Discussion:Éden

Dernier commentaire : il y a 16 ans par La Cigale dans le sujet Eclaircissements
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Géographie modifier

Voyons donc, tout le monde sait que le fleuve qui se divise en 4 est en égypte. Il s'apelle le Nil... FenixEden 25 avril 2007 à 03:46 (CEST)Répondre

Culpabilité modifier

La culpabilité de la femme et les conséquences sont très importante pour le christianisme, c'est par la femme que vient le mal, le christianisme ne s'en est pas encore defait Papillus 22 jul 2004 à 07:04 (CEST)

Ce n'est pas exactement ça... bon d'un point de vue personnel, même si dans la Bible, Eve a cédé en premier, Adam n'a pas réisté non plus donc... Ceci dit, ce n'est pas ça le pb dans ce que tu dis... Il faut bien voir que les différences de traitement entre les hommes et les femmes dans la religion catholique ne vient pas de là.. En partie certes, ça vient du machisme valable dans la zone méditéranéenne (à la notable exception de l'Egypte antique), mais pas seulement, après la chute de l'empire romain et jusqu'au milieu du moyen âge, les femmes n'étaient pas déigrées comme elles l'ont été après. c'est un fait peu connu mais au début de l'Eglise, il y avait des femmes responsables religieuses. Jésus n'a rien dit contre les femmes. Ceci dit, vers la fin du Moyen Âge, les choses changent pour les femmes... Ainsi elles sont accusées de tous les maux pour des raisons diverses et variées, mais à mon avis, ce n'est pas à cause de ce passage de la Bible, même si ça a servi d'excuse. Pallas4 3 mars 2006 à 08:37 (CET)Répondre

Sur Terre modifier

J'ai un énorme doute sur la phrase en description: "Dieu les chasse du jardin d'Eden et les envoient sur Terre". Or, si j'ai bien compris, ce jardin était sur la Terre d'après la Bible. Peut-être que la mythologie chrétienne est différente de la Bible ? La Cigale 25 janvier 2006 à 14:13 (CET)Répondre

Franckiz confirme mes doutes et le retrait de la fin de cette phrase est plus juste. La Cigale 25 janvier 2006 à 20:54 (CET)Répondre

Il faut avoir un minimum de connaissance ésotérique pour comprendre la phrase... FenixEden 25 avril 2007 à 03:48 (CEST)Répondre

Retravail modifier

Cet article, quoique toujours ébauche, l'est un peu moins. Mon but n'était que de discuter de l'après-vie dans le judaïsme, et ce sujet a été traité en une phrase ou deux. J'encourage tous de même les collègues à l'enrichir et le terminer. Bonne chance!Inyan 22 mai 2006 à 14:03 (CEST)Répondre

Eclaircissements modifier

Je lis: « On apprend, selon Ez. 31:15-17, que les arbres d'Éden ont été précipités dans le Sheol. ». C'est la première fois que je lis ce genre d'interprétation. D'où vient-elle ? La Cigale 10 septembre 2007 à 16:04 (CEST)Répondre

Rappel des textes religieux modifier

inspiré du jardin des Hespérides de la Mythologie grecque. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hespérides

(transfert de la page principale)

Selon le judaïsme, il s'agit d'un endroit matériel (où se matérialise la spiritualité), ainsi qu'il est décrit dans la Torah (Gn 2,8-14). Les âmes qui s'y trouvent sont éclairées et jouissent de la lumière divine abondant sur elles en fonction des degrés de leur mérite. L'essence de la proximité à la lumière divine, telle est la récompense.

Selon le christianisme, le « paradis » (dérivé de pardes) est associé au monde des « bénis », opposé au monde des « maudits » ou damnés, parmi ceux qui sont déjà morts. On peut noter une certaine analogie avec le concept grec du jardin des Hespérides, qui inspira fortement l'illustration de Cranach. En effet, seule l'action montrée dans ce tableau permet de distinguer le jardin d'Éden de celui des Hespérides et son fruit d'or.

Selon l'islam, c'est un lieu de grande joie, fort attractif : des fontaines d'eau pure, de lait et de miel et de la nourriture en abondance.

Selon la critique textuelle, qui se base sur l'existence de récits originels analogues mais situés dans un cadre géographique différent, Éden serait la trace d'un « berceau sémite » (cf. edinu, « steppe » en akkadien, ou edin, « plaine » en sumérien).

D'après le récit biblique de la création, l'Adam (qui contient l'homme et la femme), prémice(s) de l'humanité rationnelle, fu(ren)t créé(s) et initialement déposé(s) dans le jardin d'Éden. Dieu y fit alors germer et croître des arbres de différentes espèces, parmi lesquels l'arbre de la connaissance du bien et du mal et l'arbre de la vie.

Dieu ne donna à l'Adam qu'une prescription, s'occuper du jardin, et une interdiction, manger du fruit du premier arbre précité. Cependant, le serpent séduit la femme, qui mange du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal et en donne à son homme.

Dieu les expulse immédiatement du jardin, car en mangeant le fruit de l'arbre de la vie ils avaient désobéi à Dieu et avaient fait preuve "d'ubris" . Des anges (des chérubins, plus exactement), sont placés devant l'entrée du jardin pour en barrer l'accès. On apprend, selon 31,15-17, que les arbres d'Éden ont été précipités dans le Sheol.

Tombent ensuite les malédictions :

  • Adam est condamné à travailler un sol ingrat et se nourrir à la sueur de son front ;
  • Ève enfantera dans la douleur ;
  • le serpent est condamné à ramper et à manger la poussière, et à être écrasé par une femme en essayant de lui mordre le talon.

Mais Dieu prend pitié de la faiblesse humaine et fait une prediction : un sauveur viendra.

Contrairement au christianisme, le judaïsme n'associe pas le serpent au Satan. Cette association est basée, outre l'épisode du mont des Oliviers, sur l'interprétation de passages décrivant le Satan prêt à « dévorer » l'humanité dès que l'occasion s'en présente. Dans cette optique, la malédiction divine de « manger la poussière » est une analogie à sa nature mauvaise. Dans le christianisme, il y a également une correspondance établie entre les Livres de la Genèse et de la Révélation.

À noter le renversement de valeurs effectué par une des premières sectes gnostiques chrétiennes, les Ophites, qui firent du serpent le « héros », tentant de transmettre la gnose (connaissance en grec) et de Dieu, le « mauvais » cherchant à emprisonner l'homme dans la création du démiurge.

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