--CamargueSon (discuter) 7 janvier 2018 à 14:17 (CET)Répondre

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Bastenbas (discuter) 6 janvier 2018 à 21:21 (CET)Répondre

Signature manquante sur Discussion utilisateur:Zhuangzi modifier

Bonjour CamargueSon,

Je suis un robot qui aide les utilisateurs à ne pas oublier de signer leurs messages.

J'ai constaté que votre signature était manquante ou mal insérée sur la page Discussion utilisateur:Zhuangzi(diff) et l'ai rajoutée à votre place. (signaler une erreur)

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Signature manquante (bot) (discuter) 7 janvier 2018 à 13:58 (CET)Répondre

Relancer la recherche sur les origines inexpliquées du Mahâyâna à partir d'outils convergents. modifier

Bonjour à tous,

je suis François-Marie Périer l'auteur du livre La Porte Étroite et le Grand Véhicule, des Premiers Chrétiens aux Bodhisattvas, Révélations sur les Origines du Mahâyâna, publié aux éditions du Mercure Dauphinois. Le samedi 6 janvier 2018, j'ai publié un bref résumé de cette recherche, étayée le lendemain, suscitant la réaction de "Zhuangzi" puis la suppression de ma première contribution, sous prétexte d'"auto-promotion".

Je sais que ça peut y ressembler extérieurement, mais mon but était uniquement de faire connaître le résultat de mes recherches. Il n'est pas en revanche "scientifique" pour reprendre les termes de Zhuangzi, d'exclure une étude sans l'avoir lue, et c'est pourtant l'attitude qu'il a eue. Je suis étonné d'avoir à faire remarquer cela... Je passe sur les remarques qu'il serait possible de faire sur les enjeux véritables, les rapports de force dont on cherche la légitimité, et le ton des pages de discussion qu'on découvre. (Grosse déception comparée à la mission confiée par Jimmy Whale, bien que ce dernier soit proche des convictions de Friedrich Von Hayek, prix Nobel d'économie et maître à penser de Milton Friedman et des Chicago Boys qui réduisirent l'Amérique centrale et l'Amérique du sud en un champ de dictatures dans la seconde moitié du XXème siècle.)

Je passe sur les remarques, car je lance cette discussion dans un esprit de connaissance. L'accueil qui a été fait à mon apport ne l'a en revanche pas été.

Mon parcours est celui d'un enseignant, classes préparatoires, CAPES à 21 ans, puis démission et guide de voyages pendant 7 ans sur trois continents, (en Inde, au Proche-Orient, en Europe, en Amérique centrale), reporter pour Bouddhisme Actualités dans les années 2000, traducteur de l'italien, organisateur de festivals de culture indienne, chargé de cours de Civilisation Indienne à l'UICG près de Grenoble, photographe... Târâ Michael a préfacé mon ouvrage Poésie et Éveil, il a été relu par Alain Porte, conseillé par des sanskritistes comme Pierre-Jean Laurent. Pour ce qui est de La Porte Étroite et le Grand Véhicule, il est édité par le Mercure Dauphinois, à la tête duquel se trouve Geneviève Dubois, anciennement chez Dervy, éditrice de Jean-Marc Vivenza entre autres. Je déchiffre le sanskrit et connais les règles de la translittération, mes quelques erreurs sur Wikipedia étaient dues au désir de publier un peu rapidement quelques lignes, ce qui ne change absolument pas le fond de la question... Je suis toujours amusé de voir les querelles phonétiques autour de traditions demeurées orales pendant des siècles sans problème pour leurs représentants et maîtres....qui nous ont tant mis en garde contre ces mêmes querelles!! En vain apparemment. Mes articles et reportages ont été publiés en France, Italie, Angleterre.

Les ouvrages sur lesquels je m'appuie pour cet essai, et que je mets simplement en regard pour démontrer la rencontre des premiers Chrétiens et du Dharma bouddhiste au Ier siècle de notre ère sur la Route de la Soie, ces ouvrages ont été écrits par:

Philippe Cornu, Alain Grosrey, Kurt Friedrichs, Ingrid Fischer-Schreiber, Franz-Karl Ehrhardt, Michael S. Deiner, Edward Conze, Richard Gombrich, Robert Beer, Philip, Mario Bussagli, Alfred Foucher, Louis Frédéric, Étienne Lamotte, André Migot, Bokar Rinpotché, Richard Salomon, Gregory Schopen, Emile Sénart, Jean Varenne. Pour la partie chrétienne et Gnose chrétienne, j'ai utilisé la TOB, les Cahiers Évangile, les travaux dirigés par Michel Tardieu, les traductions de Catherine Barry et Louis Painchaud. Je m'arrête là.

