1868 : Gulliver, la Cagnotte, Blondin et Rumford.
  52. Le Lutteur masqué porte ce nom car il est affublé d'un loup en taffetas noir.
  53. Les bœufs gras de 1869 sont mentionnés dans La Presse, 9 février 1869. Timothée Trimm dans l'article Le Bœuf gras... Théodoros... paru en première page du Petit Journal du 9 février 1869 indique dans sa 2e colonne comme origine des noms des bœufs gras 1869 : Théodoros : souverain d'Abyssinie, despote cruel et barbare ; Chilpéric : une folie non dramatique que le théâtre des Folies-Dramatiques a représentée ; Tulipatan : une œuvre d'Offenbach représentée au théâtre des Bouffes Parisiens. Timothée Trimm mentionne à la fin de son article, en page 2, l'acheteur des bœufs gras : M. Porret, et le nom d'un quatrième bœuf gras de 1869 qui lui n'a pas reçu l'honneur de la publicité : Monsieur Lecoq. On trouve sur Internet le programme de la Marche des Bœufs Gras de 1869.
  54. « Tremblay, nom du pays qui lui a donné le jour »,Le Pays, 24 février 1870.
  55. Le Pays, 24 février 1870 et Marche des Bœufs Gras, 1870, Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine (Le Pays nomme Le Beau Normand : Gros Normand).
  56. Distance parcourue : 11 kilomètres le 16, 17 kilomètres le 17, 18 kilomètres le 18. Le Journal illustré, 16 février 1896. L'estimation préliminaire du cortège, conservée aux Archives de Paris et de l'ancien département de la Seine, indique qu'il est prévu la participation de 733 figurants, hommes, femmes ou enfants, 165 chevaux de selle, 80 chevaux d'attelage, 17 voitures, dont 12 chars, 2 calèches, 2 charrettes et une marmite géante, tirée par 4 chevaux de trait.
  57. Le poids des Bœufs Gras 1897 est indiqué dans l'article Les bœufs gras., La Gazette du village, 1897, p.119, 3e colonne.
  58. Le cortège compte 860 figurants, 238 musiciens, 269 chevaux, avec, au total 6 groupes, comprenant le géant Messire Carnaval : un immense clown monté sur un vélo, en tête (le clown sera filmé par les équipes de frères Lumière, voir la Filmographie du Carnaval de Paris), 16 chars et un omnibus automobile. Le Petit Journal, 24 février 1897
  59. La Fête de l'Alimentation, Le Petit Journal, 26 février 1900, page 2, 2e, 3e et 4e colonnes. Le nom du Bœuf Gras 1900 n'est pas indiqué par Le Petit Journal. Il est en revanche rapporté tout à la fin de l'article compte-rendu de la fête paru dans Le Figaro : A la Villette, 26 février 1900, page 3, 4e, 5e et 6e colonnes. Voir l'article du Figaro reproduit en entier sur la base Commons.
  60. « A cause de l'Exposition qui a supprimé le Palais de l'Industrie, le concours des animaux gras a eu lieu à la Villette, où il était parfaitement à sa place. » Nos gravures, Le Bœuf gras à la Villette, Le Petit Journal, supplément illustré du dimanche, 11 mars 1900, page 79, 4e colonne.
  61. Le Marché Lenoir, La Presse, 7 mars 1902, 1re page, 4e colonne. Voir l'article reproduit sur la base Commons.
  62. Le bœuf gras, Le Petit Parisien, 17 mars 1902, page 2, 4e et 5e colonnes. Voir l'article reproduit sur la base Commons.
  63. A Paris, Le bœuf gras, Le Figaro, 29 mars 1903, page 3, 4e colonne. Voir l'annonce du défilé dans Le Figaro, reproduite sur la base Commons.
  64. Le bœuf gras, Le cortège, Le Petit Parisien, 29 mars 1903, page 2, 6e colonne. Voir l'article reproduit sur la base Commons.
  65. La cavalcade du bœuf gras, Le Petit Parisien, 2 avril 1906, page 2, 4e et 5e colonnes.
  66. Le Carnaval de 1907, Le Bœuf Gras de la Rive Gauche, Vaugirard 1er, Le Petit Journal, 10 février 1907, 1re page, 4e et 5e colonnes ; Les fêtes du bœuf gras, Vaugirard 1er et sa folle cour, Le Petit Parisien, 10 février 1907, page 2, 3e et 4e colonnes.
