Junon (Q186)

sous-marin de la marine nationale française

Junon
illustration de Junon (Q186)
La Junon à Plymouth.

Type Sous-marin
Classe Minerve (Standard amirauté T2)
Histoire
A servi dans  Marine nationale
Pavillon des forces navales françaises libres Forces navales françaises libres
Chantier naval Chantier Augustin Normand (Ateliers et chantiers du Havre), Le Havre
Quille posée
Lancement
Armé
Statut Désarmé le
Caractéristiques techniques
Longueur 68,1 m
Maître-bau 5,6 m
Tirant d'eau 3,66 m
Tonnage 856 t (plongée)
Propulsion Surface : 2 moteurs Diesel 900 ch. Plongée : 2 moteurs électriques
Puissance 2 x 900 ch (Diesel), 2 x 615 ch (électriques)
Caractéristiques militaires
Armement 6 tubes lance-torpilles de 550 mm
1 canon de 75 mm sur le pont devant le kiosque
1 mitrailleuse de 13,2 mm/76 AA
2 mitrailleuses Hotchkiss modèle 1914 de 8 mm
Carrière
Pavillon France
Indicatif Q186

La Junon est un sous-marin type Standard Amirauté T2 Minerve (numéro de coque Q186).

Histoire modifier

Lors de la Seconde Guerre mondiale le sous-marin est saisi par les Britanniques puis transféré aux FNFL le . Il participe à de nombreuses opérations secrètes de dépose d'agents secrets notamment en Norvège (telle l'opération Musketoon), sous le commandement de Jean-Marie Querville, futur amiral[1].

Commandants modifier

Personnalités ayant servi sur le navire modifier

Notes et références modifier

  1. « Jean-Marie Querville », dans Vladimir Trouplin, Dictionnaire des Compagnons de la Libération, Bordeaux, Elytis, [Notice en ligne]
  2. « Officiers de marine », Journal officiel de la République française, vol. 69e année, no 183,‎ , p. 8948 (lire en ligne).
  3. Claude Huan et Jean Moulin, Les sous-marins français 1945-2000, Rennes, Marines éditions, , 119 p. (ISBN 978-2-35743-041-9 et 2-35743-041-9, EAN 978-2-35743-041-9), p. 38.

Bibliographie modifier

Liens externes modifier