Discussion:L*a*b* CIE 1976

Dernier commentaire : il y a 2 ans par PolBr dans le sujet illustration
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À faire modifier

  • Trouver une image libre de droit de l'espace Lab.
  • Intégrer l'algorithme de conversion mis en lien (je suis pas fort formules math...).

--Serged 27 aoû 2004 à 16:34 (CEST)

C'est fait. Ploum's

Lab / XYZ modifier

Une remarque non essentielle. Je ne suis pas sûr de comprendre la «tentative de linéariser la perception des différences de couleurs». Il me semblerait plutôt qu'on délinéarise en transformant le système linéaire XYZ en le système non linéaire Lab ? Jct 3 jun 2005 à 17:25 (CEST)

D'accord avec toi Jct. D'ailleurs il y a, à mon avis, une confusion à ce sujet dans l'article Système colorimétrique#Systèmes techniques. Le terme uniformiser semble plus adapté.--Alasjourn (d) 22 décembre 2010 à 00:32 (CET)Répondre
En quoi consiste la confusion ? Jct (d) 22 décembre 2010 à 12:11 (CET)Répondre
C'est moi qui aie mal lu. Désolé. --Alasjourn (d) 23 décembre 2010 à 22:42 (CET)Répondre

Lab/Luv modifier

Ne serait-il pas raisonnable d'utiliser deux articles distincts ? Jct (d) 25 avril 2008 à 09:42 (CEST)Répondre

Encore d'accord avec toi. Il faudrait aussi introduire les articles CIE U'V'W' 1976, pour expliciter les notation u' et v', et CIE UVW 1960 (moins important car obsolète).--Alasjourn (d) 22 décembre 2010 à 00:32 (CET)Répondre

Luminosité modifier

La section Généralités porte « changer la luminosité d'un téléviseur revient à changer cette valeur ». Je me demande qui dit ça. Le réglage de luminosité ((en) brightness) concerne le niveau du noir. Certes, en remontant le niveau du noir, on augmente la luminosité, dans les limites des possibilités de l'écran, mais pas proportionnellement, puisque la différence relative est surtout importante dans les parties obscures, qu'on débouche. C'est Contraste, sur les télés, qui augmente la luminosité (dans les limites permises par l'écran) : ce réglage multiplie les valeurs de luminance. Il paraît que cette notion est intuitive : sans doute, mais la référence aux réglages de la télévision, particulièrement mal nommés, ne facilite pas la compréhension de ce qu'est la grandeur luminosité. À moins que je n'y ai rien compris, auquel cas, je vous serai bien reconnaissant de m'indiquer où je peux m'instruire. PolBr (discuter) 22 novembre 2014 à 20:31 (CET)Répondre

Il me semble que tu as bien compris. Peut-être une confusion entre lightness (luminosité) et brightness (traduit de la même manière sur les téléviseurs). Une source : Charles Poynton 2012 p.51-64.
Il y a du boulot ici aussi.
Ellande (Disc.) 22 novembre 2014 à 23:08 (CET)Répondre
Cette phrase date du 25 décembre 2004 (diff), bientôt dix ans.
Ellande (Disc.) 23 novembre 2014 à 01:26 (CET)Répondre

Renommage modifier

Selon les sources dont je dispose, on devrait écrire « L*a*b* CIE 1976 ou [généralement appelé] CIELAB ». Discussion lancée ici ː Discussion:Colorimétrie#CIE L*a*b*. J'ai modifié le RI et les titres de section. J'attends un peu avant de renommer.

Il y a des détails non sourcés qui me paraissent suspects comme les "600 niveaux" pour les paramètres a* et b*...

Ellande (Disc.) 17 janvier 2018 à 23:34 (CET)Répondre

Détails non sourcés modifier

« Il y a des détails non sourcés qui me paraissent suspects comme les "600 niveaux" pour les paramètres a* et b*... »

En effet. Une couleur réelle ne peut donner des a* et b* supérieurs à 100. Il n'y a aucun intérêt à arrêter l'espace à 300. Sylveno (d · c · b) avait ajouté ce détail le 12 décembre 2012. La source aura certainement quelque chose à nous enseigner. PolBr (discuter) 19 janvier 2018 à 09:27 (CET)Répondre

Question sûrement idiote : Aussi de Sylveno (d · c · b) l'illustration légendée « Espace de couleur CIE LUV sur lequel sont reportés les axes a* b* et les températures de couleurs ». Pourquoi l'intersection des axes a* et b* et la couleur de fond blanche ne sont-elles pas au point de l'illuminant D65 juste à côté du lieu du corps noir à 6500K ? PolBr (discuter) 20 janvier 2018 à 17:35 (CET)Répondre

