Discussion:Administrateur des Affaires maritimes

Dernier commentaire : il y a 14 ans par TCY dans le sujet Pistes d'amélioration de l'article
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Sécurité maritime modifier

Les administrateurs ne gèrent pas la sécurité maritime en France. Les inspecteurs des affaires maritimes sont le "fer de lance" de l'action de l'état dans ce domaine. Ils est donc éroné d'indiquer dans la page que les administrateurs sont "épaulés" par les Inspecteurs, ceux ci exerçant leurs fonctions de façon indépendantes. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.23.175.182 (discuter)

Bandeau {{Desaccord de neutralité}} poser et ouverture du débat sur la page Discussion:Administrateur des Affaires Maritimes/Neutralité. TCY (d) 22 janvier 2010 à 18:13 (CET)Répondre
La remarque ci-dessus ne semble pas en rapport avec l'article. Et si on doit aller jusqu'au bout, la sécurité maritime repose tout autant sur les sociétés de classification comme le Bureau Veritas que sur des administrations aux moyens limités par les ressources budgétaires que la nation leur accorde. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16

Quelques règles à respecter modifier

Quelques commentaires et rappels avant que l'article ne vire à la guerre d'édition :

  • Un article de Wikipédia répond à certaines règles, neutralité, vérifiabilité, convivialité, universalité, ce que cet article ne respect(ait) pas toujours :
  • Je l'ai en partie wikifié et ce afin de rendre les articles plus clairs et de donner une harmonie d'ensemble à l'encyclopédie (comme les règles de typographie ou les majuscules/minuscules sur les noms, etc.). Merci d'en prendre connaissance.
  • L'article emploie un jargon trop administratif (inspections générales, administrations centrales, directions inter-régionales de la mer, directions départementales des territoires et délégations de la mer et du littoral... ) qui est peu compréhensible par le lecteur lambda même pour quelqu'un s'intéressant à la question maritime.
S'agissant d'un article concernant une administration, on pourrait, au contraire le trouver pas assez administratif. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
  • L'article était trop franco-centré : Wikipédia n'est pas une encyclopédie française mais en français. Elle est lue par des francophones à travers le monde. Ils doivent donc pouvoir, dès l'entête, comprendre qu'il s'agit d'une fonction d'une administration française.
C'est d'autant plus nécessaire que maintenant en Europe (la Commission européenne a une direction générale qui porte ce titre), et ailleurs aussi, beaucoup de choses se réfèrent a cette expression "affaires maritimes" — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
C'est le cas hélas de beaucoup d'articles, mais en même temps se référer à d'interminables textes administratifs du journal officiel serait peu pertinent. :On pourrait renvoyer au moins aux sites officiels de l'Administration elle même. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
A défaut oui mais ceux-ci sont souvent très administratif, peu compréhensif, quelque fois faux et ne reflète souvent pas la réalité d'un métier TCY (d) 1 février 2010 à 06:16 (CET)Répondre
  • Un article de Wikipédia s'écrit pas un travail collaboratif. (?) Il n'a pas pour objet de dénigrer ou glorifier une profession. Il doit respecter des règles de neutralité.

TCY (d) 22 janvier 2010 à 17:43 (CET) On ne peut que partager ce point de vue qui s'applique évidemment à tous.Répondre

Pistes d'amélioration de l'article modifier

  • Les officiers de ce corps à statut militaire (au regard de la grande interactivité civile et militaire en matière maritime). Hummm... Le statut militaire tient plus à des raisons historiques (rôle de conscription de l'Inscription maritime) qu'à de réelles taches militaires non ? Certes l'administrateur des affaires maritimes est le représentant de la marine nationale dans des lieux où celle-ci n'est pas physiquement représentée. S'il y a bien une interactivité maritime civile et militaire en France, sous l'autorité d'un militaire, le préfet maritime, ce dernier agit comme une autorité civile. Et cette tache confiée à la marine nationale à la fin des années 1970 s'expliquait plus par une question de moyens dont elle disposait (Action de l'Etat à la mer). Le travail d'un administrateur est très largement un "travail civil". L'origine, les raisons de ce statut militaire, propre à la France, ainsi que les risques sur sa pérennité devraient donc être mieux expliqués dans l'article.

