Discussion:Denys le Petit

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Magnon86 dans le sujet Phrase trop lourde ; à reformuler
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L'IMCCE ne calcule pas le temps à partir du comput grégorien. Celui ci ne sert qu'à calculer la date de Pâques. Quant au temps il est établi pour la France à l'Observatoire de Paris (LNE-SYRTE) avec des horloges atomiques et à l'échelle internationale au BIPM à Sèvres.(voir TUC). Lady9206 29 mai 2007 à 16:40 (CEST)Répondre

Incidence de denys modifier

J'aimerai savoir quelle est l'incidence de l'erreur de 4 années commise par Denys le Petit. Cela veut-il dire que nous sommes théoriquement en 2015 & pas en 2011?

Sinon à propos d'une année zéro qui vous tracasse & vous gêne: elle existe bien, puisque UN = Zéro, NUL, RIEN. C'est l'ancien zéro gallois & aussi des romains = quantité négligeable, nul, que dalle. On retrouve le sens de Zéro, Nul, Rien, du UN (1 = 1 x 0 = 0) dans le mot UNIVERS, de UNIVERSU, attribué par Larousse à Cicéron (Mais faut voir?) = NEUTRE; UNIVERS = VERS-RIEN & non VERS-L'UNI (fausse interprétation due à la langue française disant UNI = Union, réunion, ensemble; devenu TOUT = DIEU = UNIVERS, pour les Calottins, donc RIEN, NEUTRE, qui n'intervient jamais dans rien). Méditez!

UN égal bien zéro dans ses 2 lettres U (Privé, Sans; un I, 9e lettre) & N (Naissance, neuf, 9); 9 - 9 = 0 = Le Non-Manifeste ou manifesté, donc NUL, non existant, RIEN; puis UN (1) prend la valeur UN (+1), lorsque est introduit le chiffre Zéro (0). Voilà un jeu amusant auquel on peut se livrer.

L'histoire du Chamelier avec ses 17 chameaux & ses 3 fils héritiers de la moitié, tiers & neuvième, fait la démonstration du 1 = 0, d'une ancienne façon de calculer, où 1 est une unité ajoutée puis retranchée; donc équivalente à Zéro; un accessoire indispensable pour le bon compte (comme le zéro pour les maths, mais 1 peut le remplacer sans problème). Comme l'on dit: être Un, c'est être Seul, & Seul on ne peut Rien. Il y a beaucoup d'expressions ou le UN est encore égal à Zéro, Rien, Nul.

En vieux français le UN s'écrit UNG & se translate très souvent par NUL. Le UN se retrouve dans AUCUN = NUL, Pas UN, Zéro = Qui est d'UN, du UN ou de quelque UN. Il n'est aucun Un qui n'est de valeur sinon celle du Zéro.

L'année UN n'est donc à aucun moment une gêne ou un manque (Sauf pour les ignorants du système Gallique).

J'ajouterai que le chiffre 0 (zéro) à la valeur théorique d'un -1, moins que UN, moins que RIEN. Il ne débute aucun compte, il ne compte jamais dans une multiplication (tout comme le 1) & le 0 + 0 = La tête à Toto ou Zéro. Personnellement je ne vois pas ce qu'apporte le chiffre zéro qui fait double emploi avec le 1 (Un). Hein!

Année 1 du calendrier modifier

Lettre du bureau des longitudes

“Le bureau des longitudes est un laboratoire de recherche en mécanique céleste ; il est chargé, conformément à la loi du 7 messidor an III (25 juin 1795), d’assurer la rédaction d’un “Annuaire” propre à régler ceux de la Nation. Le calendrier actuel, ou calendrier grégorien, a fait suite au calendrier julien et fut instauré par le pape Grégoire XIII en 1852. Je vous informe que nous avons beaucoup de mal à faire comprendre aux médias, donc au public, que le XXIe siècle commencera le 1er janvier 2001, comme le troisième millénaire. Ce n’est pas le bureau des longitudes qui l’a décidé, mais l’ère chrétienne a été définie en l’année 525 de notre ère et, à cette époque, le moine Denys le Petit, mathématicien et astronome, proposa au pape la numérotation des années à partir de la naissance du Christ1. Pour les années antérieures, le premier siècle avant notre ère a commencé le 1er janvier de l’an 100 avant Jésus-Christ et s’est terminé le 31 décembre de l’an 1 avant Jésus-Christ. Il n’y a pas d’année zéro. On passe ensuite à l’an 1 de notre ère. Un siècle dure 100 ans, de l’an 1 à l’an 100 inclus. On passe au deuxième siècle le 1er janvier 101. On ne compte jamais en disant 0, 1, 2, 3... Pour simplifier, disons que tout le monde reconnaît qu’un siècle dure 100 ans et que notre ère à débuté le 1er janvier de l’an 1 (date du début du 1er siècle). Le deuxième siècle a commencé 100 plus tard, soit le 1er janvier de l’année 101. En ce qui concerne les millénaires, le 1er va de l’an 1 à l’an 100 inclus. Le troisième millénaire commencera donc bien le 1er janvier 2001.”

