Les ascendants paternels du poète Emile Verhaeren sont essentiellement bruxellois, et bourgeois de Bruxelles dès 1771, ou, si l'on remonte plus haut dans le temps, brabançons des villages du nord de Bruxelles.

Origine du nom modifier

Dans son dictionnaire des noms de familles en Belgique et dans le nord de la France, le professeur Frans Debrabandere[1] dit que le nom Verhaar(en), Verharen, Verhaere(n) provient de Van der Haar, donc d'un lieu-dit fort répandu Haar, Hare(n) etc., signifiant une crête sablonneuse. Il cite comme exemple Hans Verhaer, en 1535, quartier près de Duurstede-Anvers, ou encore en 1570, Daniel Verhaer, à Louvain.

Jules Herbillon et Jean Germain[2] dans leur dictionnaire des noms de famille en Belgique romane disent également qu'il s'agit ici d'un nom topographique provenant du moyen néerlandais hare, plateau sec, sablonneux.

Origines familiales du poète Emile Verhaeren modifier

Le poète Émile Verhaeren est issu d'une famille francophone bruxelloise. Son père, Henri Verhaeren, négociant en textiles, avait épousé une jeune femme de Saint-Amand qui exploitait, dans ce village, un commerce de textiles. C'est pourquoi Henri Verhaeren y établit sa résidence et que son fils Émile y naquit. Si l'on remonte plus haut dans le temps, l'on constate que les Verhaeren sont originaires du Brabant et bénéficient de la qualité de maisnier.

Première génération : le grand-père du grand-père du poète modifier

I. Le premier ascendant du nom Verhaeren connu avec certitude est Josse Verhaeren, censier à Nossegem, mort[3] le 28 mai 1761 à Nossegem, un petit village au nord-est de Bruxelles, à une douzaine de kilomètres de la ville. Sa famille paternelle semble originaire de Zemst, à une vingtaine de kilomètres au nord de Bruxelles, où des Verhaeren sont présents depuis au moins le tout début du XVIIe siècle[4]. Josse Verhaeren avait épousé à Woluwe-Saint-Pierre[5] le 26 mars 1735 - et assez vraisemblablement en secondes noces - Petronille Van Eyck, van Eycken ou Vaneycken, qui était née[6] à Woluwe-Saint-Lambert en 1708, fille du censier de l'importante ferme de Bemel, et qui mourut à Nossegem[7] le 9 janvier 1788. Josse Verhaeren eut de Petronille Van Eyck un enfant né à Woluwe-Saint-Pierre[8] en 1736 et ensuite dix enfants nés à Nossegem. Cinq de ces enfants [9] survivaient en 1788, à savoir Engelbert, né en 1737 et qui fut pachter of het hof ter Cameren by Brussel[10] et inscrit comme maisnier du Pays de Grimbergen[11] en 1769, Barbe née en 1738 et kranksinnige[12], Pierre né en 1742 et qui suit ci-après en II, Louis né en 1746 qui fut pachter (censier) à Nossegem, et enfin Marie-Thérèse née en 1751 et qui resta célibataire.

Deuxième génération : l'arrière-grand-père du poète modifier

II. Parmi ces enfants se trouve Pierre - ou Petrus - Verhaeren, qui fut baptisé à Nossegem[13] le 16 avril 1742. Il quitta son village natal pour s'installer à Bruxelles. Il était maître boulanger, au Marché-aux-Poulets, à l'enseigne du Pigeon blanc, en face de l'auberge De Kempen. Après s'être inscrit, avec son frère Engelbert, comme maisnier[14] le 11 juillet 1769, il demanda et obtint le 20 mars 1771 la bourgeoisie de Bruxelles[15]. Il épousa à Bruxelles, à la paroisse Notre-Dame de la Chapelle[16] le 9 avril 1771 Marie Madeleine De Cooman qui était la fille d'un bourgeois de Bruxelles et qui fut baptisée à Bruxelles, Sainte-Gudule[17], le 4 juin 1737, comme fille de Petrus Cooman et de Joanna Tervekoren[18]. Elle mourut à Bruxelles le 31 mars 1795 et fut inhumée[19] le lendemain au cimetière de Bootendael. Pierre Verhaeren, veuf, mourut à Bruxelles le 5 mars 1812. Il avait abandonné la boulangerie pour exercer la profession de marchand en quincaillerie. Plusieurs enfants étaient nés de son mariage. Le deuxième enfant, prénommé Englebert et baptisé à Bruxelles, paroisse Saint-Nicolas, en 1773, fut ainsi prénommé comme son parrain, Englebert Verhaeren qui était le frère aîné de Petrus. Certains de ces enfants moururent en bas âge. Mais Jean-Baptiste né en 1781, celui qui sera le grand-père du poète Emile Verhaeren, survécut à l'effroyable mortalité infantile de ce temps-là.