Je crains que ce ne soit une erreur... mais je lui ai posé la question sur sa PdD, en espérant qu'il se rappelle de sa production vieille de 5 ans. Je me demande par ailleurs comment ont été tracées les isoteintes car ce n'est pas la première fois que je vois tracées de telles frontières. Je n'ai jamais rien trouvé à ce sujet. — Ellande (Disc.) 20 janvier 2018 à 17:45 (CET)Répondre
Les isoteintes ne sont pas des frontières. Ce sont des lignes d'égale teinte; la teinte varie un peu quand on ajoute de plus en plus de blanc à une lumière monochromatique, voir Effet Abney avec illustration et références. Les isoteintes sont aussi dans Déribéré (Que-Sais-Je ? La couleur p. 112). Sève donne quelque part une formule de correction (chap. 8 ?); voir aussi p. 142. PolBr (discuter) 20 janvier 2018 à 18:09 (CET)Répondre
Evidemment, j'ai fait un raccourci. J'ai voulu dire les isoteintes tracées qui forment des frontières entre les champs chromatiques attribués au rouge, orange, jaune, etc, ainsi que les frontières en fonction de la saturation, enfin bref, toutes les lignes de démarcation. Déribéré n'indique rien qui permette de reproduire le tracé. Je n'arriva pas à trouver quoi que ce soi chez Sève. Cela ne correspond à des lignes d'angle de teinte constante CIELAB (courbes) ni CIELUV (droites). — Ellande (Disc.) 20 janvier 2018 à 20:58 (CET)Répondre
Le Grand 1972:37-138 publie le diagramme des isoteintes avec une référence à Newhall, Nickerson, Judd, 1943, précisant qu'il s'agit d'une « étude sur 40 sujets totalisant 3 millions de jugements ». Le changement de tonalité dépend aussi de la luminance (effet Bezold-Brücke) et les tracés dépendent du facteur de luminance. Les deux effets « s'annulent sur les droites joignant C à 572,2 nm d'une part et au pourpre complémentaire de 559 de l'autre ». Il semble que les tracés soient ceux des auteurs de l'étude. Il n'y a que huit secteurs.
En effet, Sève n'en dit rien à ce sujet, j'ai confondu avec la formule OSA qui corrige la luminosité des couleurs saturées (phénomène Helmholtz-Kohlrausch), p. 184.
PolBr (discuter) 21 janvier 2018 à 15:00 (CET)Répondre
  • C'est un sujet un peu marginal par rapport à L*a*b*. Je préférerais sincèrement qu'on s'abstienne des noms de couleurs avec lignes de démarcation dès lors qu'on peut mettre une couleur de fond, ce qui n'était pas le cas dans les anciennes publications. Les limites entre le champ des noms de couleurs sont floues. L'appréciation des couleurs, qui donne les noms de couleur, dépend du contexte. Je ne sais quelles en sont les raisons exactes, mais l'AFNOR a annulé le 30 août 2014 X08-010. Autant que je sache, l'organisme n'a jamais pris en compte les non-linéarités de la perception des couleurs. Si, donc, il peut être intéressant dans la discussion des écarts de couleur de marquer les isoteintes, qui indiquent dans quel sens il a fallu ajuster la longueur d'onde de couleur monochromatique pour obtenir la même teinte après une petite variation de la quantité de blanc, ces lignes ne doivent pas être confondues avec des limites de champ chromatique. En ce qui concerne les couleurs de fond, expressives par elles-mêmes, elles seraient beaucoup plus satisfaisantes en ne laissant que celles qui peuvent effectivement apparaître sur un écran sRGB conforme, laissant l'extérieur en blanc ou en gris neutre. Les lignes isoteintes en déborderaient, comme la ligne des couleurs spectrales. S'agissant de couleurs de surface, les limites des couleurs optimales pour différents niveaux de luminosité sont pertinentes. Celles-ci sont de véritables frontières. PolBr (discuter) 22 janvier 2018 à 10:31 (CET)Répondre
Pas d'inquiétude à avoir. Je me demande simplement d'où viennent ces tracés. En cherchant de ci de là, j'observe déjà deux tracé différents qui circulent. Mais rien sur leur origine. — Ellande (Disc.) 24 janvier 2018 à 17:26 (CET)Répondre
hou là ! je vois ça avec retard, je ne suis plus souvent connecté avec mon identifiant. Je vais essayer de retrouver mes sources. Comme vous dites ça date… Sylveno (discuter) 22 février 2018 à 18:27 (CET)Répondre
ok, mon diagramme est une tentative de synthèse entre plusieurs diagramme par exemple [1] [2] [3] À l'époque il y avait beaucoup moins de ressources disponibles en ligne, mon diagramme n'est pas exempt d'erreurs. Les lignes ne sont qu'indicatives et certainement pas des démarcations. Si il faut changer quelque chose, dites-moi… si je retrouve l'archive pour le modifier selon vos recommandations.Sylveno (discuter) 23 février 2018 à 14:18 (CET)Répondre
[1] ci-dessus (www.ledtronics.com) est une source. Oleari 2016:376, assimile, dans l'espace CIE XYZ 1931 la longueur d'onde dominante et la teinte, les lignes sont droites. researchgate.net donne une figure qui montre que si la courbure due à l'effet Abney n'est qu'à peu près la même selon les études. uni.hanover met le couleurs où je pense qu'elles doivent être, et une illustration photographique du métamérisme. PolBr (discuter) 23 février 2018 à 15:43 (CET)Répondre
Je crois que [1] ne me paraît pas une meilleure source que les autres. L'étude n'explique pas non plus la forme des isoteintes frontières. Je crois que ça va rester un mystère pour l'instant. Merci pour vos efforts.— Ellande (Disc.) 19 mars 2018 à 21:53 (CET)Répondre

