Discussion:Syndrome de Stockholm

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Syndrome face à la prise d'otages suisses par le régime libyen

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Que celui qui supprime systématiquement la mention du cas suisse face à la prise d'otages par le régime Kadhafi veuille bien faire connaître ses motifs ici. Merci !

Clara Rojas

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Personnellement je ne suis pas sur que le fait "d'avoir eu un enfant avec l'un de ses ravisseurs" est une marque du syndrome: on lui a peut être pas vraiment laissé le choix.

--Uh-rond (d) 30 juin 2010 à 22:32 (CEST)Répondre



cet article est nul92.11.53.33 (d) 6 mars 2008 à 15:46 (CET)Répondre


Je ne vois pas en quoi il est une pathologie? (Un syndrome est un ensemble de symptômes caractéristiques d'une pathologie.)

Qu'y a t'il de pathologique a partager la cause d'autres personnes fut-elle armés? Nous apprenons et changeons d'avis par des rencontres, pourquoi est ce que ce type de rencontre et de changement d'avis serait pathologique ?

Soit le terme de syndrome ne se justifie pas, soi il manque des éléments d'explication.


Il est évoqué un syndrome d'Helsinki sans aucune explication : plaisanterie ?

Portier de nuit

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Voir le film "Portier de nuit" (Night Porter) de 1973 avec Charlotte Rampling.

Dans un grand hôtel de Vienne en 1957, Max, un ancien officier SS, y est portier de nuit. Il se retrouve un jour face à Lucia, l’épouse d’un chef d’orchestre. Un fantôme de son passé se présente. Pendant la guerre, Max entretenait dans un camp de concentration une passion sadomasochiste avec Lucia, l’une de ses prisonnières. Tous deux finissent par renouer leur liaison. Ceci n’est pas du goût des anciens compagnons nazis de Max, qui organisent des "procès-thérapies" où ils pensent pouvoir se décharger de leur culpabilité qui passe par l’exécution des témoins de l’époque. Les deux amants se retranchent dans l’appartement de Max, assiégés par les ex-nazis.

Le syndrome de Stockholm est bien plus que les simples faits divers d'otages et gardiens du texte. C'est une interaction complémentaire en "creux-relief" dans une relation affective intense en approche écosystémique du type parent-enfant, maître-disciple, voyeurisme-exhobitionnisme, sadisme-masochisme qui se complètent pour former une Gestalt ou totalité. C'est une situation de dépendances mutuelles où la "victime" a besoin d'un "bourreau" pour exister en tant que telle et le bourreau, inversement, a besoin d'une victime pour exister en tant que tel.

Takima 25 août 2006 à 01:19 (CEST)Répondre

Lors d’une prise d’otage, si le ravisseur se comporte d’une façon plus ou moins « rationnelle », c’est-à-dire qu’il ne brutalise pas « inutilement » son otage et bien la victime peut se dire, que si elle se tient tranquille, il ne lui arrivera rien de fâcheux.

Si le ravisseur répète sans cesse qu‘en cas d‘intervention de la police, il pourrait tuer l‘otage, alors la victime en question, se persuade qu’elle a plus à craindre d’une intervention « malheureuse » des forces de l’ordre que du criminel lui même. De plus l’otage comprend très vite, que si il donne l’impression d’être du même avis, ou du moins compréhensif avec lui, il « augmente ses chances de survie ». Alors l’otage fini par comprendre, voir plus, ses réactions et ses motivations et si la situation est suffisamment « stable », il s’y adapte plus ou moins.

Tandis qu’une éventuelle intervention de la police, reste pour lui une grande inconnue, car jusqu’à présent sa survie dépendait plus ou moins de son comportement vis-à-vis de son ravisseur, donc il avait le sentiment de ne pas être seulement une victime, mais qu‘il pouvait agir sur une partie des événements. Mais si la tension monte entre la police et son ravisseur, elle dépendra uniquement de lui et donc il retrouvera dans la posture de la victime, incapable d’agir, même pour sauver sa vie.

Le ravisseur sait que tant que son otage sera en vie, cela limitera les risques d’intervention de la police, car il sait que dans le cas contraire il risque d’être blessé ou tué par les forces de l'ordre, mais l’otage sait aussi que dans la même situation, lui aussi risque de mourir, mais lui tué par son ravisseur. Alors il se peut que tous les deux s'opposent à cette intervention et pour la même raison, c’est-à-dire rester en vie*.

Donc dans cette situation, il se peut que l’otage se montre hostile à une intervention de la police. C’est un « mécanisme » de défense, car même si il semble « défendre » son ravisseur, en faite il ne fait que se défendre lui-même.