Signé : Michel Heurtier

Ajout (avec quelques modifications ultérieures faites, par GMCR, le 11/09/2012 pour une meilleure compréhension de cet intéressant texte).

Denys Le Petit pourrait avoir pris, pour année de base, l’année à épacte nulle (*) la plus proche de la date astronomiquement probable pour la naissance du Christ compte tenu de l’Evangile selon Saint Matthieu (2) affirmant que « Jésus est né à Bethlehem, en Judée, AUX JOURS DU ROI HERODE » (date qui devient ainsi dans ce calendrier année ~ 7 av. J.-C.!). Vu les travaux de Méton, le cycle de l'épacte est de 19 ans. L'origine de ce calendrier correspondrait à l'année de ce cycle dont la pleine Lune serait située entre les 25 et 31 décembre (année 753 de Rome).

Épacte n. f. Didac. Âge de la Lune à la veille du premier janvier, variant entre 0 (si la lune est nouvelle) et 29. L’épacte sert à déterminer la date des fêtes mobiles dans le comput ecclésiastique. (© Hachette Livre) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Jplnet (discuter), le 2 mars 2008 à 19:32‎

Le 23 mai 2012, dans le texte de « l’Anno Domini », j’avais proposé certains ajouts relatifs aux conséquences astronomiques et numérologiques, découlant du choix de la date faite par le moine Scythe Denys Le Petit, pour l’origine de l’Ere Chrétienne. Je découvre, avec intérêt, la note de Michel Heurtier (du Bureau des Longitudes). J’en profite donc pour renouveler mes remarques.
1) De même que pour l’épacte, relative à l’âge de la Lune au 31 décembre, les définitions didactiques stipulent que « la première année d’une ère est l’an 1 ». La question n’est donc pas de savoir si Denys Le Petit connaissait « le zéro » : il a appliqué une règle. En particulier, en astronomie, quand on rajoute une année zéro, elle est relative à l’année qui précède l’origine de cette ère. Dans notre cas, ce serait l’année 753 de Rome.
2) Reliée à ces chiffres, cette date, formée par les trois nombres premiers impairs, est hautement symbolique si l’on s’en réfère à chacun d’eux …
3) Comme cela est confirmé dans de nombreux textes, Denys Le Petit était probablement d’origine iranienne. Tout comme chez les lointains Mayas du Mexique, dans ces régions montagneuses au ciel clair, il est plus que probable que le point brillant et furtif, que nous appelons Uranus, fut repéré dès la plus haute Antiquité.
Exactement, tous les 84 ans, Uranus passe par un maximum de brillance et une magnitude voisine de 5,4. Elle est donc souvent à la limite des objets visibles à l’œil nu. Au printemps de l’an 753 de Rome, elle se situait dans la partie Est des Poissons (symbole chrétien), exactement au Point Vernal (lieu où, au printemps, le Soleil passe de l’hémisphère sud à l’hémisphère nord). Or, depuis la plus haute antiquité :
- le 4 se rattache au carré ou à la croix ; en particulier, c’est donc le nombre de la plénitude ;
- le 8 est le nombre de l’équilibre cosmique.
- Quant à leur somme (le 12), c’est tout particulièrement le nombre des divisions spatio-temporelles (Jésus avait douze apôtres).
4) Si l’on donne suite aux Evangiles de Matthieu (XXVII - 45) ou de Marc (XV – 33), rapportant que « de la sixième à la neuvième heure, (probablement romaines vu les dates de ces écrits), les ténèbres s’étendirent sur toute la Terre » ; seule une éclipse de Lune est admissible car, lors de la Pâque juive, nous sommes proches de la pleine Lune. Or pour la date du 3 avril 33, la seule compatible avec ce phénomène astronomique, (qui plus est, total des chiffres de 13 avec une origine située en l’an 753 de Rome), il y eut une très particulière éclipse de Lune difficilement prévisible en ces lieux vu les connaissances de cette époque, (la précédente, 18 ans plus tôt, n’ayant été visible qu’en Asie). La Lune se leva éclipsée … probablement grosse et rouge comme cela est très souvent en ce cas.
5) Par ailleurs, une fois la nuit tombée, on peut ajouter que, comme toujours en cette saison, (et jusque vers les années 1400 - 1500), la Croix du Sud, autre (ou nouveau) symbole chrétien, alors très visible de cette région suite au résultat de la Précession, resplendissait presque toute la nuit très au sud de Spica (la plus belle étoile de la Vierge).
6) L’ère chrétienne pouvant être liée à la constellation des Poissons, ayant commencé dans la clandestinité (faible visibilité d’Uranus) et devant se développer durant plusieurs millénaires jusqu’à son apothéose, le « Soleil de l’an 2000 » aurait très bien pu s’imposer à l’attention du moine Denys le Petit ... Or, avec nos valeurs actuelles, le 21 juin 1999, le Soleil se situa exactement au mythique point d’intersection de l’Ecliptique (trajectoire du Soleil dans le ciel) et de la Voie Lactée (cette intersection se situant, éternellement, à la base des Gémeaux) !
7) Il n’y a pas toujours une étoile polaire. Notre Polaire (alpha Petite Ourse) est l’une des plus belles et, suite à la précession des équinoxes, en nos années 2000, elle est quasiment au plus près de ce pôle ...
Nous pouvons donc conclure, qu’en choisissant (plutôt pour l’origine du calendrier chrétien que pour la naissance du Christ) une date dépendant de l’épacte, le moine Denis Le Petit fit, plus ou moins consciemment, un excellent choix.
GMCR le 30 août 2012
Autres références externes :
- Dictionnaire des Symboles de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant Editions Robert Laffont / Jupiter.
- N’importe quel logiciel d’astronomie tenant compte de la précession des équinoxes, en particulier Redshift ou Stellarium (attention : avec ce logiciel on a une année zéro afin de maintenir les années bissextiles en ~4 ; ~8 ; ~12 ; etc).
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 2.0.175.239 (discuter), le 30 août 2012 à 11:24‎