  67. Les fêtes du bœuf gras, Le Petit Parisien, 30 mars 1907, page 4, 3e et 4e colonnes. La journée de « Givrillot », Le Petit Parisien, 15 avril 1907, page 1, 5e et 6e colonnes et page 2, 1re et 2e colonnes.
  68. Article La cavalcade de la Villette, Le Cortège du Bœuf gras, Le Petit Journal, 27 avril 1908, page 4, 1re colonne et feuille volante programme de la fête, conservée dans les dossiers Actualités Carnaval de la Bibliothèque historique de la ville de Paris.
  69. Photo de Dunois 1er Bœuf Gras 1908.
  70. Sur Internet on peut voir en photo une vue générale du défilé du Bœuf Gras 1913 et deux vues rapprochées du char du Bœuf Gras1, 2.
  71. Le Petit Journal, 27 février 1913, page 2, 1re colonne.
  72. « Fermant le cortège, venaient (en camions) les animaux primés au Concours agricole : quatre grands bœufs, à faire rêver tous les paysans de France, le bœuf gras Charlot, et une génisse, Charlotte, naturellement. Enfin, les moutons gras aussi, les moutons de Panurge » Extrait de l'article « Le cortège de la Mi-Carême traverse Paris sous la pluie » L'Écho de Paris, 23 mars 1924.
  73. La Mi-Carême à Paris, Le Petit Journal, 25 mars 1927, page 2, 4e colonne.
  74. Le Petit Parisien, 15 mars 1928, page 1.
  75. Photo du Bœuf Gras de la cavalcade de l'esplanade des Tuileries, jeudi de la Mi-Carême 8 mars 1934.
  76. Coupure du journal JNL, du 20 mars 1936, (Dossiers Actualités Carnaval - Bibliothèque historique de la ville de Paris).
  77. Combat, 28 mai 1951.
  78. Le Parisien libéré, 21 avril 1952.
  79. Il ressortira le 27 septembre 1998 pour participer au cortège de la renaissance du Carnaval de Paris. À cette occasion sa photo paraît illustrant l'article de compte-rendu de la fête dans Le Parisien, Le Journal de Paris, du 28 septembre 1998. D'abord porté en 1998 par les élèves de l'École des Métiers de la Viande de Paris, il défile depuis 1999 jusqu'à 2009 à tous les cortèges du Carnaval de Paris monté sur un petit tracteur quad.
  80. Le Parisien, Le Journal de Paris, article non signé, 28 septembre 1998.
  81. Le Parisien, Le Journal de Paris, 27 septembre 1999, article signé F. S.
  82. Le Parisien, Le Journal de Paris, 28 février 2000, article de Bruno Queinnec.
  83. Le Parisien, Le Journal de Paris, 26 février 2001, article de Arnaud Murati.
  84. France-Soir, 11 février 2002, article de Séverine Corson.
  85. Le Parisien, Le Journal de Paris, 3 mars 2003.
  86. Le Parisien, Édition de Paris, 22 octobre 2003, page IV, Métro (édition de Paris), 23 février 2004
  87. Le Parisien, Le Journal de Paris, 7 février 2005.
  88. Le Parisien, Le Journal de Paris, 27 février 2006, article « L'événement Paris veut retrouver son carnaval », rédigé sur une page entière, par Marie Linton.
  89. 20 minutes (édition de Paris), 16 février 2007, page 29.
  90. Le Figaroscope, semaine du 30 janvier au 5 février 2008, article de Jean-Bernard Litzler, pages 4 et 5.
  91. Site Internet officiel du Carnaval de Paris [1] et tract imprimé des Fumantes de Pantruche déposé au département des Arts du Spectacle de la Bibliothèque nationale de France.
  92. Croisée charolais-montbéliarde, 400 kg.
  93. Velle limousine âgée de 5 semaines.
  94. Le Journal du Dimanche, 19 février 2012, pages Dimanche Paris, rubrique Que faire aujourd'hui, page IV.
  95. Télérama supplément parisien Sortir, page 35.