Mes travaux ont utilisé des outils très simples mais malheureusement quasiment jamais conjugués par les chercheurs en raison tout simplement d'une perte de l'esprit de la renaissance, au profit d'un "positivisme" qui frappe de myopie les experts en leur interdisant d'ouvrir les yeux en dehors de leur champ de vision. j'ai donc utilisé:

- la chronologie, base de toute recherche historique, de façon très rigoureuse; - l'iconographie, têtue et essentielle; - les textes, têtus eux-aussi, traduits par les meilleurs spécialistes, en comparant les traductions... si quelqu'un prétend sur Wikipedia traduire mieux qu'eux... qu'il s'avance; - la nouvelle théologie chrétienne et la nouvelle bouddhologie mahayaniste qui émergèrent simultanément dans les premières décennies de notre ère à ces deux points de la route de la Soie qu'étaient la "Palestine" romaine (Judée, Samarie, Galilée) et l'empire Kushana - l'étymologie des noms de bouddhas, bodhisattvas, dieux, divinités diverses et variées; - les routes commerciales, voies de communication et relations géopolitiques de l'époque; - les ressources en français, anglais, italien et espagnol.

Et bien, lorsque vous mettez simplement en regard les faits établis, aujourd'hui à partir de ces outils, vous aurez bien du mal à aller vers d'autres conclusions que celles que j'exprime dans mon ouvrage. Et je le répète: qu'avait fait Mani en Perse à la fin du IIème siècle de notre ère, sinon une synthèse du Bouddhisme, du Christianisme et du Zoroastrisme? En allant prêcher dans l'Empire Kushana? Alors? On fait quoi là? Pourquoi personne ne l'a dit avant? Je pense qu'un certain nombre l'ont fait, peu sans doute car, malgré la simplicité de la démarche, elle demande d'être habitué à diversifier les approches sur un phénomène, ce que l'on n'apprend plus guère aujourd'hui, bien qu'on se gargarise de complexité et de globalité... Au passage, Edgar Morin a très bien accueilli mon livre et je le lui ai offert.

Contrairement à ce que dit Zhuangzi, je ne mélange pas l'apparition du Vajrayâna avec les textes gnostiques. je sais pertinemment que le Vajrayâna s'est manifesté vers le VI-VIIème siècle, mais il n'en demeure pas moins que la Sagesse Suprême, dans le cours de laquelle se meut le bodhisattva, est bien citée dès les premiers siècles de notre ère dans le Prajñâ-Pâramitâ Hridaya Sûtra. Il n'en demeure pas moins que les textes gnostiques cités (la Sagesse de Jésus-Christ, Eugnoste le Bienheureux), décrivent la manifestation de la Sophia et du Sauveur par la Lumière infinie, puis l'union du Sauveur et de la Sagesse (Sophia) dans la chambre nuptiale en des termes quasiment mot pour mot identiques à ceux des traditions du Mahâyâna avec Amitâbha, la Lumière infinie, manifestant Târâ la Sagesse avec Avalokiteshvara la Compassion, qui s'unissent ensuite au cœur des mandalas. Maintenant, si l'un des respectables modérateurs de cette page est capable de dater les traditions orales ou écrites sur la Maïthuna de Prajñā et Karuna, qu'il s'avance, là encore. Il est évident que des traditions sont demeurées orales et cachées pendant des siècles, comme partout ailleurs dans le monde... Et qu'on y fasse bien attention, d'où Padmasambhava, celui qui apporta le Vajrayâna au Tibet, serait-il originaire, au VIIIème siècle? Du royaume d'Odhyana, la vallée de Swat, dans l'ancien empire Kushana, au cœur du Gandhâra indo-grec où la langue de Socrate et d'Alexandre et celle du Christ, le grec et l'araméen, étaient parlées et écrites. Ceux qui comme moi ont fréquenté Namkhai Norbu Rinpotché, ancien professeur à l'Université de Naples, maître Dzogchen, ont pu se rendre compte du respect avec lequel il prononçait le nom de cette contrée.

Quant au New-Age, avec ce que je viens de dire, vous vous rendrez compte que le livre ne fait pas partie de cette mouvance.