Les deux messages du 30 août à 11h13 et 11h24 sont identiques : ils émanent de la même personne ; ils ne diffèrent que par la présence d'une signature. J’ai choisi de signer GMCR car, il y a environ 2 ans, il me fut reproché de signer d’une façon trop lisible. Je n’ai pas l’habitude de raconter « des bobards ». Aussi, ayant mon Email, vous connaissez mon nom ; si vous souhaitez faire une rectification à ce sujet : libre à vous. Un astronome amateur depuis longtemps membre actif de la SAF et des clubs d’astronomie de sa ville.


J’aimerais que « Octave. H » , qui efface très vite ce qui est rajouté dans les articles, se documente un peu plus avant d’agir ainsi.

1) Dans son ouvrage « La Saga des Calendriers », page 65, Jean Lefort écrivit : « C’est le moine scythe Denys Le Petit qui proposa, en 532, l’adoption de l’Ere Chrétienne ». Plus loin il écrivit : « On se demande quel genre de recherche fit ce moine. Il était probablement plus soucieux de récupérer, au profit de la chrétienté, les fêtes païennes du solstice d’hiver et de l’équinoxe de printemps … que de chercher à tout prix la date de la naissance de Jésus ». (Et il est loin d’être le seul à dire cela) ! Denys Le Petit voulut sûrement faire coïncider l’an 1 de son calendrier avec une année dont l’épacte (âge de la Lune au premier janvier ou au 31 décembre précédent) correspondait à une pleine Lune située entre le 25 et le 31 décembre. L’épacte, comme l’âge de la Lune, peut varier de 1 à 29 mais, depuis les travaux de Méton puis les directives de Jules César, on a tendance à prendre en compte une série de 19 chiffres reliés au Nombre d’Or. D’après « L’Astronomie de l’Encyclopédie de la Pléiade », on obtient la suite des valeurs ci-dessous et si, avec l’aide des logiciels d’astronomie, on étudie l’âge de la Lune aux environs de l’an 1, on s’aperçoit que cette année 1 correspond au nombre 10. (Attention : le tableau n'ayant pas pu être reproduit correctement, les 19 valeurs de chaque ligne ne sont pas aux emplacements verticaux souhaités).