Le hummm est complètement décalé.

Ce qui précède est assez largement hors propos. La Marine nationale ne se réduit pas qu'à une armée de mer, et c'est même pour cela qu'elle s'appelle ainsi et non comme les forces armées terrestres ou aériennes. La Gendarmerie nationale est dans la même problématique puisqu'elle dépend maintenant d'un autre ministère que du Ministère de la Défense nationale celui de l'Intérieur. En fait l'action de l'Etat est assez multiforme, car de nombreuses structures civiles s'y occupent de défense et nombre de militaires exercent des fonctions "civiles". Outre les gendarmes et marins précités, on peut mentionner parmi les militaires exerçant des fonction également assurées par des civils les pompiers de Paris et de Marseille, les membres des Unités de sécurité civile de Nogent le Rotrou, de Brignoles ou de Corte. En fait tous les Etat, font plus ou moins assurer leurs actions régaliennes par des agents n'appartenant pas au même statut pour diverses raisons de commodité de gestion et il n'y a pas de conséquences à tirer de cette distinction entre civil et militaire. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Dans les faits, il s'agit donc d'une armée d'opérette puisque les missions sont effectivement civiles. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.23.175.180 (discuter), le 25 janvier 2010 à 10:00
On ne sait pas trop ce que l'opérette vient faire dans le débat. La seule chose qui compte pour l'usager de la mer, c'est les missions soient assurées au mieux par des services publics et des agents complémentaires entre eux et capables de travailler ensemble en parfaite concertation. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
La phrase "au regard de la grande interactivité civile et militaire en matière maritime" résonne un peu comme un plaidoyer pro domo pour conserver un statut militaire pouvant être remis en question. TCY (d) 27 janvier 2010 à 06:54 (CET)Répondre
Cette appréciation est également sans rapport avec le débat. Dès lors que l'Etat exerce ses missions régaliennes au travers de structures différentes, il suffit d'en prendre acte. Il y a actuellement des statuts légaux en place et ce n'est pas à ceux qui les subissent d'en vouloir la permanence ou la disparition. C'est au Parlement en dernier ressort de s'exprimer sur ce sujet et aux agents de l'Etat de décider de rester ou de s'en aller. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16

  • Une grande diversité d'affectations au sein des administrations centrales et territoriales de l'État ayant une compétence en matière maritime (Secrétariat général de la Mer, inspections générales, administrations centrales, préfectures de région, préfectures maritimes, directions inter-régionales de la mer, directions départementales des territoires et délégations de la mer et du littoral, collectivités locales, établissements publics, organisations internationales, institutions européennes, etc…). Cette phrase est peu compréhensible et trop jargon administratif. Concrètement cela fait quoi un administrateur des Affaires maritimes ? Il faudrait sans doute parler de son rôle en matière de pêche, plaisance, domaine public maritime, environnement, marine de commerce, etc.

Il semble que l'article répond maintenant à cette question.

Lorsque l'on lit l'article, tout semble "grand" dans ce corps (grande diversité de recrutement, grandes missions, grande compétence...). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.23.175.180 (discuter), le 25 janvier 2010 à 10:00
C'est ce jargon imprécis et grandiloquent qu'il faut éviter. TCY (d) 27 janvier 2010 à 06:54 (CET)Répondre
Les remarques qui précèdent sont décalées s'agissant de corps d'agents de l'Etat à recrutement multiples et à affectations variées. Si on demande à l'article de préciser ce que les gens font, on ne peut que s'attendre à des listes d'affections réelles plus ou moins longue. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16

