Discussion:Lachapelle-Graillouse

Dernier commentaire : il y a 8 ans par AntonyB dans le sujet En réponse aux commentaires précédents
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Modification de nom (Projet abandonné) modifier

Procédure de modification de nom lancée, le chemin est encore long mais il faudra être prêt à renommer en La Chapelle Graillouse prochainement. Yodie (d) 18 décembre 2008 à 14:27 (CET)Répondre

Cette procédure est lancée à l'initiative de la seule municipalité.
Beaucoup d'habitants de la commune sont surpris par cette démarche. Le nom actuel "Lachapelle" au lieu de "La chapelle" que la municipalité veut imposer leurs convient parfaitement.
Il est à remarquer que dans tout le département de l'Ardèche il n'y a que des Lachapelle. (Voir annuaire des PTT)
Le 28 Juillet 2011— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 62.147.25.162 (discuter), le 29 juillet 2011 à 12:42 (CEST)Répondre
Qui sait si cet étrange projet municipal n'est pas abandonné?
Plus personne n'en parle sur la commune pas même le maire ni les conseiller.
Avril 2012— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 194.199.117.251 (discuter), le 6 avril 2012 à 11:48 (CEST)Répondre
Ce changement de nom était une idée de M Bernard, ancien maire de Lachapelle Graillouse. Ce projet est abandonné. Les panneaux routiers de la commune ont étés rénovés en 2009 et à la demande du maire de l'époque y figure un nom erroné. Mars 2014— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.84.146.197 (discuter), le 17 mars 2014 à 16:21 (CET)Répondre

Les panneaux routiers situés aux carrefours des routes départementales coté Coucouron et coté Lac d'assarles comportent bien le nom normal du village soit Lachapelle-Graillouse— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.84.144.191 (discuter), le 22 avril 2014 à 10:17 (CEST)Répondre

Avertissement à de nouveaux contributeurs éventuels par un ancien contributeur interloqué modifier

Ayant participé avec bien d'autres personnes à développer (de façon minime) cet article, je constate que tout ce travail de rédaction et de corrections mutuelles qui s'est déroulé sur plus de 6 ans est dévasté depuis quelques temps (2/2015) par quelques personnes qui manifestement n'ont jamais mis les pied dans la commune. (Voir l'historique de l'article pour constater en particulier la teneur des justifications des très nombreuses suppressions)

Se targuant du respect d'un règlement peu adapté à la description d'une petite commune (il faut "sourcer" (Un mot non existant en français) avec internet exclusivement. Ce qui a été publié dans les anciennes revues locales (horreur: sur papier!) ou ce qui est visible de visu sur le terrain ne compte pas.) ces quelques personnes démolissent allégrement ce quelles ne connaissent pas ou ne retrouvent pas sur internet lors d'une recherche rapide. Pour donner le change et ne pas trop alléger l'article, elles y ajoutent des statistiques et des chapitres vides.

L’article qui en résulte est maintenant truffé de statistiques sans intérêt (qui seront périmées l'année prochaine) et de renseignements faux. (Mais c'est censé être vrai car on en parle ailleurs sur le réseau internet!) Il suffit de connaitre un peu la commune et le village de Lachapelle Graillouse pour s'apercevoir des énormités que maintenant l'article contient .

Tout ce qui rendait l'article intéressant a presque complétement disparu ou semble être appelé à disparaitre à cour terme. Ce qui reste constitue un article extrêmement banal qui semble avoir été écrit par un logiciel de rédaction automatique.

Pour ma part je me garderait bien à présent de modifier quoique ce soit sur l'article sur mon village, n'ayant plus de temps à perdre pour cela!

j'ai en effet bien retenu la leçon et désormais je ne participerais plus à cette mascarade. Je comprend maintenant pourquoi "l'encyclopédie" Wikipédia est constitué principalement d'articles vides.

Contributeurs éventuels, sachez que si vos contributions n'ont pas la chance de plaire aux membres autoproclamés de la "wikipédiacratie" elles seront supprimées sans merci. Ces gens appellent ça, entre eux, des "améliorations".

