Discussion:Godiva

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Ælfgar dans le sujet On nous cite, on nous honore
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Chocolat

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Le nom "Godiva" de Lady Godiva a été utilisé par un chocolatier Belge de grande réputation. Actuellement la société mère est basée aux Etats-Unis bien qu'une grande partie de la production est encore réalisée en Belgique… Savez-vous pourquoi ce chocolatier belge a (à l'époque) pris la décision d'utiliser ce nom?

D'après le site du chocolatier « Joseph Draps founded a chocolate company that was named in honor of the legend of Lady Godiva. » et « He sought a name that embodied the timeless qualities of passion, style, sensuality and modern boldness. » --FoeNyx (d) 28 décembre 2008 à 13:26 (CET)Répondre

De Lady Godiva à la Châtelaine de Kerhoanoc

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Bonjour,

Voilà de longues années que je m'intéresse au sort de la "Châtelaine de Kerhoanoc", une légende écrite et publiée au début du XXème siècle par Auguste Bergot, un cousin de mes arrière-grands-parents. Cette histoire me semblerait inspirée de celle de Lady Godiva que je viens seulement de découvrir. Me renseignant sur la légende, il m'a été plusieurs fois répondu qu'on la retrouvait dans plusieurs régions de France, notamment dans le nord de la France ce qui pourrait peut-être expliquer le fait que le chocolatier belge ait donné le nom de "Lady Godiva" à sa chocolaterie. En ce qui concerne le récit de mon ancêtre, la jeune comtesse Yvonne de Kerhoanoc, elle aussi prenant le parti de son peuple contre son mari, ne choisit pas de se promener nue par les rues de sa Bretagne natale. Battue par son époux, elle fut condamnée à parcourir nue et à cheval la distance qui sépare Portsall de Ploudalmézeau (Finistère). Là aussi, le peuple a choisi de se claquemurer derrière ses volets. Sauf un jeune homme... un jeune page qui l'aurait guettée depuis le clocher de l'église de Ploudalmézeau. Malheureusement, la comtesse l'aurait surpris et effrayée autant que choquée, elle en serait tombée de cheval. Rapidement démasqué par les villageois, le jeune homme fut immédiatement comdamné à la pendaison. Mais Yvonne, qui avait bon coeur (et qui était sûrement dans les bonnes grâces du gardien de prison, certainement pendu plus tard à la place du page...) libéra le jeune homme et charmée par sa beauté, s'enfuit avec lui. La légende semble remonter à peu près à la même époque que celle de Lady Godiva. Il s'agit aussi d'une femme celte. De deux choses l'une à mon sens : soit l'hitoire est inspirée de Lady Godiva, soit le comte de Kerhoanoc s'est inspiré de cette légende pour punir son épouse. Au fil des années, je n'ai jamais rien pu trouver où que ce soit sur le personnage d'Yvonne de Kerhoanoc. Si quelqu'un d'autre a entendu parler d'elle, merci de me communiquer les informations. Par avance, merci.

Le texte, mes amis, le texte…

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Se fondant peut-être sur une version ad usum delphini de la légende, la première version de l’article disait que c’étaient deux « cavalières » qui avaient accompagné cette charmante dame. L’erreur s’est perpétuée, même après que j’eus introduit le texte original de Roger de Wendover (et je suis le premier à avouer que j’aurais dû relire l’ensemble). L’impitoyable Phso2 (d · c · b) a rétabli la vérité, dût-elle choquer. Notons que, à défaut de cavalières, il cavaliere n’aurait pas dédaigné de faire un brin de conduite à notre Lady. Gustave G. (d) 14 février 2012 à 07:35 (CET)Répondre

Un recyclage absurde

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Pourquoi Ælfgar (d · c · b) a-t-il supprimé le document qui donnait la forme la plus ancienne de la légende sur Lady Godiva, le texte de Roger de Wendover ? Il a jugé au-dessous de lui de s’expliquer en se contentant d’écrire dans le résumé « début de recyclage », ce qui ne veut rien dire car depuis le 9 aout il n’a plus rien fait. Mais enfin il est administrateur et a de ce fait toujours raison ; il faut bien que Wikipédia serve à satisfaire ses caprices. Gustave G. (discuter) 23 octobre 2013 à 01:00 (CEST)Répondre

Soyez heureux, cher Gustave : l'administrateur tyrannique que voici a vu la lumière et annulé son inique recyclage. Qu'importe que Wikipédia ne soit pas censée se construire sur des sources primaires : il était effectivement honteux qu'il n'ait pas fini le travail qu'il s'était clairement engagé à fournir. Dieu merci, l'article est désormais revenu à son état antérieur, dont on admettra sans peine qu'il était bien meilleur. Le despotique administrateur prendra également soin de retirer cet article de sa liste de suivi ; il songera également à revendre l'ouvrage dont il avait fait l'acquisition en vue de son amélioration, car il n'est clairement pas habilité à l'employer. – Swa cwæð Ælfgar (discuter) 23 octobre 2013 à 12:12 (CEST)Répondre
Il est évident que si j’avais disposé d’une traduction en français accessible par Internet je l’aurais donnée et je n’aurais pas pris la peine de traduire moi-même ; seulement je n’en ai pas trouvé et j’ai pensé à tous ceux qui ont fait leurs études après Edgar Faure. On m’a plusieurs fois reproché de parler latin pour évoquer des questions scabreuses (voir par exemple ici) et maintenant on me reproche de traduire. De toute façon il y a dans Wikipédia suffisamment de règles contradictoires pour que ceux qui y détiennent l’autorité puissent condamner ou prescrire selon leur fantaisie du moment. Gustave G. (discuter) 23 octobre 2013 à 17:07 (CEST)Répondre

Une veuve ou une fenêtre ?

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L'article dit : "qu'une veuve, avec des représentations de Leofric et Godiva, a été placée dans l'église de la Trinité, à Coventry, pendant le règne de Richard II." J'ai l'impression qu'on a confondu les mots anglais "widow" (veuve) et "window" (fenêtre)... Marvoir (discuter) 27 octobre 2013 à 06:17 (CET)Répondre

Et Marvoir a parfaitement raison. Seulement, en l’absence de texte anglophone donné en référence, il n’a pas osé faire lui-même la correction ; maintenant que la source est consultable aucune hésitation n’est permise… sauf si un administrateur décidait le contraire. Gustave G. (discuter) 30 décembre 2014 à 13:54 (CET)Répondre

On nous cite, on nous honore

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La revue libérale Contrepoints[1] ne manque pas de citer Lady Godiva comme un exemple dans la lutte contre les impôts.

Rendons-lui cette justice qu’elle cite ses sources, c’est-à-dire notre article. Gustave G. (discuter) 22 mars 2020 à 08:43 (CET)Répondre

C'est bien, faut pas être exigeant. – Swa cwæð Ælfgar (discuter) 22 mars 2020 à 09:18 (CET)Répondre
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