Après sa libération et sans un soutient psychologique, il se peut qu’il soit victime d’un « choc émotionnel », c’est-à-dire un sentiment de manque, de frustration et de stress. Alors il cherchera à comprendre le pourquoi de se trouble et parfois y compris auprès de son ex-ravisseur et dans ce cas il peut y avoir un sentiment de dépendance affective vis-à-vis de lui, sentiment que la victime pourra traduire dans certains cas par de « l‘amour », voir par une relation plus ou moins complexe avec lui et dans ce cas, cela rejoint un peu le schéma décrit par le contributeur précédent.

Ce n’est pas toujours le cas pour les ravisseurs, notamment lors d’un détournement d‘avion par un groupe terroriste, dans ce cas et si c’est possible, la police interviendra et cela malgré les risques, car de toutes façons, si ils veulent mourir, ils tueront les otages. Mais c’est un autre sujet.

OccultuS 27 août 2006 à 02:41 (CEST)Répondre

Source

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Soit cet article est pour l'essentiel un essai personnel (ou un agrégat d'essais personnels), soit les sources doivent être indiquées en bas de page.
--Gloumouth1 29 août 2006 à 14:08 (CEST)Répondre

Je penche plutôt pour "essai personnel". Il faudrait supprimer toute la partie "Quelle est cette énigme?"
--Fabos 29 août 2006 à 18:29 (CEST)Répondre

Que celui qui supprime systématiquement la mention du cas Suisse face aux otages du régime Kadhafi veuille bien faire connaître ses motifs !!! Merci

Syndrome de Stockholm dans les médias

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Ils utilisent ce mot à propos de tout et n'importe quoi: les utilisateurs d'iphone, des stars de la musique française, les musulmans et même la Suisse. De là à en faire mention dans l'article.. ça pourrait être l'objet à la limite d'un paragraphe "Syndrome de Stockholm dans les médias" mais en faisant bien le distinguo avec le comportement défini en 1978.   Frakir 10 novembre 2010 à 22:05 (CET)Répondre

Cela peut sans problème faire partie d'un paragraphe qui signale cette extension de sens. Faire silence là-dessus n'aurait pas de sens. Mieux vaut le signaler et éventuellement relativiser.

Proposition de sources

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Pas expert, je signale ici ces sources :

DarkVador [Hello there !] 27 août 2023 à 17:14 (CEST)Répondre

L'infobox est erroné et manque d'être complété

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Il faudrait ou l'effacer ou le remplir. Il n'est pas présent dans l'article anglais.

2A02:8440:B149:7B8C:0:4D:815E:C701 (discuter) 27 février 2024 à 14:28 (CET)Répondre

Quand est-ce qu'on dit que syndrome de Stockholm est une invention ?

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Je viens de lire cette page et je découvre qu'elle oublie un élément fondamental du Syndrome de Stockholm : il n'a aucune base scientifique. C'est surtout la popularisation du concept depuis l'histoire des médias qui l'a popularisé, et fait l'objet de nombreuses utilisations à des fins plutôt narratives dans diverses œuvres de fiction.

Les pages anglaises et allemandes sont beaucoup plus précises d'entrée de jeu :

• « Stockholm syndrome is a proposed condition or theory that tries to explain why hostages sometimes develop a psychological bond with their captors. » (Le syndrome de Stockholm est une théorie qui tente d'expliquer pourquoi les otages développent parfois un lien psychologique avec leurs ravisseurs.)

• « Unter dem Stockholm-Syndrom wird jenseits fachwissenschaftlicher Diskurse ein psychologisches Phänomen verstanden » (Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique au delà des discours scientifiques) ; « Seitdem wird er medial popularisiert, obwohl sich empirisch keine entsprechenden Nachweise finden lassen und die Existenz eines solchen Syndroms wissenschaftlich überwiegend angezweifelt wird. » (Depuis [la prise d'otage de Stockholm de 1973], il est popularisé par les médias, bien qu'aucune preuve empirique ne puisse être trouvée et que l'existence d'un tel syndrome soit majoritairement mise en doute sur le plan scientifique)

A minima, j'ajoute dans l'intro qu'il n'est pas prouvé scientifiquement. Pétard de feu (discuter) 5 août 2024 à 17:38 (CEST)Répondre

Bonjour @Pétard de feu et merci !
J'ignorais totalement que ce n'était pas une réelle condition psychiatrique, j'ai appris quelque chose.
Du coup, j'en ai profité pour rajouter rapidement une section "Critique", mais je pense qu'elle pourrait être mieux formulée et certainement améliorée.
Il existe aussi cet article de 2007 [1] qui est en libre accès et qui pourrait certainement servir à sourcer ce sujet. Bonne journée ! .Anja. (discuter) 5 août 2024 à 20:01 (CEST)Répondre
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