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 80.12.55.146 (discuter), le 21 février 2015 à 16:35 (CEST)Répondre

Bonjour. Il est utile de s'exprimer, cela fait avancer le débat. Surtout N'hésitez pas à vous exprimer et à rédiger, c'est le mot d'ordre au sein de cette merveilleuse encyclopédie qu'est la fr.wikipédia : relire Wikipédia:N'hésitez pas !.
Il est bien évident que si l'article contient des informations fausses, il faut les corriger en apportant la référence de la source qui a publié l'information vraie.
Cela dit, il faut se souvenir que nous ne rédigeons pas des documents pour une mairie, un officce de tourisme ou une plaquette locale. Nous rédigeons ici des articles encyclopédiques. Cela signifie — par définition — que pour un sujet donné, l'article fait une synthèse des informations précédemment publiées sur ce sujet. Il importe donc pour le rédacteur de citer la référence de la source d'où est issue l'information qu'il republie ici. C'est l'un des règles fondatrices de l'encyclopédie WP:V dont l'observation est obligatoire puisque c'est une « règle » et non pas une « recommandation » : « Une information ne peut être mentionnée que si les lecteurs peuvent vérifier qu'elle a déjà été publiée par une source ou référence de qualité. Les contributeurs doivent fournir une telle source pour toutes les informations contestées ou susceptibles de l'être. Dans le cas contraire, elles peuvent être retirées. ». En effet, dans ce cas, le contenu peut être identifié à un « travail inédit », parfois nommé également « recherche personnelle », donc non admissible au sein de l'encyclopédie.
Il est bien évident que toutes les sources secondaires sont admissibles, même si elles donnent des informations contradictoires, c'est ensuite au lecteur de s'en remettre à son jugement en fonction du sérieux des sources telles que référencées. Il est certain également que les sources web, issues de sites douteux, sont à proscrire. On notera que cet article fait référence (tout du moins à ce jour) qu'à des sources sérieuses (ministère de la Culture, ministère de la Justice, IGN, Légifrance, Dauphiné Libéré, EHESS, Insee...).
Enfin, un rappel, comme indiqué en haut de chaque article de commune à compléter, il existe une page d'aide à la rédaction d'un article de commune de France, bien utile pour améliorer les articles de communes.
Bien cordialement. AntonyB (discuter) 21 février 2015 à 18:04 (CET)Répondre
Une réponse stéréotypée et pleine de langue de bois. Le règlement c'est le règlement, circulez!— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 80.12.39.43 (discuter), le 13 avril 2015 à 19:04 (CEST)Répondre
A noter que rien dans nos règles n'impose que les sources soient disponibles sur internet : on peut parfaitement sourcer sur un livre, une revue publiée, aujourd'hui ou autrefois, sur papier. Il y a même des modèles faits pour ça : {{ouvrage}} ou {{article}}, que je vous invite à utiliser sans modération   - Cordialement --Claude villetaneuse (discuter) 14 avril 2015 à 20:23 (CEST)Répondre
Bonjour. Point de langue de bois. Merci de prendre en compte ma bonne foi et mon unique souci de vous aider à améliorer cet article. Bien cordialement et n'hésitez pas à demander des conseils, j'aime bien aider. AntonyB (discuter) 14 avril 2015 à 21:17 (CEST)Répondre
"Gardez moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge!" disait l'autre. Après l'intervention de quelques "contributeurs" fin 2014, l'article dans sa forme actuelle (avril 2015) est devenu extrêmement pauvre et sans grand intérêt par rapport à la version construite progressivement par de nombreux intervenants jusqu'en automne 2014. C'est bien dommage! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 80.12.59.86 (discuter), le 27 avril 2015 à 12:04 (CEST)Répondre

En réponse aux commentaires précédents modifier

Bonjour. Rien n'est perdu. les textes qui ont été déplacés sont recopiés ci-dessous. Il suffit d'en extraire les informations encyclopédiques, d'en faire des phrases, de respecter les règles de la typographie française et de les insérer dans l'article. Ne vous souciez pas de la forme, nous nous en occuperons. L'essentiel est de disposer du fond et des références des sources où vous avez trouvé ces informations, ce n'est pas plus compliqué.

À la lecture de ces textes déplacés, vous reconnaîtrez qu'ils sont certainement excessifs, voire diffamants pour une partie des habitants.

Vous reconnaitrez également que l'article a été bien amélioré et complété. Des informations erronées ont été corrigées. En effet, par exemple, il était faux d'écrire « Il ne reste plus d'exploitation agricole au chef-lieu et très peu sur la commune. » alors que via le registre du commerce, l'Insee dénombre pas moins de 21 établissements dans le domaine agriculture-sylviculture-pêche à fin 2010.