Troisième génération : le grand-père du poète modifier

III. Jean Baptiste Verhaeren, fut baptisé à Bruxelles, paroisse Saint-Nicolas[20], le 12 avril 1781. Il fut négociant et propriétaire à Bruxelles. En 1817, il est dit marchand de draps à la rue Neuve. Il est mort à Schaerbeek[21] le 4 décembre 1851. Alors demeurant au no 15 du Quai aux Poissonniers, il épousa à Bruxelles[22] le 13 avril 1807 Antoinette Marie Jeanne Van Mons, demeurant rue d'Accolaij no 543 et née à Bruxelles le 3 février 1783 à Bruxelles. Antoinette Van Mons était issue d'une famille bruxelloise depuis de nombreuses générations [23]. Son père, Antoine Barthelemie Van Mons, qui avait épousé à Bruxelles, paroisse Notre-Dame de la Chapelle[24] le 18 mai 1776 en secondes noces Jeanne Hamelrijck[25], était notaire à la rue d'Accolaij à Bruxelles. Antoinette Van Mons est morte à Bruxelles le 27 novembre 1824. Jean Baptiste Verhaeren avaient eu plusieurs enfants[26] et notamment Henri Verhaeren, qui suit.

Quatrième génération : le père du poète modifier

IV. Le père du poète était Henri Gustave Marie Gerard Verhaeren, négociant en textiles, né à Bruxelles le 3 octobre 1817, et jumeau d'Eugène[27]. Il habitera ensuite, après son mariage, à Saint-Amand, à une petite trentaine de kilomètres au nord de Bruxelles. Henri Verhaeren, qui habitait alors à Saint-Josse-ten-Noode, avait épousé Adelaïde De Bock à Saint-Amand[28] le 16 juin 1853. Joanna Adelaida De Bock ou Debock, qui gérait un commerce de textiles à Saint-Amand, était née à Saint-Amand le 19 octobre 1817, et était issue d’une famille de brasseurs de Saint-Amand. Les parents d'Adélaïde Debock étaient Petrus Henricus Debock et Francisca Lepaige, tous deux morts à Saint-Amand, respectivement le 2 mai 1837 et le 30 mars 1834. Tous deux étaient originaires de Saint-Amand et de sa région puisque Petrus Henricus Debock était né à Saint-Amand en 1786, d'un père, Joannes Jacobus Debock, lui-même né à Saint-Amand, et d'une mère Judoca Reyntens, originaire d'Opdorp, et que par ailleurs, Françoise Lepaige était également née à Saint-Amand en 1792, d'un père Petrus Joannes Le Paige, originaire de Buggenhout, et d'une mère Isabella Theresia Bruggeman, originaire de Saint-Nicolas-Waes

Cinquième génération : le poète modifier

V. Comme premier-né de ce mariage est issu Emile Adolphus Gustavus Verhaeren, à Saint-Amand le 21 mai 1855 à neuf heures et demie du soir. Sa naissance fut déclarée le lendemain[29]. Résidant alors à Bornem, Emile Verhaeren épousa à Bruxelles[30], le 24 août 1891, Constance Claudine Marthe Félicie Massin, née à Liège le 6 octobre 1860, résidant alors à Bruxelles, et fille du négociant Gustave Léopold Urbain Massin et de Constance Marchet, tous deux résidant à Bruxelles. Emile Verhaeren est mort accidentellement le 27 novembre 1916 à Rouen, en France. En 1927, il a été inhumé dans un tombeau monumental au bord de l’Escaut, à Saint-Amand.

