Discussion:Bilinguisme

Dernier commentaire : il y a 8 ans par Pierrette13 dans le sujet Parties identiques sur Psycholinguistique
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Contributions supprimées modifier

Voici la liste des contributions supprimées lors de la purge d'historique du 7 juin 2008.

   * (diff) 7 juin 2008 à 22:07 . . Zouavman Le Zouave (Discuter | Contributions | Bloquer) (a renommé Bilinguisme en Bilinguisme/copyvio: Pour purge d'historique.)
   * (diff) 7 juin 2008 à 19:52 . . Dodoïste (Discuter | Contributions | Bloquer) (18 043 octet) (contenu copié à partir de [1])
   * (diff) 6 juin 2008 à 19:57 . . 99.233.14.12 (Discuter | Bloquer) (24 692 octet) (Acquisition d'une langue)
   * (diff) 31 mai 2008 à 12:06 . . Evpok (Discuter | Contributions | Bloquer) (24 700 octet) (LiveRC : Révocation des modifications de 193.194.94.6; retour à la version de Spadassin)
   * (diff) 31 mai 2008 à 12:06 . . 193.194.94.6 (Discuter | Bloquer) (24 775 octet) (Âge critique et adolescence)
   * (diff) 19 mai 2008 à 12:51 . . Spadassin (Discuter | Contributions | Bloquer) (24 700 octet) (Bilinguisme dans l'individu handicapé)
   * (diff) 19 mai 2008 à 11:37 . . Spadassin (Discuter | Contributions | Bloquer) (24 669 octet) (Voir aussi)
   * (diff) 19 mai 2008 à 09:11 . . Loveless (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 665 octet) (robot Modifie: de:Bilingualismus; changements cosmétiques)
   * (diff) 16 mai 2008 à 03:26 . . Moez (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 672 octet) (Opposition au bilinguisme)
   * (diff) 14 mai 2008 à 12:58 . . TXiKiBoT (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 739 octet) (robot Ajoute: cy:Dwyieithrwydd)
   * (diff) 14 mai 2008 à 03:03 . . Spadassin (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 718 octet) (Opposition au bilinguisme)
   * (diff) 11 mai 2008 à 12:39 . . Overkilled (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 651 octet) (Histoire du bilinguisme : réorganisation - décentrage)
   * (diff) 7 mai 2008 à 23:05 . . Spadassin (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 633 octet)
   * (diff) 7 mai 2008 à 22:10 . . Spadassin (Discuter | Contributions | Bloquer) (21 604 octet) (style)
   * (diff) 29 avril 2008 à 00:54 . . 64.18.183.237 (Discuter | Bloquer) (21 581 octet) (Histoire du bilinguisme)

Proposition de fusion/scission/réaménagement de Diglossie et bilinguisme modifier

Voir ma proposition Wikipédia:Pages_à_fusionner#Diglossie_et_bilinguisme_et_Diglossie_et_Bilinguisme. J'envisge de rappatrier une partie du contenu sur le présent article. Vos avis sont les bienvenus. Xic[667 ] 11 novembre 2011 à 14:52 (CET)Répondre

L'intégration de certains contenus m'a paru délicate (problème de sourçage, et surtout de style et difficulté à l'intégrer à la structure actuelle de l’article), je fais donc ici une copie des paragraphes en question, si un contributeur se sent capable d'en faire quelque chose de pertinent ici, qu'il n'hésite pas (il faudra alors apposer le modèle {{Crédit d'auteurs|interne|Diglossie et bilinguisme}} renvoyant vers l'historique Diglossie et bilinguisme, qui va être transformé en redirection) :

« ===Deux cas de figure liés au bilinguisme===

La création bilingue

Un cas particulier est celui des écrivains déracinés. Ceux qui volontairement ou non se retrouvent dans un autre pays et face à une langue différente voire, ceux qui restent dans leur propre pays mais qui sont confrontés à écrire dans une langue qui n’est pas leur langue maternelle (ancienne colonie).

Certains font état d’une sorte d’inauthenticité liée à la non spontanéité de la création artistique littéraire. Sentiment pénible dont Todorov, auteur bulgare réfugié en France qui parle dual, voir d'un double avec deux moitiés d’être[1]. Parfois cette schizophrénie culturelle peut être vécue aussi comme un défi. La découverte de tout un univers culturel où le code d’accès est la langue. On peut parler d’une revalidation après un accident lors du réapprentissage de la marche pas à pas quand on savait déjà si bien marcher sans y penser. Cioran exprime son mal être via son besoin de langue sauvage, son roumain comme une langue d’ivrogne alors que le français devenait une camisole de force[2].

Le sentiment de ne pas être chez soi dans cette langue autre. Le polonais Jelenski parle lui du français qui le rend poli, anonyme et fragmentaire[3]. Il se sent comme une jeune fille en pension qui fait des manières. De plus, il a l’impression de vases communicants comme si progresser dans une langue faisait régresser dans l’autre.

Milan Kundera, lui, semble être tombé amoureux de Paris et de la langue française. En réalité au fur et à mesure de sa maîtrise de la deuxième langue il a peu à peu abandonné le tchèque. Pour le russe Makine chacune de ces deux langues forment un tout qui n’est pas compatible l'une avec l'autre. En effet lorsqu’il parle d’un Tsar en russe il voit un tyran tandis qu’en français il perçoit un univers plus poétique[4].