Merci d'avance pour les améliorations que vous apporterez à cet article et bonne continuation. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 27 avril 2015 à 12:42 (CEST)Répondre

Réponse à la réponse sur un des éléments erronés de l'article :
"Vous reconnaitrez également que l'article a été bien amélioré et complété. Des informations erronées ont été corrigées. En effet, par exemple, il était faux d'écrire « Il ne reste plus d'exploitation agricole au chef-lieu et très peu sur la commune. » alors que via le registre du commerce, l'Insee dénombre pas moins de 21 établissements dans le domaine agriculture-sylviculture-pêche à fin 2010."
C'est là la grande différence entre les constations de terrain et la théorie via la consultation de registre et statistiques diverses.
Le registre du commerce listait en 2010 (il y a donc plus de 5 ans!), 21 établissements "agriculture-sylviculture-pêche".
C'est un outil et comme tout les outils il faut savoir s'en servir sous peine de faire des dégâts.
- 1 Cette liste comprend sans distinction les établissements de sylviculture, d'agriculture et de pêche.
- 2 Elle ne distingue pas les établissements en activité réelle de ceux qui sont inactifs. (La création d'établissements inactifs est nécessaire pour de nombreuses raisons)
- 3 Elle comporte des établissements correspondant à des personnes à la retraite ou décédé.
Je confirme que en 2015 sur la commune de Lachapelle-Graillouse, il ne reste plus d'exploitation agricole au chef-lieu (il reste quelques poules!) et très peu sur la commune (environ 5 exploitations agricoles en activitées). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.12.63.156 (discuter) 13 mai 2015 à 17:26 (CEST)Répondre
Bonjour. Merci de cette information. N'hésitez pas à améliorer l'article en le complétant de cette information et en oubliant pas d'indiquer la référence de la source d'où provient cette information. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 mai 2015 à 23:04 (CEST)Répondre
Les modifications apporté à l'article depuis fin 2014 apportent des éléments erronés. Ne comptez pas sur moi pour modifier toutes les erreurs qui figurent maintenant dans l'article. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.12.63.156 (discuter) 13 mai 2015 à 17:26 (CEST)Répondre
Si vous avez des documents qui permettent de montrer que certaines informations sont erronées, il est dommage que vous n'en fassiez pas profiter la communauté. C'est pourtant le principe de l'encyclopédie. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 mai 2015 à 23:04 (CEST)Répondre
Vous avez agencé l'article pour qu'il soit conforme à vos idées et préjugés et rendu pratiquement illisible une partie qui n'est pas de votre cru. Qu'il en soit ainsi! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.12.63.156 (discuter) 13 mai 2015 à 17:26 (CEST)Répondre
Pour votre information, je n'ai aucun préjugé sur cette commune ! Les contributeurs de l'encyclopédie ont défini un plan-type d'article de commune de France. Il est repris tel que dans cet article, il n'y a absolument rien de mon « cru » ! Pour votre info, je vous recommande d'en prendre connaissance (voir page d'aide à la rédaction d'un article de commune de France|en cliquant ici). Ce plan-type est repris dans tous les articles de l'encyclopédie qui ont été labellisés bon article ou article de qualité depuis sept ans maintenant. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 mai 2015 à 23:04 (CEST)Répondre
Une petite question, connaissez vous la commune de Lachapelle-graillouse autrement que par la consultation de documents publiés sur internet? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.12.63.156 (discuter) 13 mai 2015 à 17:26 (CEST)Répondre
Confirmation de l'impression générale: Vous n'avez jamais mis les pieds sur la commune, vous ne la connaissez pas...... C'est, je n'y connais rien mais j'écris quand même.
La fr.wikipédia étant une encyclopédie, toute information peut y être republiée à condition d'indiquer la référence de la source d'où elle provient (certains utilisent parfois en jargon wikipédien le terme « sourcer »), mais peu importe que cette source soit Internet ou une édition papier (journal, revue, ouvrage), à condition que la règle de base de xikipédia soit appliquée, il y va du sérieux de l'encyclopédie. Je me permets de vous la rappeler ci-dessous. Bien cordialement. AntonyB (discuter) 17 mai 2015 à 23:04 (CEST)Répondre




recopie ci-dessous des textes déplacés :

====Aperçu de la vie politique municipale====

Depuis le dix-neuvième siècle, le modèle régissant la vie politique municipale n'a pas beaucoup évolué.

Pour avoir quelques chances d'être élue majoritairement au conseil municipal, il est indispensable de constituer une liste comportant un maximum de colistier qui soit membre d'un des familles nombreuses de la commune.

En effet, le vote clanique est toujours d'actualité à Lachapelle Graillouse.

