Discussion:Franc-maçonnerie bruxelloise au XVIIIe siècle

Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

J'ai rajouté un petit complément sur le 3ème prince de Gavre. Son importance dans la maçonnerie qui deviendra belge n'est pas neutre. Ce que je voudrais savoir, c'est si le 1er prince de Gavre, également gouverneur de la Province de Namur avant son fils, était franc-maçon. C'est probable, mais je n'ai retrouvé aucune confirmation de cela. Quelqu'un a-t-il une lumière à ce sujet? --CDB1 (d) 13 août 2009 à 08:25 (CEST)Répondre

marquis de la Puente == ou marquis de la Fuente (comme indiqué !)  ????? modifier

Cette famille des marquis de la Puenté était châtelain de Limal. Ils étaient les descendants des Lopez de Ulloa qui y vivaient depuis bien longtemps (voir château de Limal. Leurs armes sont celles de l'ancienne commune de Bierges (mais avec une erreur d'interprétation de l'artiste qui met l'épée du soldat dans sa bouche plutôt que dans sa gorge). Je n'ai jamais entendu parler des marquis de la Fuenté. Source : Charles De Vos, Limal, ses seigneurs et seigneuries, 4 tomes, dont trois publiés par le Wavriensia et le premier par le Crédit Communal. --Agapite (discuter) 19 août 2014 à 09:09 (CEST)Répondre

Il s'agit donc pour moi de Ferdinand-Joseph, marquis de la Puente, seigneur de Limal et chambellan de l'empereur Charles VI et de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche (Source : Nobiliaire des Pays-Bas, 1760, p. 547) --Agapite (discuter) 20 août 2014 à 23:23 (CEST)Répondre
Pour la question précédente, la réponse se trouve peut-être dans le livre du baron de Dorlodot. --Agapite (discuter) 19 août 2014 à 09:13 (CEST)Répondre
Oui, c'est indubitable, vous pouvez compléter dans la liste. mais il y a le problème de date, étant décédé il ne peut figurer sur liste de 1770 ! J'ai rétabli la version antérieure--Viator (discuter) 20 août 2014 à 23:30 (CEST)Répondre
Revenir à la page « Franc-maçonnerie bruxelloise au XVIIIe siècle ».