Joseph Anouma
Naissance
Dabré (M'batto), Côte d'Ivoire
Activité principale
Plasticien, Poète
Auteur
Langue d’écriture Français

Joseph Anouma est un poète et plasticien ivoirien né à Dabré en 1949, dans la sous-préfecture de M’Batto.[1],[2]

Biographie modifier

Son nom à l’état civil est Joseph N'cho Anouma. En plus d'être écrivain, il donne des cours de peinture, de sculpture, de gravure, de céramique, de dessin et de graphisme à l'Institut National Supérieur des Arts et de l'Action Culturelle (INSAAC) d'Abidjan où il est professeur certifié d'arts plastiques[1],[3].Il fut directeur de l'École des beaux-arts et collabore à une nouvelle revue artistique « L'École des arts »[4].

En , Joseph Anouma tient une exposition dénommée « La renaissance »[2],[5]. Il y aborde divers thèmes parmi lesquels figurent la transhumance, les regrets, la quiétude, la sagesse, l’introspection, les génies de la nature[5].

Publications modifier

  • 1974 : J'ai perdu mon berceau[6]
  • 1977 : Les matins blafards[7]
  • 1981 : Pas cadencés[7]
  • 1985 : L'enfer géosynclinal[6]
  • 1996 : L'élytre incendiaire (poèmes)
  • 2003 : Trois continents pour Trois-Rivières suivi de Capitale de la poésie[8]

Références modifier

  1. a et b Azo Vauguy, « allafrica », sur fr.allafrica.com,
  2. a et b AIP, « Des sculptures et toiles de Joseph Anouma exposées à la Rotonde des arts contemporains », sur Atoo.ci, (consulté le )
  3. « Peinture & sculpture : Joseph Anoma, un artiste de grand talent, expose à la Rotonde des arts », sur www.fratmat.info (consulté le )
  4. Weblogy, Abidjan, Côte d'Ivoire, cote d'ivoire, Ivory coast, « JosephAnouma (Sculpteur) - Abidjan.net Qui est Qui », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. a et b « » Côte d’Ivoire/ Des sculptures et toiles de Joseph Anouma exposées à la Rotonde des arts contemporains », sur aip.ci (consulté le )
  6. a et b Bruno Gnaoulé-Oupoh, La littérature ivoirienne, KARTHALA Editions, , 444 p. (ISBN 978-2-86537-841-8, lire en ligne)
  7. a et b « [Ethiopiques - Revue negro-africaine de littérature et de philosophie.] », sur ethiopiques.refer.sn (consulté le )
  8. « Trois continents pour Trois-Rivières suivi de Capitale de la poésie par Collectif », sur www.ecritsdesforges.com (consulté le )