Notes et références modifier

  1. Frans Debrabandere, Woordenboek van de Familienamen in België & Noord-Frankrijk, Bruxelles, Crédit communal, 1993, tome II, L- Z, page 1427.
  2. Jules Herbillon et Jean Germain, Dictionnaire des noms de famille en Belgique romane et dans les régions limitrophes, Bruxelles, Crédit communal, 1996, tome II, O - Z, page 821.
  3. Registres paroissiaux de Nossegem, acte d'inhumation, f° 142. L'acte le dit âgé de 60 ans, mais il s'agit probablement d'une erreur, et il aurait 70 ans à son décès car il serait né à Zemst en 1691 et aurait épousé en premières noces à Nossegem le 26 février 1715 (f° 127 du registre) Josine Van Hamme, morte à Nossegem le 6 octobre 1732 (f° 125 du registre).
  4. Henricus Verhaeren, mort à Zemst le 30 juin 1618, censier à Zemst - Anno 1618, 30 junij, obijt Henricus Verhaeren villicus in Semps - semble être le premier ascendant du nom qui soit possiblement l'ancêtre agnatique direct du poète. Epoux d'Anna Bloms (morte à Zemst en 1642), il eut Gaspar Verhaeren (mort à Zemst en 1685) qui épousa Catharina Vanden Wijngaerde (Zemst 1615 - Zemst 1703). Ceux-ci eurent Jacobus Verhaeren (Zemst 1653 - Zemst 1728) qui épousa Catharina Van den Heuvel (morte en 1721). Ces derniers eurent Judocus ou Joos Verhaeren, né à Zemst en 1691. Il est à noter que la fille d'Hendrick Verhaeren et d'Anna Bloms, Cathelijne Verhaeren, de Haecht d'après le registre des maisniers, avait obtenu la qualité de maisnier le 14 février 1639. Tous les descendants d'Hendrick Verhaeren et d'Anna Bloms peuvent dès lors être reconnus comme étant maisniers du Pays de Grimbergen.
  5. Registre paroissial de Woluwe-Saint-Pierre, f° 158, Die 26a martij Eminentissimo Domino dispensante super tribus bonnorum proclamationibus et tempore clauso Matrimonium contraxerunt Judocus Verharen et Petronilla Van Eijcken presentibus Engelbert De Beusscher, Cornelio Van der perren et me N. Vanderschueren pastore.
  6. Petronille Van Eyck, baptisée à Woluwe-Saint-Lambert le 5 décembre 1708, était la fille de Peeter van Eycken (1658 - 1734), qui sera censier de la ferme de Bemelen à Woluwe-Saint-Pierre et reçu comme maisnier le 27 août 1685, et d'Anna van Pé (vers 1670 - 1721). La ferme de Bemel, déjà représentée sur les cartes en 1712, était le bâtiment principal du hameau de Bemel. Cette ferme fut démolie dans les années 1920 sauf la tour de la ferme qui ne fut démolie qu’en 1989 et qui se situait au n° 6 de la rue de Bemel.
  7. Registres paroissiaux de Nossegem, acte d'inhumation, f° 118, (...) obiit petronilla van eijck, vidua judoci verhaeren, aetatis octoginta annorum et die undecima ejusdem mensis sepulta est in cometerio de nosseghem (...).
  8. D'après l'étude de Marie-Anne Dolez, citée ci-après, mais cet enfant ne semble pas pouvoir être trouvé dans les registres paroissiaux du village.
  9. Marc Alcide, De goedenissen van de Schepenbank van Oliveten te Zemst : 200v-205v , 9-2-1773, Petronella Van der Eycken weduwe Judocus Verhaeren, en haar 5 kinderen Engel, Peeter, Barbara, Ludovicus en Maria Teresia, inwoners van Nossegem, verkopen aan Adriaen Spruyt en Joanna Andriessens, inwoners van Zemst, land te Zemst op het Kercken Eusel, grenzend aan noord de heer De Meester en oost de erfgenamen Guilliam Oostens.
