Chemin de fer des Chanteraines

Ligne de chemin de fer touristique française

Le Chemin de Fer des Chanteraines (ou CFC) est une ligne de chemin de fer construite à la suite de l'ouverture du parc des Chanteraines. Elle relie la station Gennevilliers RER, en correspondance avec la gare de Gennevilliers, à celle des Mariniers.

Chemin de Fer des Chanteraines
Voir la carte de la ligne.
Carte de la ligne
Voir l'illustration.
Train arrivant au terminus de Gennevilliers RER
Pays Drapeau de la France France
Villes desservies Parc des Chanteraines
(Villeneuve-la-Garenne, Gennevilliers)
Historique
Mise en service 1981
Concessionnaires Conseil général des Hauts-de-Seine (1981 – 1984)
Association du Chemin de fer des Chanteraines (depuis 1984)
Caractéristiques techniques
Longueur 5,5 km
Écartement étroit (600 mm)
Électrification Non électrifiée
Nombre de voies Voie unique avec évitements
Trafic
Propriétaire Département des Hauts-de-Seine (92)
Exploitant(s) Association du Chemin de Fer des Chanteraines
Trafic Touristique

Gennevilliers RER - Les Mariniers
Image illustrative de l’article Chemin de fer des Chanteraines

Réseau Chemin de Fer des Chanteraines
Communes desservies 2
Histoire
Mise en service 1981
Dernière extension 1991
Exploitant Association du Chemin de fer des Chanteraines
Infrastructure
Conduite (système) Conducteur
Exploitation
Matériel utilisé Divers
Points d’arrêt 6
Longueur 5,5 km
Fréquentation
(moy. par an)
20 000 à 25 000

Histoire modifier

  • Début des années 1970 : décision de la création du parc départemental des Chanteraines par le conseil général des Hauts-de-Seine, grâce à l'instigation de Roger Prévot, maire de Villeneuve-la-Garenne et, à l'époque, vice-président du conseil général.
  • 1981 : mise en service de la ligne entre le Pont d'Épinay (aujourd'hui Les Mariniers) et le Passage de Verdure situé au-dessus de l'autoroute A86, soit une distance de 3,1 kilomètres.
  • Printemps 1984 : reprise de l'exploitation de la ligne ainsi que de l'entretien de la voie et du matériel roulant, par l'association du Chemin de fer des Chanteraines dans le cadre d'une convention avec le conseil général des Hauts-de-Seine.
  • Juillet 1991 : extension du parc permettant le prolongement de la ligne jusqu'au nouveau terminus Les Tilliers RER, en correspondance avec le RER C. À l'occasion de ce prolongement, un deuxième dépôt est créé à côté du premier.
  • Octobre 2009 : accueil, par le CFC, de la 19e rencontre internationale des chemins de fer à voie étroite.
  • Saison 2010 : limitation de la ligne au parcours Les Fiancés - Les Tilliers RER, pour cause de travaux dans le secteur des Mariniers.
  • Saison 2012 : rétablissement de la ligne complète après renouvellement de la voie dans le secteur des Mariniers.
  • Saison 2014 : le samedi 17 et le dimanche , l'association du Chemin de fer des Chanteraines a fêté ses 30 ans[1].
  • Saison 2024 : lors du long week-end de L'ascension (les 9, 10, 11 et ), l'association du Chemin de fer des Chanteraines fêtera ses 40 ans.

Infrastructure modifier

La ligne modifier

Le Chemin de fer des Chanteraines n'est pas électrifié.