L'éducation bilingue

Dans le cadre de l'éducation bilingue nous sommes bien dans la psycholinguistique à présent avec un cas particulier d’un jeune américain d’origine mexicaine. Ricardo Rodriguez a écrit un livre autobiographique /Hunger of Memory/[5] en 1981 qui retrace son parcours à Sacramento en Californie au sein de sa famille hispanophone. Il traite de sa lente entrée dans l’univers anglophone. Effectivement il a bénéficié d’un programme appelé « éducation bilingue » qui est une protection du jeune étranger qui va d’abord être scolarisé dans sa langue maternelle, en l’occurrence ici l’espagnol, pour petit à petit s'immerger dans l’anglais. Cela se rapproche de ce que l’on appelle aux USA l’action affirmative[6] pour protéger les nouveaux arrivants dans le sens où par exemple il y a des quotas à l’embauche pour les gens issus de l’immigration. En dehors de la polémique que ce livre à provoqué avec plutôt une volonté d’immersion directe qui donne plus la chance au jeune de s’intégrer dans son nouveau pays. Nous parlerons ici de cette lente progression dans une autre langue et son univers culturel qui va voir Ricardo Rodriguez se transformer tout doucement en Richard Rodriguez. Ce dernier va faire l'expérience de l’ascenseur social via l’université et se retrouve plus tard dans la classe sociale des blancs américains qui ont réussi. Et tel un serpent perdant sa peau il devient gêné de son père qui ne sait pas demander correctement de l’essence à la pompe. Quand il fréquente les cocktails mondains à New-York et qu’une jeune immigré mexicaine, qui est resté au rez-de-chaussée sociétale, lui adresse la parole en chicano pour lui proposer une tarte salée, elle se fera, comme il le stipule, "couper court comme une roue de la fortune"[7]. Il est loin le moment où il se sent inclus dans un cercle familial chaleureux. Ricardo Rodriguez nous explique sa douche froide lors de son approche de l’anglais et sa montée peu à peu vers la promotion que la société américaine permet. Pour cet auteur il faut une distance claire entre la langue privée, en l’occurrence ici l’espagnol, et la langue publique, l’anglais afin de former son identité d’adulte.

Notes et références

  1. Isabelle Felici, Bilinguisme, enrichissements et conflits, Paris, (edition) Honoré Champion, p. 164.
  2. Ibidem, p. 167.
  3. Ibidem, p. 168.
  4. Ibidem, p. 169.
  5. Ibidem, p. 175.
  6. programme qui permettait aux Etats-Unis l'insertion dans le milieu du travail de personne issus de l'immigration
  7. Ibidem, p. 178.

 »

Xic[667 ] 3 décembre 2011 à 10:02 (CET)Répondre

Le mythe du bilinguisme (dans l'enseignement) modifier

Bonjour,

Je vous propose la lecture d'une analyse sur le mythe du bilinguisme qui pourrait vous inspire pour votre article: http://www.ufapec.be/nos-analyses/1111-bilinguisme/

Bien à vous, --109.128.246.230 (d) 20 mars 2013 à 23:07 (CET) François JeanjeanRépondre

Traduction de l'article depuis l'anglais ? modifier

J'ai l'impression que l'article a été traduit depuis l'anglais. C'est mal... Entre autres, vous donnez une définition du terme Bilinguisme apparemment traduite depuis l'article anglais, et sourcée sur des références anglophones, qui traitent de mot Bilinguisme en anglais. Qu'est-ce qui vous dit que la notion recouverte par le mot Bilinguisme est la même en français et en anglais ? Pour définir un mot français, la moindre des choses serait de se baser sur des sources qui définissent ce mot français, pas un équivalent anglais ! Les traductions sont la plaie de Wikipédia ! :-( 78.250.56.205 (discuter) 2 mai 2014 à 23:01 (CEST)Répondre

Bandeau 'partie à recycler' sur partie Bilinguisme et développement de l'enfant modifier

Bonjour, j'ai ajouté un bandeau "à recycler" sur la partie qui concerne l'enfant. Beaucoup de "on sait que..." vagues et sans références, suivi d'une description d'expérience dans les détails. Style non encyclopédique. Cathrotterdam (discuter) 18 avril 2016 à 10:02 (CEST)Répondre

Parties identiques sur Psycholinguistique modifier

Bonjour Pierrette13 (d · c · b) et Orphée (d · c · b), je suis entrain de regarder les articles connexes pour mon article sur la psychologie de l'enfant. Je suis dans la partie sur l'acquisition du langage. Je viens de remarquer que la partie "Avantages et désavantages du bilinguisme" du présent article et de psycholinguistique sont mots pour mots identiques. je n'ai pas retrouvé dans les historiques qui a copié la partie ou à quel moment. Que faut-il faire dans ce cas là? Merci d'avance. Cathrotterdam (discuter) 18 avril 2016 à 10:17 (CEST)Répondre

Bonjour Cathrotterdam  , bonne question... Il vous faut attendre le passage d'Orphée... Je n'ai pas de réponse. Bonne soirée à vous, --Pierrette13 (discuter) 18 avril 2016 à 20:14 (CEST)Répondre
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