Discussion Projet:Syndicalisme/Évaluation
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J'ai essayé de faire progresser un peu l'évaluation des articles existants du projet. Le taux de travail fait est passé de 3% à 37%. Il y aura inévitablement des contestations du travail effectué, ce qui est bien normal. Je me suis concentrée sur l'évaluation de l'importance du sujet en m'efforçant de respecter les règles communes à tous les projets.
Ainsi, les syndicats nationaux sont classés importance moyenne(j'ai donc rétrogradé CFE-CGC et UNSA) , sauf en importance élevée quand leur histoire ou leurs effectifs le justifient (CGT française, FGTB, Trade Union Congress, Rengo, Histadrout...). En général, seules les organisations internationales sont classées d'importance maximale avec qqs exceptions pour la CNT espagnole à cause de la Guerre d'Espagne, l'AFL-CIO...
En revanche, les syndicats nationaux de pays mineurs (Confédération des syndicats de Malte, Association des employés laïcs du Vatican, etc...) sont classés en importance faible, tout comme la plupart des composantes de syndicats nationaux (Fédération des banques CFDT, Conseil central du Bas-Saint-Laurent, Action Police CFTC...). Des exceptions sont à noter comme Sud-PTT, dont l'action a influencé la société au-delà de son milieu professionnel.
Des thématiques certes médiatisées comme Représentativité syndicale en France ou Financement des syndicats de salariés en France ne peuvent être que classées d'importance moyenne ou faible sauf à verser dans le franco-centrisme. A contrario des concepts importants et internationaux pour l'action syndicale comme la grève ou les conventions collectives sont classés d'importance maximale ou élevée (droit de grève...).
Le syndicalisme étudiant ne dépasse pas en général le niveau importance moyenne (UNEF, UNEF-ID...). Une organisation non-représentative comme SUD-Étudiant a été déclassé importance faible, mais cela ne constitue pas une critiques des rédacteurs ni ne compromet aucunement ses chances de devenir AdQ. Les syndicalistes étudiants sont considérés de niveau importance faible. Le fait qu'un président de syndicat étudiant ait une action importante sur le fond compense rarement son manque de notoriété publique (contre-exemple Bruno Julliard, importance moyenne ou Rudi Dutschke importance élevée) et le fait que le syndicalisme est une sous-classe du syndicalisme.
Les personnalités sont évaluées ici pour leur rôle syndical. Olivier Besancenot est ici évalué importance faible faute de responsabilité syndicale; il connu comme syndiqué grâce à ses responsabilités politiques. Idem pour Georges Sarre. La plupart des chefs de syndicats sont classés importance moyenne (Louis Viannet, Ahmed Tlili, Henri Massé, James P. Hoffa...). Des syndicalistes estimables, du monde enseignant par exemple (Étienne Camy-Peyret...), ne peuvent donc être considérés autrement que d'importance faible. Seuls ceux ayant eu un rôle important dans la société toute entière sont classés comme d'importance élevée (Jimmy Hoffa, Cesar Chavez, José Bové, George Meany, Guy Ryder...). Plus rares encore sont ceux qu'on peut qualifier d'incontournables (Karl Marx, Lech Walesa, Léon Jouhaux...).
Pour les évènements des conflits emblématiques au niveau international (Grève des mineurs britanniques de 1984-1985, Lip, Grèves de 1995 en France...) sont classés d'importance élevée, voire maximale (Mai 68...).
J'ai essayé de rester le plus objectif possible, mais ce travail reste évidemment perfectible et des incohérences restent certainement nombreuses. J'espère surtout que ces notes pourront guider utilement ceux qui s'attaqueront au reste de l'évaluation.
Enfin, j'ai évité de classer les organisations et personnalités patronales, dont le mélange avec le syndicalisme "ouvrier" me semble de plus en plus hors sujet.