=== Le vingtième siècle ===

Après l'épidémie de 1892 qui emporte environ 10% de la population de la commune, le conflit de 1914-1918 fait aussi des ravages. En effet, c'est 101 personnes qui perdent la vie durant ces 4 ans ce qui correspond à environ 10% de la population. À la différence de 1892, il s'agit ici pour la plupart de très jeunes gens qui représentent l'avenir de la commune. Le déclin démographique amorcé en 1892 n'en est que plus accentué.

Avec la mécanisation du travail agricole, la commune subit un fort exode rural, touchant principalement les jeunes générations les mieux formées, qui culmine dans les années 1950-1960. Cet exode se fait principalement vers la basse Ardèche (Aubenas), le bassin houiller d'Alès et le midi de la France. Le Puy-en-Velay et la région lyonnaise accueillent aussi de nombreux Chapelous. Certains d'entre eux, devenus fonctionnaires, montent à Paris par le jeu des mutations de début de carrière. La plupart ne reviennent pas sur le plateau et font leurs vie loin du pays. Cette génération, gardant quand même un certain attachement au pays, conserve les habitations de ses parents. La population est alors toujours en très forte baisse par rapport aux années 1920. Les générations ne se renouvellent plus sur place.
Les écoles publiques des hameaux (Villeneuve, le Pièbre…) ferment dans les années 1960. Les deux écoles (une publique et une privée) du chef-lieu disparaissent durant la décennie 1980. Les quelques enfants vivant dans la commune rejoignent alors les écoles de Coucouron ou du Lac-d'Issarlès.
En conséquence, faute de clients, les nombreux commerces que le village possédait jusque dans les années 1970 ferment durant la décennie suivante.

Pour mémoire, voici la liste des activités présentes au chef-lieu du village en 1979:
- 3 épiceries (dont une avec distribution de journaux)
- 2 boulangeries
- 2 hôtels avec restaurants
- 4 débits de boisson (dont un avec débit de tabac)
- 1 marchand de boissons en gros
- 1 commerce de chaussures
- 1 agence postale gérée par les P.T.T
- environ 8 petites exploitations agricoles (pour la plupart de moins de 10 vaches).

Il n'y avait pas de commerce dans les autres hameaux de la commune. Quelques commerces ambulants (boucherie, épicerie, boulangerie) sillonnaient la commune pour des tournées bi-hebdomadaires.
Il existait de nombreuses exploitations agricoles dans chacun des hameaux de la commune.
L'été, quelques habitants des villages ainsi que les deux hôtels de la commune proposaient aux touristes des hébergements au confort souvent sommaire (pas de salle de bain, WC sur le palier). Ce type d'hébergement qui avait l'avantage d’être très peu coûteux, permettait à des familles d'ouvriers ou d'employés de pouvoir faire un séjour prolongé (souvent 1 mois entier) à la campagne.
À l'aube du vingt et unième siècle il ne reste plus d’hébergement à coût modique sur la commune. === Le vingt et unième siècle ===

==== Un changement progressif de population ====

Les enfants et petits enfants de la génération ayant quitté la commune durant l’exode rural des années 1950 à 1960 n'ont pour la plupart d'entre eux plus aucune attache avec le pays de leurs ancêtres[réf. nécessaire].
Ceci à pour conséquence que depuis les années 1990 et 2000, beaucoup de maisons habitées à l’année depuis des siècles par la même famille de locaux sont peu à peu vendues comme résidences secondaires à des touristes méridionaux profitant durant quelques semaines en été de la fraîcheur prodiguée par l’altitude.[réf. nécessaire] Cette nouvelle population n'ayant que très peu d'attache avec le pays s'implique peu dans la vie locale. Elle remplace peu à peu les familles originaires du village.
Il ne reste, résidant sur place, que très peu de représentants des familles qui ont fait l'histoire du village.[réf. nécessaire]
==== Un état d'esprit particulier ====

L’expérience montre qu'en apparence, les nouveaux venus semblent être bien acceptés par les habitants de souche. En réalité, la mentalité locale, particulière à la région, fait qu'ils restent toujours considérés comme des étrangers. Même une présence dans la commune sur une très longue période ne suffit pas à une personne n'ayant pas toute sa famille sur place à être considéré comme étant "du pays".

Les natifs de la commune ayant fait leur vie loin du plateau ardéchois subissent aussi cette façon de penser. Pour les locaux, ils sont devenus "de la ville" et n'ont alors plus vocation à s’intéresser aux affaires de la commune.

Cette mentalité que les nouveaux venus découvrent très progressivement après quelques années de présence ne favorise pas l'intégration au pays et la venue de sang neuf. Combinée avec le climat difficile du plateau, elle est la cause de nombreuses déceptions entraînant des déménagements.