Les terminus réguliers modifier

La ligne compte cinq gares dont trois terminus réguliers :

  • Gennevilliers RER, anciennement Les Tilliers : cette gare est le terminus sud de la ligne, en correspondance avec la gare de Gennevilliers. Elle est composée de deux voies encadrant un quai ainsi que d'une voie supplémentaire dépourvue de quai qui sert aux manœuvres de changement de tête des locomotives et d'une plaque tournante dans le prolongement des voies ;
  • L’Étang, anciennement Petit Lac : cet évitement est constitué de deux voies encadrant un quai ;
  • La Ferme : cette gare, composée de deux voies encadrant un quai, est le terminus en début et fin de service pour l'accès au dépôt. C'est la seule gare de la ligne qui possède un bâtiment voyageurs, dans lequel se trouve le guichet permettant l'achat de billets ;
  • Les Fiancés : cette gare, anciennement appelée Pompidou, est constituée de deux voies encadrant un quai ;
  • Les Mariniers : cette gare, anciennement appelée Pont d'Épinay, est le terminus nord de la ligne. Elle est constituée de deux voies dont une à quai, la seconde servant au retour des machines lors de la remise en tête, ainsi que d'une plaque tournante dans le prolongement des voies desservant une courte impasse où peut stationner un wagonnet.

Liste des gares modifier

 
Quai de la gare Gennevilliers RER.

La ligne dessert six stations dans le Parc des Chanteraines :

Gare Communes desservies Correspondances[2]
  Gennevilliers RER Gennevilliers Correspondance à la Gare de Gennevilliers :
  
  
  L'Etang Gennevilliers Correspondance à la station Chemin des Reniers :
  
  Passage de Verdure Villeneuve-la-Garenne
  La Ferme Villeneuve-la-Garenne
  Les Fiancés Villeneuve-la-Garenne
  Les Mariniers Gennevilliers

Les gares en gras servent de départ ou de terminus à certaines missions.

Exploitation modifier

La ligne est entièrement exploitée par l'association du Chemin de fer des Chanteraines.

Plan de transport de la ligne modifier

 
Locomotive diesel en cours de manœuvre de changement de sens.

Le service de la ligne est assuré par des trains tractés par des locomotives à vapeur et diesel, du mois de mars au mois d'octobre, de 15 h à 18 h, voire 19 h, les dimanches et fêtes. En outre, il est prévu que :

  • Les mercredis, samedis et certains dimanches, un train circule toutes les 70 minutes.
  • Tous les dimanches d'avril à septembre et les jours fériés, deux trains circulent toutes les 30 à 60 minutes.
  • Sauf impossibilité technique ou météorologique, un train à traction vapeur soit mis en circulation au moins le deuxième dimanche de chaque mois pendant la saison d'exploitation.
  • Des circulations, hors saison, ont lieu en fonction de la météorologie.

Temps de parcours modifier

 
Un train entre La Ferme et Les Fiancés.
 
Le locotracteur Plymouth 10 quitte la gare de La Ferme.

Les temps de parcours sont donnés à titre indicatif et varient selon les trains, le jour de fonctionnement et surtout selon le nombre de voyageurs souhaitant emprunter le train. Ils peuvent aussi évoluer en cas de retards dus à des événements imprévus.

La desserte touristique assurée sur la ligne permet de relier Gennevilliers RER à :

  • la gare L'Etang en 5[3] à 8[4] minutes.
  • la gare Passage de Verdure en 10[3] à 16[4] minutes.
  • la gare La Ferme en 15[3] à 24[4] minutes.
  • la gare Les Fiancés en 25[3] à 32[4] minutes.
  • la gare Les Mariniers en 30[3] à 48[4] minutes.

Toutefois, on constate que le temps de parcours réel est moindre que celui affiché : par exemple, l'intergare Gennevilliers RER - L'Etang s'effectue en seulement trois minutes. Ainsi, on peut estimer que les horaires indiqués sont élaborés en fonction du nombre de personnes susceptibles d'emprunter le train, car il n'y a qu'un seul contrôleur à bord. Ainsi, la fréquentation le dimanche est généralement supérieure à celle du mercredi ou du samedi, d'où le nombre de trains en circulation plus important et le temps de parcours plus élevé.

Tarification et financement modifier

L'achat des billets peut s'effectuer soit au guichet de la gare de La Ferme ouvert à partir de 14h45 lorsque le train circule, soit directement à bord des trains auprès du contrôleur. Le règlement peut s'effectuer par espèces (prévoir l'appoint), par carte bancaire, ou par chèque.