  10. Censier de la ferme de la Cambre près de Bruxelles. Cette ferme Verhaeren est mentionnée dans l'ouvrage L'Abbaye cistercienne de la Cambre, du baron de Ryckman de Betz, l'abbé Thibaut de Maisières et M. Georges Dansaert, Anvers 1947, page 347 : En 1811, des objets provenant de l'abbaye se trouvaient chez Verhaeren, le fermier de l'abbaye, qui pouvait communiquer de sa ferme avec le palais de l'abbesse. Engelbert Verhaeren, natif de Nosseghem, âgé de 61 ans, époux en troisième lieu de Claire Demesmaeker, est mort à Ixelles le 27 nivôse an V, et son décès fut déclaré par son beau-fils, Pierre Vanhamme, fermier, âgé de 30 ans et par Jean-Baptiste Deceuleneer, maréchal, âgé de 36 ans, d'après les registres d'état civil d'Ixelles.
  11. Register van de meiseniers uit het land van Grimbergen (1413-1795) : 11-07-1769 Engelbertus en Petrus, zz. Joos en Petronella van Eijcken (Nossegem). S.: Peeter van Eijcken, o. en Guillam van Beneden, c. G 26.
  12. Faible d'esprit, ou handicapée mentale dirait-on aujourd'hui.
  13. Registres paroissiaux de Nossegem, acte de baptêmes, f° 24.
  14. Genootschap van Meiseniers uit het land van Grimbergen, Register van de meiseniers uit het land van Grimbergen (1413-1795), publié en 2021, page 230, v° Verhaeren : 11-07-1769 Engelbertus en Petrus, zz. Joos en Petronella van Eijcken (Nossegem). S.: Peeter van Eijcken, o. en Guillam van Beneden, c. G 26.
  15. Jan Caluwaerts & Hugo Simonart, Bourgeois de Bruxelles, Tome III, 1695-1795, page 441, v° Verhaeren Petrus, ° Nossegem, mr-brootmaecker, fs Judocus & Petronella Van Eycken. E. Magdalena de Cooman, fa -p. Woonende op de Kieckemerckt rechtover de herberghe De Kempen.
  16. Registre de mariage de Notre-Dame de la Chapelle, Petrus Verhaeren et Magdalena De Cooman, parochiani respective Sancti Nicolai et B.M.V. de Capella, factis tribus bannorum proclamationibus contraxerunt matrimonium inter se coram Mattheo Josepho Lambert et Judoci Van Espen testibus me infrascripto assistente hac 9 aprilis 1771 M.J. Van Bevere Pastore B.M.V. de Cap. Brux.
  17. Registre des baptêmes de Saint-Gudule, f° 167. Les parrain et marraine étaient Joannes Baptista van Roij et Magdalena van Roij.
  18. Petrus de Cooman avait épousé Joanna Tervecoren à Bruxelles, à Sainte-Gudule, le 12 août 1730.
  19. Registre des inhumations de Sainte-Gudule, f° 90 r°, Aprilis 1795, Eenen lyckdienst met 12 heeren ad minoritas ex dist St Nicolaus Magdalena Coomans huyschvr. van petrus Verhaeren overleden den 31 meert 1795 woonende op de Kiekemerckt den welken is begraven op het kerckhoff tot Bootendael et en marge il est précisé que le service funèbre fut payé en assignats.
  20. Registre des baptêmes de la paroisse Saint-Nicolas, Bruxelles, Duodecima mensis aprilis Baptizatus est Joannes Baptista Verhaeren filius legitimus petri et magdalena de cooman natus heri vesperi hora decima in domo parentum habitantum op de kiekemerckt. susceptores joannes baptista grimberghs in S: Cath: Brux: et joanna teresia van espen in hac parochia pater ex nossegem et mater ex S: Gud: Brux: Signé Grimberghs ; j: t. van espen ; et note Pater agrotus non comparuit.
  21. Registre de décès de Schaerbeek, 1851, acte n° 229, du six décembre 1851, décès de Jean Baptiste Verhaeren, propriétaire, décédé en son domicile, rue du Progrès n°103 le 4 décembre 1851.
  22. Acte de mariage de la ville de Bruxelles n° 100, les témoins étaient Louis Antoine Joseph Van Mons, âgé de 35 ans, notaire à Woluwe-Saint-Pierre, Englebert Jean Verhaeren, âgé de 32 ans, négociant à Anvers et frère du futur époux, outre les pères respectifs des deux futurs époux. Un premier enfant, nommé Pierre Frédéric Marie Verhaeren leur naîtra à Bruxelles le 25 septembre 1807 (acte 2037 des naissances à Bruxelles pour l'année 1807). Le père de l'enfant, Jean Baptiste Verhaeren, est qualifié de commis négociant, et être domicilié avec son épouse Antoinette Van Mons, au n° 3 du Nouveau Marché aux Grains. Les témoins de cette naissance étaient Pierre Verhaeren, marchand, âgé de 66 ans, et Henri Troost, revendeur, âgé de 22 ans, tous deux demeurant au Vieux Marché aux Poulets à Bruxelles.