Nombres d’Or 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

Epacte admise 8 19 * 11 22 3 14 25 6 17 28 9 20 1 12 23 4 15 26

Années D L P ~9 ~8 ~7 ~6 ~5 ~4 ~3 ~2 ~1 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Dans toutes les civilisations, le * correspond à la Nouvelle Lune et souvent au nombre 3 (de plus : dans la religion chrétienne, Dieu est une trinité). On pourrait donc opiner que, sur ces bases lunaires, l’année probable de l’apparition de Jésus, voulue par Denis Le Petit, serait l’année ~7 !

2) Il convient de s’en référer (rapidement) aux concepts religieux de cette époque : - la Lune, changeant de forme et dépendant du Soleil, est le symbole de la féminité, des rythmes biologiques, de la naissance et de la mort ; le cycle de la femme est sensé suivre celui de la Lune ; de plus on lui associe parfois le symbole du rêve et de l’inconscient. - chez les Egyptiens et les Grecs en particulier, la Vierge tenant à la fois de l’eau et du feu symbolise la conscience émergeant de la confusion : elle témoigne donc de la naissance de l’Esprit et annonce l’avènement des temps nouveaux. - Mars a toujours symbolisé l’énergie, la volonté l’ardeur et l’agressivité ; c’est le protecteur des moissons, le dieu de la guerre et des opprimés, le témoin du printemps et des temps nouveaux ; Romulus et Remus étaient ses fils. - chez les Juifs Jupiter était l’astre royal et Saturne symbolisait le protecteur d’Israël. - chez les Grecs et les Romains Saturne est le père de Jupiter et Jupiter est le président du conseil des dieux ; sûr de son bon droit il ordonne, tonne et ne discute jamais ; de plus, chez les Romains, Saturne symbolise le bon héros civilisateur : c’est lui qui enseigne. Lors des fêtes qui lui étaient consacrées (Saturnales) les rapports sociaux étaient inversés. - chez les Babyloniens Saturne est l’astre de la Justice et du droit.

Une autre étude de ces années ~7 à ~6 montre qu’un nombre exceptionnel de phénomènes astronomiques se succédèrent. Voici les principaux : - Plus tôt, courant septembre ~12 une belle et rapide comète (Halley) avait parcouru le ciel de la constellation du Cancer à la constellation d’Ophiuchus (le porteur de serpents)où elle s’était perdue dans le crépuscule. Deux ans plus tard une autre belle comète s’était manifestée. - Après avoir rencontré Vénus, Mars précédé de Vénus, gagna rapidement le Lion, passa près de Regulus puis, fondit vers le cœur de la Vierge qu’il atteignit, en compagnie de la Lune à son 21 me jour, le 23 décembre ~8 vers minuit. Mars resta dans cette constellation (ou juste à côté) jusqu’en juillet ~7. - Surtout en Egypte (cela a son importance vu la vie du Christ) : lundi 16 février ~7 vers minuit : dans la constellation de la Vierge, la Lune à son plein passa parfaitement devant le dieu Mars. - De la mi-février à la fin décembre ~7, par trois fois et dans la constellation des Poissons, lieu où se situait et se situe encore le Point Vernal, Jupiter et Saturne se sont fortement rapprochés. - Mi-avril ~6 (début du printemps) : toutes les planètes, de Mercure à Uranus, sont regroupées autour de la Lune, du Soleil et du point vernal, sur un arc allant de la constellation du Capricorne à celle du Taureau. Pareil regroupement en ce lieu est vraiment très rare !

De nouveau et respectueusement : GMCR

Vous avez l'air très calé, mais il conviendrait

Quant à « Octave. H », c'est un excellent contributeur, qui agit conformément aux règles de Wikipedia. Discutez directement avec lui, sur sa page de discussion, si besoin est.