Bref, je vous remets ici le texte publié dimanche matin sur Wikipedia pour examen et vous laisse libres de vérifier les informations par les meilleures sources. Effectivement, j'aimerais beaucoup avoir à éviter ce qui ressemble à une auto-promotion.

En 2017, l'ancien reporter de Bouddhisme Actualités, photographe et écrivain, François-Marie Périer publia le livre La Porte Etroite et le Grand Véhicule, des Premiers Chrétiens aux Bodhisattvas, Révélations sur les Origines du Mahâyâna, (éditions Le Mercure Dauphinois, Grenoble), apportant une lumière nouvelle sur l'émergence du Mahâyâna, à l'aide des outils conjugués de l'étude comparée des textes, de l'iconographie, des routes commerciales, des langues, de l'étymologie,de le théologie et de la bouddhologie des premières décennies et des premiers siècles de notre ère. Il mettait en évidence l'apparition simultanée, sur la route de la Soie, du Christianisme et du Grand Véhicule. Au vu des éléments mis en regard dans les deux révolutions religieuses du début de notre ère Pour lui, il était clair pour lui que le message chrétien avait atteint très vite le monde indien, avec la figure du Christ qui avait renoncé à son royaume et s'était sacrifié pour l'Humanité, tel un grand bouddha d'Occident. Il avait été intégré dans le nouveau Grand Véhicule avec sa primauté donnée à la Compassion, à travers les bodhisattvas, dépassant en idéal la dissolution dans le Nirvana de l'Arhat, jusqu'alors but de la Voie dans le Bouddhisme des Origines. Voici quelques éléments des recherches de François-Marie Périer:

Sur l'axe fondamental des richesses et des savoirs qu'était la route de la Soie, où le grec et l'araméen étaient les langues internationalement parlées, entre Proche-orient, Europe et Asie, au Ier siècle de notre ère, dans l'Empire Kushana au très fort héritage hellénistique, ce ne fut pas seulement l'art gréco-bouddhique qui fit son apparition, mais aussi le Mahâyâna qui apparut du néant avec, pour commencer, sa triade de bouddhas d'Occident:

- Amitâbha, le bouddha de la "Lumière infinie", ancien roi nommé Dharmakara "le Porteur de la Loi", ayant renoncé à son royaume par compassion pour l'Humanité en embrassant une vie de moine et qui émana par compassion pour l'Humanité, d'un rayon de sa lumière, le bouddha salvateur Avalokiteshvara;

- Avalokiteshvara, "Le Seigneur qui entend les suppliques du Monde" ou "qui regarde vers le monde d'en bas", bouddha de la Compassion, un bouddha blanc, d'Occident, ayant traversé les Enfers pour en libérer toutes les âmes, dont le corps éclata en morceaux lorsque, sur une colline, il douta de sa capacité à sauver tous les hommes comme il en avait fait le vœu, mais Amitâbha le reconstitua pour qu'il puisse continuer sa tâche;

- Mahâshtâmaprâpta, "Arrivée d'une grande puissance", bouddha plus abstrait, associé à la foudre, à l'éclair et à la Sagesse, dont on retrouvera par la suite des points communs avec des bouddhas tibétains tels que Manjushri ou Vajrapani.

Ces trois bouddhas étaient nommés dans les premiers siècles du Mahâyâna "Les trois saints de l'Ouest" et attendaient le fidèle dans le Paradis de la Terre Pure d'Occident.(Sukhavati), qui venait de faire son apparition dans le Mahâyâna.