  • Le corps est recruté par voie de concours de façon extrêmement diversifiée tant chez les universitaires (niveau maîtrise juridique ou scientifique) que chez les officiers navigants de la Marine nationale comme de la Marine marchande et les cadres civils (de formation technique ou administrative) des administrations maritimes.. Des chiffres ! Combien sont issus de la filière universitaire, principalement licence ou maitrise de droit ? le niveau de concours est licence(une majorité je crois), combien viennent d'autres filières ? Combien y a-t'il d'administrateurs des Affaires maritimes en activité en France ? etc. Dans les faits, très peu d'administrateurs s'occupent de sécurité maritime (seulement 4 ou 5 en France sur un corps de 250 agents environ).
La remarque qui précède est insuffisamment documentée. Un seul CROSS comprend déjà au moins une demi douzaine d'officiers, On peut aussi regarder qui fait quoi dans la sous direction de la sécurité maritime du ministère de l'équipement. On tombe sur des bien ratios plus élevés. En fait ce qui compte c'est une bonne coopération de tous et la distinction sur ce sujet entre technique et administratif est peu satisfaisante. C'est les deux et à la fois. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16

Une simple vérification auprès des services concernés indique que le chiffre de 250 officiers est à peu près exact et que près de 40% de cet effectif serait affecté à des tâches de sécurité maritime.

Est suffisant pour dire qu'il s'agit d'un "grand corps de conception" dans le domaine maritime? La grande majorité sont juristes et recrutés dans les iep. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.23.175.180 (discuter), le 25 janvier 2010 à 10:00
D'où sort cette référence "grand" ? Quand à qualifier les anciens élèves d'IEP de juristes, c'est une vue de l'esprit de gens peu au fait de ce qu'on fait dans ces établissements ; certes du Droit et surtout du droit public, mais bien d'autres choses aussi. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Effectivement la majorité des administrateurs sont recrutés par concours sur la filière droit (d'où le "principale voie" que j'ai rajoutée). Ils seraient bien de mettre combien d'administrateurs sont en activité (sans bien sur compter les CR) et combien ont une formation autre que juridique. TCY (d) 27 janvier 2010 à 06:54 (CET)Répondre
Ce serait bien venu de la retirer car la laisser en place monterait une connaissance insuffisante de ce qu'est le Droit. D'après les textes, il y a autant de places pour les uns que pour les autres — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Il me semble que le deuxième concours est ouvert aux officiers mariniers ainsi qu'aux fonctionnaires du MEEDDM de catégorie B et C.
En se référant aux statuts on peut constater qu'il y plusieurs voies d'accès. On peut supposer que les anciens élèves d'IEP (en fait les étudiants titulaire d'un diplôme ouvrant accès au concours de l'ENA) sont majoritaires dans le concours universitaire mais pour les autres il doit en aller différemment par construction même. En sortie il devrait y avoir équilibre. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Peut on dans ce cas, être juste factuel est dire que sur les n administrateurs en activité, x% viennent d'un recrutement d'un cursus juridique, y % d'un cursus d'officier de marine, z% d'une cursus de la marine marchande, etc. TCY (d) 1 février 2010 à 06:16 (CET)Répondre

C'est sûrement un décompte possible, mais quel est son intérêt ? Il est plus intéressant de savoir combien ont été recruté dans chacune des catégories en cause. Il semble de source ministérielle que lors des derniers recrutement lés choses seraient réparties entre 1/3 universitaires, 1/3 navigants, 1/3 concours internes, avec 1/3 de femmes seulement.


  • directions inter-régionales de la mer, directions départementales des territoires et délégations de la mer et du littoral. Une très récente et importante réforme est actuellement mise en œuvre dans l'administration territoriale maritime. Les périmètres de ces deux nouvelles directions et donc le périmètre de celui qui les dirige ont changé. Ils sont encore inconnus même par des personnes issues du domaine maritime et mériteraient donc d'être expliqués. Il faut ainsi parler du rapprochement avec les phares et balises (par exemple ces nouvelles directions ont elles toujours à leur tête des administrateurs des Affaires maritimes, peuvent elles avoir un responsable des Phares et balises ou un autre fonctionnaire civil, etc.)
Les postes de directions sont maintenant largement ouverts et on peut trouver des architectes à la tête de services maritimes et des officiers de la marine à celle de directions non exclusivement maritimes. Les interpénétrations sont de plus en plus nombreuses. L'article dans son entier, rédaction initiale et ajouts est de faible qualité sur la réforme actuelle des administrations maritimes. Il est vrai qu'elle est au milieu du gué, mais ce n'est pas une raison. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Ce qui peut faire l'objet effectivement d'un paragraphe. Mais quelle est alors la spécificité des administrateurs des Affaires maritimes ? Pourrait-on trouver à la tête de des DRIM ou des directions départementales des non administrateurs, des civils issus d'autres administrations ? Parce que si c'est le cas, l'article est effectivement à revoir. TCY (d) 1 février 2010 à 06:16 (CET)Répondre