==== De nouvelles constructions ====

Dans ce hameau les habitants de souche, après avoir pour certains profité largement de la vente de terrains subitement devenus constructibles, découvrent maintenant qu'ils sont minoritaires. Cela entraîne quelques problèmes de voisinage avec les nouveaux venus.

Au village, un lotissement municipal, crée en 2005, et dont les maisons (en majorité des résidences secondaires) sont pour certaines toujours en cours d'achèvement en 2013, accélère encore cette mutation progressive de la population du village[réf. nécessaire].
Ceci est aussi le cas dans le hameau de Boissandroux qui voit depuis 2005 la construction anarchique de nombreuses nouvelles habitations (résidences secondaires pour la plupart)[réf. nécessaire].

==== Des maisons à vendre ====

Paradoxalement, environ 20% des maisons du village sont à vendre (pour certaines depuis plus de 10 ans). Ceci concerne autant des habitations anciennes que des maisons nouvellement construites. Le reste de la commune connait aussi ce phénomène mais de façon moins visible. ==== Une mentalité particulière ==== L’expérience montre qu'en apparence, les nouveaux venus semblent être bien acceptés par les habitants de souche. En réalité, la mentalité locale, particulière à la région, fait qu'ils restent toujours considérés comme des étrangers. Même une présence dans la commune sur une période de 60 ans ne suffit pas à une personne n'ayant pas toute sa famille sur place à être considéré comme étant "du pays".

Les natifs de la commune ayant fait leur vie loin du plateau ardéchois subissent aussi cette façon de penser. Pour les locaux, ils sont devenus "de la ville" et n'ont alors plus vocation à s’intéresser aux affaires de la commune.

Cette mentalité que les nouveaux venus découvrent progressivement après quelques années de présence ne favorise pas l'intégration au pays et la venue de sang neuf. Combinée avec le climat difficile du plateau, elle est la cause de nombreuses déceptions entraînant des déménagements.

==== De nouveaux arrivants ====

On constate depuis quelques années l'installation, à l'année de quelques nouveaux arrivants qui sont pour la plupart des couples quinquagénaires ou en retraite.[réf. nécessaire] En effet, si on exclut la rudesse de l'hiver la qualité de la vie sur le plateau ardéchois reste attractive.[Interprétation personnelle ?]

==== Un transfert de population vers Coucouron ====

En raison des facilités économiques et commerciales liées au chef-lieu de canton, de nombreux Chapelous appartenant à la génération active travaillent et habitent maintenant sur la commune de Coucouron. La commune de Coucouron absorbe ainsi progressivement la population jeune et active de l'ensemble du plateau ardéchois.
De même de nombreux anciens ont aussi rejoint la maison de retraite ou l'EHPAD de ce bourg.

==== Activités sur l'ensemble de la commune ====

- Un hôtel-restaurant au village. Ce commerce est hébergé dans l'ancienne ferme "Cuperly" du nom de ses anciens propriétaires. Tombant progressivement en ruines faute d'occupants et d'entretien depuis le débuts des années 1990, cette ruine a été rachetée fin 2000 par la commune (Roger Veysseyre étant maire) dans le but d'agrandir la place du village. Elle a été ensuite presque entièrement reconstruite en 2006 par la commune avec un financement mixte d'environ 500 000 euros réparti entre la commune (45%) et la Région et l'Europe (55%) pour initialement créer un commerce multi-services. De 2007 à 2013, le bâtiment fut concédé par la commune selon un bail en location/vente. Exploité selon une optique nouvelle cuisine adapté à une clientèle haut de gamme le volet multi-services fut mis rapidement en sommeil. Malgré des début prometteurs, ce concept "nouvelle cuisine pour clientèle haut de gamme" s'est essoufflé progressivement. Les charges liées à la locations vente étant trop importantes, l'auberge a fermé fin 2012. Depuis juin 2013, un nouvel exploitant a repris cet hôtel-restaurant avec un bail en location ordinaire. Le commerce multi-services qui associé à l'hôtel-restaurant devait dynamiser le village ne semble définitivement plus d'actualité[réf. nécessaire].

- Une chambre et une table d'hôte situées au lieu-dit le Ventalon

- Une scierie au lieu-dit le Ventalon.

- Une entreprise de menuiserie et charpente au hameau du Pièbre.

- Une entreprise de travaux de menuiserie bois et P.V.C au village.

- Quelques gîtes sont à louer aux touristes à la semaine ou au mois.

- Il ne reste plus d'exploitation agricole au chef-lieu et très peu sur la commune.

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