Fiancé malgré lui

film de David Smith, sorti en 1919
Fiancé malgré lui
Description de cette image, également commentée ci-après
Double page de publicité dans The Moving Picture World, mars 1919.
Titre original The Wishing Ring Man
Réalisation David Smith
Scénario G. Marion Burton, d'après le roman de Margaret Widdemer (en)
Acteurs principaux
Sociétés de production Vitagraph Company
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre drame
Sortie 1919

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Fiancé malgré lui (titre original : The Wishing Ring Man) est un film muet américain réalisé par David Smith[1], sorti en 1919. C'est une adaptation du roman de Margaret Widdemer (en)[1],[2]. Il met en vedette Bessie Love et J. Frank Glendon dans le rôle-titre[1].

Synopsis modifier

Joy Havenith (Bessie Love) est tenue à l'écart des autres jeunes afin qu'elle puisse inspirer la poésie de son grand-père. Elle est mécontente de sa situation, et croit Glendon (The Wishing Ring Man) quand il lui dit que, si elle désire quelque chose fortement, elle obtiendra tout ce qu'elle veut.

Lorsqu'on lui donne l'occasion d'aller à la ville, son grand-père refuse de la laisser sortir, parce qu'elle n'est pas fiancée. Joy prétend être fiancée avec le médecin, et le médecin est obligé de jouer le jeu[3],[1],[4].

Fiche technique modifier

Distribution modifier

Sortie modifier

À sa sortie, le film fut projeté avec plusieurs serials et courts-métrages, dont Terror of the Range, de Stuart Paton[7] et la comédie de Harold Lloyd, Coco de Chicago (Billy Blazes, Esq.)[8].

Réception modifier

Le film a reçu des critiques positives[9],[10], on put relever que Bessie Love a porté dix-sept tenues différentes à travers tout le film[11].

Notes et références modifier

  1. a b c d et e William J. Reilly, « The Wishing Ring Man », The Moving Picture World,‎ , p. 1388 (lire en ligne)
  2. (en) Alan Goble, The Complete Index to Literary Sources in Film (lire en ligne), p. 500
  3. a b et c « The Wishing Ring Man is Excellent Attraction », Exhibitor's Trade Review, vol. 5, no 14,‎ , p. 1067 (lire en ligne)
  4. R.W.B., « The Wishing Ring Man is Excellent Attraction », Exhibitor's Trade Review, vol. 5, no 14,‎ , p. 1067 (lire en ligne) :

    « A sweet, charming little story. Entertainment of the wholesome kind. A play that is refreshing. Acting that is delightful. A production of the best. »

  5. (en) Bessie Love, From Hollywood with Love: An Autobiography of Bessie Love, London, Elm Tree Books, (OCLC 734075937), p. 150
  6. a et b « Calendar of Program Publications », Exhibitors Herald and Motography, vol. 8, no 13,‎ , p. 54 (lire en ligne)
  7. « Sheer's Victoria », The Newtown Register,‎ , p. 8 (lire en ligne).
  8. Daily Leader, Grand Rapids, Wisconsin, 11 octobre 1919, p. 3.
  9. « Bessie Love at Her Best », The Moving Picture World,‎ , p. 1380 (lire en ligne) :

    « Miss Love, in this production, sets for herself a mark which it will not be easy for her to surpass. »

  10. (en) Strand Theatre, vol. 6, Ellwood City, PA, (lire en ligne), chap. 3, p. 22 :

    « rare charm and talent …wonderfully interesting »

  11. Jack Winn, « Screen Stories with Black Face Comedy », Photo-Play Journal,‎ (lire en ligne)

Liens externes modifier