Oui, mais il faut, de ce fait, revoir tous les articles concernant l'administration française, car tous les corps de direction sont maintenant logés à la même enseigne. Pour autant qu'on arrive à suivre le cheminement des réformes en cours, les spécialisations valent pour les débuts de carrière et les emplois spécialisés, mais les directions semblent être pour partie ouvertes et c'est normal dès lors qu'elle dépassent les spécialisations initiales et qu'elles sont laissées aux choix des préfets. Quand aux critères de ces derniers, il n'est pas encore possible de les discerner. On suppose que la connaissance des dossiers acquises lors de précédentes affectations, la fiabilité, la disponibilité des cadres concernées doivent jouer. En tout cas cela joue dans tous les sens.


  • Historique : Ce paragraphe est à compléter avec l'histoire des "Quartiers des Affaires maritimes", la création de directions départementales et l'évolution du rôle des administrateurs au cours du temps.

Bref un peu de travail pour faire de cet article un bon article encyclopédique, en dehors de tout esprit de corps et/ou de guerre d'édition entre administrateurs et inspecteurs des affaires maritimes.

Penser aussi à mettre à jour et à améliorer en parallèle l'article Affaires maritimes (comme l'intégration de la nouvelle "fonction garde-côtes").

Très bonne idée, ce point est effectivement à étayer — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 212.23.175.180 (discuter), le 25 janvier 2010 à 10:00.
Il faudrait un article Garde côtes se basant au moins sur c'en qu'en a dit le gouvernement français dans son récent livre bleu et qui doit bien être accessible quelque part. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Il existe déjà un article Garde-côtes généraliste avec un paragraphe sur la France qu'il faudrait mettre à jour d'une ou deux phrases pour expliquer ce que recouvre la nouvelle « fonction Garde-cotes » par rapport à la situation existante. TCY (d) 1 février 2010 à 06:16 (CET)Répondre

C'est sûrement quelque chose qui sera développée dans les prochains mois, parce que pour le moment, les recherches sur le net ne permettent d'aboutir qu'à des communiqués ministériels, en tous cas, pour le moment, ce n'est pas exploitable.

TCY (d) 22 janvier 2010 à 19:08 (CET)Répondre


L'article s'améliore même si certains contributions "anonymes" depuis le ministère de l'Agriculture et de la Pêche, de la directions inter-régionale de la mer à Rennes et de la place Fontenoy (ah le subtil pseudo SAXE-ESTREE, 2 noms de rues conduisant à cette dite place  ) ne sont pas d'une absolue neutralité ou emploient encore un jargon quelque peu ministériel. TCY (d) 26 janvier 2010 à 11:02 (CET)Répondre
Un article gagne toujours à la modération du modérateur. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.24.244.175 (discuter), le 31 janvier 2010 à 16:16
Wikipédia n'a pas de modérateur pour la rédaction de ses articles mais des contributeurs qui écrivent de manière collaborative en respectant certains principes. Si problèmes, des procédures d'arbitrage existent. Cela oblige quelquefois a changer son angle de vue et accepter que d'autres points de vue s'expriment. Ainsi la plupart du temps, un consensus se dégage, ce qui surprend souvent les « nouveaux » et fait la force de ce projet. TCY (d) 1 février 2010 à 06:16 (CET)Répondre

Cependant les points de vues exprimés lorsqu'ils sont décalés par rapport aux objectifs du projet sont plus que discutables et on comprend le bandeau de neutralité mis sur l'article.


Revenir à la page « Administrateur des Affaires maritimes ».