Apparurent aussi la Sagesse Suprême, très semblable à la Shekhina biblique et à la Sophia gnostique et orthodoxe, et le bouddha Maitreya, bouddha de l'Amour messianique, aussi appelé bouddha du Futur, synthèse de Mithra et du Christ, qui s'incarnera en ramenant le Dharma dans le monde. La Sagesse salvatrice, sous la forme de Târâ au Tibet, Guan-yin en Chine et Kannon au Japon assuma un rôle toujours majeur dans le Dharma mahayaniste, avec des représentations extrêmement proches du Christianisme, alors qu'une figure féminine d'une telle importance n'existait pas jusqu'au Ier siècle de notre ère et la révolution du Grand Véhicule dans l'Empire Kushana, à la rencontre du monde grec, proche-oriental et indien. Les textes gnostiques tels qu' Eugnoste le Bienheureux ou la Sagesse de Jésus-Christ, retrouvés à Nag Hammadi en 1947, et datés du IIème siècle de notre ère, parlent de l'émanation de la Sophia - Sagesse - et du Sauveur - Le Christ - par une Lumière infinie, comme les textes bouddhistes décrivent Amitâbha, la Lumière infinie, émanant simultanément de ses deux yeux Avalokiteshvara, la Compassion, et Târâ, la Sagesse. La Compassion masculine, Karuna, et la Sagesse féminine, Prajna, s'uniront ensuite amoureusement au cœur des mandalas tantriques, comme les textes gnostiques du début de l'ère chrétienne parlent de l'union amoureuse et mystique de la Sagesse et du Sauveur dans la Chambre nuptiale. Toujours selon François-Marie Périer dans La Porte Etroite et le Grand Véhicule, le Zoroastrisme joua un rôle important avec le culte de Mithra, répandu de l'Inde védique à la Rome antique, devenant dans l'aire bouddhiste Maitreya, mais aussi avec le Paradis et l'idée d'une rénovation du monde par l'arrivée d'un sauveur, appelé Saoshyant dans la religion perse... Moins de deux siècles après, le Persan Mani allait diffuser sa doctrine qui fusionnait à l'instar du Mahâyâna, Christianisme, Bouddhisme et Zoroastrisme: le Manichéisme. Mais le Mahâyâna allait avoir un destin plus heureux que le Manichéisme en se voyant diffuser à travers moines et monastères dans tout l'immense territoire de l'Empire Kushana, grâce en particulier à la protection de Kanishka le Grand (dates incertaines entre la fin du Ier siècle et le milieu du IIème siècle de notre ère).

La question du précédent historique de l'influence entre Christianisme et Bouddhisme au Ier siècle de notre ère

Anticipant la remarque d'une influence inverse du Bouddhisme sur le Christianisme, François-Marie Périer fait prendre en considération le fait que les éléments énumérés plus haut, apparus dans le Grand Véhicule bouddhiste, n'étaient pas présents dans le Bouddhisme des Origines ou dans l'aire indienne, mais étaient en revanche bien présents, depuis des siècles pour certains, dans l'Ancien Testament, dans le Zoroastrisme et dans l'Hellénisme. par ailleurs, même si le terme Mahâyâna a pu exister dans les premières décennies avant J-C, le Bouddhisme Mahâyâna qui émergea soudain au Ier siècle après J-C et se diffusa avec une grande rapidité, était tout à fait différent de celui qui se serait annoncé de façon très hypothétique au siècle précédent: ni les sûtras, ni les bouddhas, ni les éléments de cosmologie et d'eschatologie, ni les nouvelles valeurs apparus dans l'Empire Kushana n'étaient présents ni repérables avant J-C. Et l'art gréo-bouddhique, ou art du Gandhara, est là pour rappeler la rencontre en Orient et Occident dans l'Empire Kushana et l'infusion des nouvelles valeurs philosophiques et artistiques de l'Hellénisme dans le nouveau Dharma.

le livre sur le site de la maison d'édition  :http://www.lemercuredauphinois.fr/controleur_livres/view/la-porte-etroite-et-le-grand-vehicule

Le lien sur une interview résumant le livre:

https://www.youtube.com/watch?v=XFAMe4ifr9c

--CamargueSon (discuter) 9 janvier 2018 à 03:03 (CET)--CamargueSon (discuter) 9 janvier 2018 à 03:24 (CET)Répondre

Bonjour, vous avez retenté le coup de proposer vos théories fumeuses. Non, « la figure du Christ qui avait renoncé à son royaume et s'était sacrifié pour l'Humanité, tel un grand bouddha d'Occident » n’est pas à l’origine du renoncement de Bouddha à son royaume 5 siècles plus tôt. Non, Avalokiteshvara n’est pas un bouddha, mais un bodhisattva. Idem pour Mahâsthâmaprâpta, que vous êtes le seul à nommer Mahâshtâmaprâpta. Non le concept de trinité inventé par Tertullien au 3ème siècle n’est pas à l’origine de cette triade 3 siècles plus tôt, non plus à l’origine de la trimurti indienne, ni de la triade védique et encore moins des triades indo-européennes. Non, Maitreya n’a rien à voir avec la shekhina, ni avec la gnostique. Târâ n’apparaît pas avant le 5ème siècle, etc., etc. Bref c’est du n’importe quoi et je vous déconseille de retenter le coup, sinon, vous risquez un blocage en écriture dans wikipedia.--Zhuangzi (discuter) 28 février 2018 à 14:57 (CET)Répondre