Distichoceras

taxon fossile d'ammonite

Distichoceras est un genre d'ammonites de la famille Oppeliidae et de la sous-famille Distichoceratinae.

Présentation modifier

Le genre Distichoceras est décrit et publié par Munier-Chalmas en 1892[1].

Distichoceras est un membre de la famille des Haploceratacean, Oppeliidae, et un genre type de la sous-famille Distichoceratinae, trouvé dans les sédiments du Jurassique supérieur moyen et inférieur en Europe (France et Allemagne)[1], en Algérie, en Inde et à Madagascar[réf. nécessaire].

La coquille est essentiellement évolutive et comprimée avec les flancs extérieurs convergeant vers un ventre étroit et caréné; les flancs intérieurs, qui peuvent être faiblement côtelés, sont séparés de l'extérieur par une rainure ou une bande en spirale peu profonde. Les côtes sur les flancs extérieurs se terminent ou sont bouclées sur de grands clavi (tubercules ou nœuds allongés) qui bordent le ventre, se tenant au-dessus de la quille.

Espèces fossiles modifier

L'espèce Distichoceras zeissi Théobald 1958, du Callovien[2] de Palente près de Besançon, appartient à ce genre[3].

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Arkell et al., 1957. Mesozoic Ammonoidea, Treatise on Invertebrate Paleontology Part L. Geological Soc. of America and Univ Kansas Press. p. L279.
  • Nicolas Théobald, « Annales scientifiques de l'Université de Besançon, 2e série, Géologie 8 », Collection du Laboratoire de Géologie de l'Université de Besançon,‎ , p. 3-7.

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Notes et références modifier

Notes modifier

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Distichoceras » (voir la liste des auteurs).

Références modifier

  1. a et b (en) Référence Paleobiology Database : †Distichoceras (ammonite) (consulté le ).
  2. Jack Sepkoski, « A compendium of fossil marine animal genera (Cephalopoda entry) », Bulletins of American Paleontology, vol. 363,‎ , p. 1–560 (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  3. Théobald 1958, p. 3-7.