Heinrich Borgmann

militaire allemand

Heinrich Borgmann
Naissance
Angermünde
Décès (à 32 ans)
Hôpital à Magdebourg
Mort au combat
Allégeance Drapeau de la république de Weimar République de Weimar,
Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand
Arme Heer
Grade Oberst[a]
Années de service 1932 – 1945
Commandement Volksgrenadier-Division "Scharnhorst"
Conflits Seconde Guerre mondiale
Distinctions Croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne

Heinrich Borgmann, né le et mort le , est un officier allemand de la Seconde Guerre mondiale. Aide de camp de la Wehrmacht auprès de Adolf Hitler, il est grièvement blessé lors de l’attentat du .

Biographie modifier

Borgmann s’engage dans l’infanterie en 1932. Hauptmann[b] lors du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, il participe à l’invasion de la Pologne, puis de la France, à la suite de laquelle il reçoit la croix de chevalier de la croix de fer, le . Il combat ensuite sur le front de l’Est, au sein du 46e régiment d’infanterie. Promu Major[c], puis Oberstleutnant[d] en 1943, il est détaché au quartier général du Führer.

Ayant survécu aux graves blessures subies lors de l’attentat du , il regagne l’infanterie avec le grade de colonel. Il meurt lors d’une attaque aérienne le .

Décorations modifier

Bibliographie modifier

  • (de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Germany: Podzun-Pallas. (ISBN 3-7909-0284-5).
  • (de) Scherzer, Veit (2007). Die Ritterkreuzträger Die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchives (in German). Jena, Germany: Scherzers Miltaer-Verlag. (ISBN 978-3-938845-17-2).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Équivalent de colonel en France.
  2. a et b Équivalent de capitaine en France.
  3. Équivalent de commandant en France.
  4. Équivalent de lieutenant-colonel en France.
  5. Équivalent de lieutenant en France.

Références modifier

  1. a et b Scherzer 2007, p. 235.
  2. Fellgiebel 2000, p. 58.