  23. Jean de Launois, Une vieille famille bruxelloise : les van Mons, dans L'Intermédiaire des Généalogistes, n° 155, 1971/5, spécialement pages 281 et 288 pour Antoine Bartholomé van Mons et sa fille Antoinette. La généalogie van Mons remonte à Gilles van Mons, cité en 1536. A cette famille appartient le professeur Jean-Baptiste Van Mons (1765 - 1842), sommité scientifique de son temps. Les van Mons et les Verhaeren étaient alliés. Par ailleurs, le roi des tramways, Edouard Otlet, avait épousé en premières noces Maria van Mons, qui était la cousine germaine d'Emile Verhaeren. Le fils de ces derniers est Paul Otlet, qui eut l'intuition d'internet.
  24. Registre des mariages de Notre-Dame de la Chapelle, Maius 1776, Antonius Bartholomeus Van Mons et Joanna Hamelrijck parochiani B.M.V. de Capella, factis tribus bannorum proclamationibus contraxerunt matrimonium inter se coram joanne hamelryck patre sponsa et francisco dominico josepho deneck testibus me infrascripto assistente hac 18 maii 1776. M. G. Van Bevere Pastore B.M.V. de Cap. Brux.
  25. Registre de inhumations de Notre-Dame de la Chapelle à Bruxelles, acte du 31 janvier 1792 : Inhumation le 31 janvier 1792 de Joanna Haemelrijck, épouse de Bartholomée van Mons, décédée le 29 janvier 1792 à deux heures du matin. Elle avait été baptisée le 24 avril 1744 à Notre-Dame de la Chapelle comme fille de Joannes Hamelrijck et d'Elisabeth Goomans. Ses parents, Joannes Amerycks et Elisabetha Catharina Goemans s'étaient mariés à Bruxelles, paroisse Saint-Géry, le 8 avril 1741.
  26. Sur cette descendance, voyez l'étude de Marie-Anne Dolez, Il y a cinquante ans mourait Emile Verhaeren. Esquisse généalogique, dans L'Intermédiaire des Généalogistes, n° 127, 1967/1, page 30.
  27. Eugène Verhaeren fera carrière au Ministère des Finances.
  28. Acte de mariage de Saint-Amand de 1853 n° 15. Les témoins étaient Alphonsius Verhaeren, âgé de 40 ans, marchand à Saint-Josse-ten-Noode, Eugenius Verhaeren, chef de bureau au Ministère des Finances, âgé de 35 ans, résidant à Bruxelles, tous deux frères du futur époux, Gustave Debock, âgé de 38 ans, huilier, habitant à Saint-Amand et frère de la future épouse, et Emile Albert Notté, âgé de 40 ans, marchand, habitant à Gand, beau-frère de la future épouse.
  29. Saint-Amand, acte de naissance n° 28 du 22 mai 1855. Les témoins étaient Gustavus De Bock, âgé de 38 ans, négociant, et Caesar Constantin Riemslagh, âgé de 30 ans, écrivain, tous deux de Saint-Amand.
  30. Bruxelles, acte de mariage n° 1063. Les témoins étaient le joaillier Oscar Massin, oncle de la future épouse, âgé de 62 ans, et résidant à Bruxelles, Jules Massin, âgé de 57 ans, rentier à Bruxelles et également oncle de la future épouse, le négociant Charles Cranleux, âgé de 42 ans, résidant à Bornem et beau-frère du futur époux, et Emile Van Mons, âgé de 47 ans, propriétaire résidant à Bruxelles, cousin du futur époux.

Bibliographie modifier

  • Marie-Anne Dolez, Il y a cinquante ans mourait Emile Verhaeren. Esquisse généalogique, dans L'Intermédiaire des Généalogistes, no 127, 1967/1.

Liens externes modifier

  • Biographie d'Emile Verhaeren : [1]