MLL (d) 11 septembre 2012 à 18:31 (CEST)Répondre

Ces hypothèses ne sont pas validées par les historiens d'à présent (et sans m'y substituer, on peut repérer dans le raisonnement des erreurs historiques fondamentales). Je passe sur l'explication un peu pittoresque religieux qu mélangent un peu tout avec n'importe quoi. Je passe sur les interprétation chiffrée qui là encore mélangent beaucoup de choses et frisent la gématrie. Rappellons que wikipédia n'est pas un lieu de spéculations ni de WP:Travaux inédits qu'il faut réserver à des blogs de passionnés ou qui doivent avant tout convaincre les chercheurs en histoire qualifiés. Mogador 11 septembre 2012 à 20:54 (CEST)Répondre
Allons Mogador ! Ne dites pas de mal de la gématrie !   MLL (d) 11 septembre 2012 à 22:51 (CEST)Répondre
Où en ai-je dt du mal   ? Ce n'est juste pas un outil pour fonder une encyclopédie... mais il n'y a pas que les encyclopédies dans la vie  . Mogador 11 septembre 2012 à 23:12 (CEST)Répondre


Je remercie MLL pour ses encouragements et je le fais d’autant plus volontiers que cette personne, assez connue et très érudite, pourrait être en rapport avec Bernard-Henry Lévy, écrivain encore plus connu, ayant souvent collaboré avec les médias. J’aurais aimé participer davantage aux articles de Wikipédia … mais, dans l’immédiat et sur ce sujet, j’y renonce ! En d’autres occasions, j’avais déjà eu affaire aux appréciations de Mogador. Depuis, sur ces paragraphes liés à l’Ere Chrétienne, Peter 17 puis Octave H se sont rapidement manifestés et, comme lui, supprimèrent très vite ce qui n’est pas « une connaissance sûre largement appuyée sur de nombreuses références, dites historiques, ou des articles ayant donné lieu à des publications dans des revues à comité de lecture ». Je ne suis ni un historien ni un théologien : j’ai seulement quelques connaissances scientifiques et regrette que, tout particulièrement en astronomie, Wikipédia qui se veut une « encyclopédie », s’attache aussi peu à développer ces connaissances en rapide évolution. On conteste quelque unes de mes données en insistant sur certaines dates et thèmes proposés ; je n’y peux rien : 1) Pour les dates, que les mécontents reprennent les équations de la mécanique céleste et en réfèrent d’abord à Kepler pour ce qui touche aux mouvements planétaires ! 2) Pour ce qui a trait au polythéisme, et à la religion romaine, je renverrai d’abord le lecteur à « mythologica.fr/rome/religion/religion.htm » . Cet article me semble intéressant et, de plus, cite d’assez nombreuses références. 3) Jésus Christ (ou Jésus de Nazareth, je fais mal la différence) n’est pas seulement le « fils de Dieu » chargé d’une fantastique mission ; c’est d’abord un grand prophète ayant vécu en un temps et en des lieux (y compris l’Egypte) où la religion monothéiste et les croyances polythéistes s’affrontaient : il est donc l’héritier de plusieurs cultures et, à ce titre, n’en déplaise à Mogador, on se doit de prendre en compte les différents aspects de cette situation. Avant de faire appel « aux historiens », qu’on lise, sans les interpréter, les textes bibliques. En particulier, il y est dit : -a) le procurateur romain Ponce-Pilate (seul habilité à effectuer les exécutions) « se lava les mains en livrant le Christ aux sacrificateurs » (Saint Matthieu chapitre XXVII ; verset 24) et dit : « je suis innocent du sang de ce juste ; c’est à vous d’y penser » ; -b) « à la différence des deux autres crucifiés, les soldats romains se contentèrent de percer le flanc du Christ sans lui briser les jambes … cet acte étant conforme aux Ecritures stipulant qu’aucun de ses os ne devait être rompu » (Saint Jean chapitre XIX , versets 31 à 36) ; -c) d’après les quatre Evangiles, suite à l’intervention secrète du sénateur Joseph d’Arimathie, et à la différence du sort habituel des condamnés à mort, le Christ bénéficia de l’utilisation « d’un tombeau individuel fermé par une lourde pierre » ; or, d’après Saint Matthieu, « la garde de ce tombeau ne fut effective qu’à partir du lendemain de l’exécution » (chapitre XXVII , versets 62 à 66). Les Romains connaissaient donc une partie des actes du Christ, étaient plus tolérants que les Juifs à son égard, et, malgré l’hostilité des dignitaires juifs, n’hésitaient pas lui montrer au moins du respect. 4) Dans Wikipédia on ne veut pas rendre compte de « travaux personnels » soit, mais qu’on accepte de considérer, un peu plus rapidement, les continuelles modifications découlant des nouvelles découvertes. Sir Austen Henry Layard s’est souvent plaint du dogmatisme de ses contemporains ; et, dans beaucoup de domaines, des méthodes nouvelles (carbone 14 ; ADN etc …) ont totalement remis en cause des résultats « officiels depuis longtemps établis ». Toujours respectueusement : GMCR