Chromaticité et saturation modifier

Je corrige ici la phrase « par un angle de teinte et une saturation chromaticité ». J'insiste pour l'emploi du mot exact des textes, à défaut de pouvoir donner une source qui expose de façon synthétique la différence entre ces termes. La saturation se définit, indépendamment du jargon psychophysique (Sève 2009:6), comme une proportion par rapport au maximum possible.« L'organisation spatiale du système CIELUV permet de donner un sens clair aux grandeurs de chroma et de saturation que l'on a généralement des difficultés à distinguer au plan de leur signification » (Sève 2009:146). Si CIE LUV définit la saturation comme le rapport de la chroma à la clarté (Sève 2009:144), CIE L*a*b* ne le fait pas. Selon mon faible entendement, s'agissant de couleurs de surface, le maximum de chromaticité s'obtient avec des couleurs optimales : je ne vois de possibilité de calculer cette valeur qu'en réalisant une table qui modèle la surface des couleurs optimales pour trouver, avec une luminosité et un angle de teinte, une chromaticité maximale. Les représentations en volume de l'espace L*a*b* montrent que cette surface n'est pas simple (Sève 2009:145). PolBr (discuter) 1 février 2019 à 10:16 (CET)Répondre

section CIELAB et l'informatique modifier

Je ne comprends pas le dernier paragraphe et plus spécifiquement: "Une chose importante à se rappeler dans ce modèle est le fait qu'il est, par définition, paramétré correctement. Il n'y a donc pas besoin d'espaces spécifiques basés sur modèle." Paramétré? Que voulez-vous dire? De plus, il y a un modèle derrière CIELab: il est basé sur l'expérience colorimétrique selon laquelle on réalise des "colour matches" au départ de trois sources lumineuses.--Vincy.LacroixVincy.Lacroix (discuter) 19 septembre 2019 à 12:52 (CEST)Répondre

Ce passage date du 25 décembre 2004, quand 01:35‎ 82.225.234.108 (d · c · b) l'a écrit, pour l'essentiel ; je ne vois pas ce qu'elle veut dire, et je crois qu'on peut la supprimer sans problème. Reste à sourcer ce qui est dit sur l'usage informatique. PolBr (discuter) 19 septembre 2019 à 19:29 (CEST)Répondre

illustration modifier

 
Espace de couleur CIE LUV sur lequel sont reportés les axes a* b* et les températures de couleurs

J'ai retiré cette illustration de la section CIELAB et l'informatique. Elle n'avait d'ailleurs aucune raison de se trouver là. Cette image est assez perverse. Elle ne montre ce que dit la légende que quand on l'agrandit. Elle pose les axes sur le diagramme de chromaticité U'V'W' (ou L*u*v*), qui n'a rien à voir avec L*a*b*, dont les axes sont parallèles à ceux du diagramme de chromaticité xy. C'est l'identité des axes qu'il faudrait montrer.

Les couleurs sont aussi criticables : les parties hors du gamut sRGB devraient être en gris (pas représentables), les bandes lumineuses qui sortent du point blanc n'ont aucune réalité, c'est un pur effet du choix de mettre toujours la luminosité au maximum ; une représentation plus rigoureuse utiliserait des valeurs telles que X+Y+Z=1.

PolBr (discuter) 21 septembre 2021 à 19:55 (CEST)Répondre

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