Dorfschwalben aus Österreich

valse de Josef Strauss

Hirondelles villageoises d'Autriche
Opus 264
Dorfschwalben aus Österreich
Genre Musique classique, musique symphonique, valse
Musique Josef Strauss
Langue originale Allemand
Effectif Orchestre symphonique
Dédicataire August Silberstein
Création 6 septembre 1864
Vienne
Interprètes

Dorfschwalben aus Österreich (Hirondelles villageoises d'Autriche) est une valse de Josef Strauss (op. 164). Elle est créée le 6 septembre 1864 au Volksgarten de Vienne.

Histoire modifier

 
Août Silberstein

En 1862/63, August Silberstein écrit le roman Dorfschwalben aus Österreich. Inspiré par ce roman, Josef Strauss compose la valse du même nom et lui dédie la pièce[1].

La pièce est créée le 6 septembre 1864 au Volksgarten, tout comme Frauenherz. Pour imiter le gazouillis des hirondelles, Joseph utilise un sifflet d’oiseau[2].

Lors de la cérémonie commémorative qui a lieu après sa mort le 18 octobre 1870, les deux œuvres sont jouées sous la direction de son frère Johann[réf. nécessaire].

En 1930, Paul Knepler ajoute à la valse un texte intitulé (Frühling, Frühling, schöne Zeit! Schöne Zeit voll Freud!), laquelle devient chantée[3].

Extraits musicaux modifier

Introduction modifier

 

Valse 1 modifier

 

Valse 2 modifier

 

Valse 3 modifier

 

Valse 4 modifier

 

Valse 5 modifier

 

Coda modifier

 

Postérité modifier

La pièce est jouée lors du célèbre concert du nouvel an à Vienne :  en 1947 (Josef Krips) ; 1956, 1963 et 1977 (Willi Boskowsky) ; 1986 (Lorin Maazel) ; 1992 (Carlos Kleiber) ; 2001 (Nikolaus Harnoncourt) ; 2008 (Georges Prêtre) ; 2015 (Zubin Mehta).

Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. (en-US) « Josef Strauss Village Swallows from Austria / Waltz op. 164 (1865) », sur wjso.at (consulté le )
  2. (de) « Dorfschwalben aus Österreich, Walzer op. 164 », sur www.tonkuenstler.at (consulté le )
  3. Josef (1827-1870) Compositeur Strauss, « Dorfschwalben aus Osterreich, gesang-walzer nach motiven, von Josef Strauss, arrangiert von Julius Lehnert. Text von Paul Knepser... », sur Gallica, (consulté le )