Il n'y a ici aucune découverte : juste une régression documentaire par rapport à l'état de la question traitée par la recherche actuelle : il vaut mieux se renseigner sur cet état plutôt que de s'inspirer de sites aussi... disons, charitablement, pittoresques. Pour les croyances romaines, on préfèrera les ouvrages de John Scheid ou ses cours au Collège de France, qui sont accessibles en lignes. Mogador 16 septembre 2012 à 20:58 (CEST)Répondre
Une précision: mise à part une homonymie, assez commune, je n'ai aucun rapport avec Bernard-Henri Lévy. Je vous signale aussi, ainsi qu'à Mogador, ce texte. Bonne année ! MLL (d) 17 septembre 2012 à 10:35 (CEST)Répondre


Je continue à féliciter Mogador pour la rapidité de ses interventions et lui répondrai simplement par une partie de phrase trouvée dans les nombreux paragraphes de la discussion sur son site : « Ce qui est fort avec Mogador c'est qu'il est toujours prompt à accuser les autres de ce que lui-même est le premier à faire : il reproche à d'autres des attaques personnelles mais c'est lui qui stigmatise … ». On ne m’avait pas encore dit que, vu ma documentation, ma prose était « pittoresque » mais, à la réflexion, suite à la définition de ce mot (Qui est digne d’être peint, attire l’attention, charme ou amuse par un aspect original.), cela me plait beaucoup ! Dans le fastidieux domaine qui est souvent impliqué par mes remarques, cela apporte une note agréable pouvant motiver le lecteur. Merci pour les références relatives à la culture romaine : j’espère avoir le temps de les étudier … Mais, en ce qui concerne, ici, ma démarche principale (la justification des options de Denis le Petit), quelles sont ses références et pourquoi se limite –t-il à la classique affirmation « d’une erreur d’au moins quatre année » ? A plus peut-être et, cette fois, sur son site personnel. GMCR

Calendrier grégorien : quel rapport ? modifier

"Le calendrier grégorien commença à remplacer le calendrier julien en 1582." Fort bien, mais quel rapport ?... Ce remplacement a consisté à supprimer 10 jours et rectifier très légèrement le calcul des années bissextiles pour la suite. Aucun rapport ! On peut juste le mentionner, plus brièvement, mais certains font des théories incroyables sur ce changement, s'imaginant que ce n'est qu'à partir de 1582 qu'on a utilisé les millésimes que nous connaissons ! --Plijno (d) 23 mai 2013 à 10:53 (CEST)Répondre

Article confus et erroné modifier

J'avais commencé à rectifié cet article qui ne rend absolument pas compte de l'œuvre de Denys le Petit, se perd en considérations hors-sujet (le calendrier grégorien!) et est grossièrement mal rédigé. Mais un garde-chiourme à l'esprit totalement obtus, sans rien lire, a tout annulé vingt secondes après enregistrement. Ainsi va malheureusement Wikipédia, paralysé par des gens à la simple mentalité de flics, sans intérêt pour le contenu.82.123.157.56 (discuter) 17 août 2014 à 16:49 (CEST)Répondre

Bonsoir 82.123.157.56. Merci pour votre apport intéressant à cet article. Il ne faut pas s’énerver pour cette malencontreuse révocation qui n'avait effectivement pas raison d’être. On peut probablement mettre ça sur le dos de votre publication sous IP (s’enregistrer à Wikipédia et contribuer sous un nom ou pseudonyme peut éviter ce genre de problème). Il y a beaucoup de vandalisme sous IP donc la méfiance est de mise. Cdlt. – A2 (discuter) 17 août 2014 à 20:10 (CEST)Répondre

Phrase trop lourde ; à reformuler modifier

"La règle avait été fixée pour toute l'Église, selon la tradition (douteuse) rapportée par Denys, par le concile de Nicée"

je suggère "selon la tradition (douteuse) rapportée par Denys, La règle avait été fixée pour toute l'Église par le concile de Nicée"

De plus qu'est-ce qui est douteuse ? Denys a mal rapporté la tradition ? Ce n'est pas le concile de Nicée qui a fixé cette règle ? Il faut préciser ce qui est douteux - la phrase semble précise, mais elle est ambiguë.Magnon86 (discuter) 23 septembre 2020 à 11:24 (CEST)magnon86Répondre

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