Le prix des billets est de :

  • 5,40 euros pour les adultes.
  • 3,30 euros pour les enfants (entre 3 et 12 ans accompagnés).
  • Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans accompagnés.
  • 15,30 euros pour les familles (2 adultes + 2 enfants payant).
  • 32 euros pour les groupes de 10 personnes, + 3,20 euros par personne supplémentaire.

Par ailleurs, il est possible de réserver un train spécial effectuant :

  • soit le tour complet du parc, c'est-à-dire un trajet de 10 km (durée : 1h environ), au tarif forfaitaire de 160 euros pour un train à traction diesel et de 390 euros pour un train à traction vapeur[5] ;
  • soit un tour partiel, c'est-à-dire un trajet de 5 km (durée : 35 minutes environ), au tarif forfaitaire de 95 euros pour un train à traction diesel et de 220 euros pour un train à traction vapeur[5].

Le financement du fonctionnement de la ligne (entretien, matériel et charges de personnel) est assuré par l'association du Chemin de fer des Chanteraines, avec l'assistance du conseil départemental des Hauts-de-Seine.

Matériels roulants modifier

Les listes suivantes ne sont pas exhaustives et devront être complétées ou actualisées au fil du temps (dernière actualisation en avril 2024) :

Locomotives à vapeur modifier

Photo Type Numéro CFC Constructeur et date Numéro constructeur État actuel Origine et informations techniques
  0-2-0T 3 Decauville, 1914 no 876 Opérationnel
  • Locomotive surnommée "Vincent".
  • Aquise en 2003.
  • 3,6 m, 5,5 t (6,7 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h (35 ch).
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 300 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 1 000 L (1 m3).
  0-3-0T 6 Decauville, 1920 no 1770 Opérationnel
  • Locomotive surnommée "Chanteraine".
  • Acquise en 1987.
  • 4,6 m, 8 t (10,5 t en ordre de marche), vitesse maximum : 20 km/h (60 ch).
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 600 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 1 150 L (1,1 m3).

  Classé MH (2003)[6]

  0-2-0T 12 Orenstein & Koppel, 1905 no 1627 Opérationnel
  • Locomotive surnommée "Bertha".
  • Aquise le 23.05.1992.
  • 4,2 m, 6,5 t (7,5 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h.
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 390 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 550 L.
  0-2-0T 13 Decauville/Borsig, 1911 no 8069 Opérationnel
  • Locomotive surnommée "Tabamar".
  • Acquise le 11.04.1994.
  • 4,4 m, 0,0 t (0,0 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h.
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 000 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 0 000 L (0,0 m3).
  0-2-0T 18 Decauville, 1914 no 869 Opérationnel
  • Locomotive surnommée "La Bouillote".
  • Acquise en 2001.
  • 4,7 m, 5 t (6,7 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h (35 ch).
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 300 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 1 000 L (1 m3).

  Classé MH (2005)[7].

  0-3-0T 19 Orenstein & Koppel, 1914 no 7429 Opérationnel
  • Acquise en 2001.
  • 4,5 m, 7,5 t (10 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h (50 ch).
  • Timbre chaudière : 12 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 460 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 1 020 L (1 m3).

  Classé MH (2005)[8]

  0-2-0T 27 CFC, date inconnue. Opérationnel
  • Locomotive à chaudière verticale surnommée : "Stoker".
  • Locomotive construite de façon artisanale par l'association.
  • 0,0 m, 0,0 t (00 t en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h (00 ch).
  • Timbre chaudière : 00 kg/cm².
  • Capacité de la soute à charbon : 000 kg.
  • Capacité de la soute à eau : 0 000 L (0 m3).

Locotracteurs diesel modifier

Photo Type Numéro CFC Constructeur et date État actuel Origine et informations techniques
  Diesel-hydraulique OBO-01 & 02 Socofer, 1981 Opérationnel
  • 4,4 m, 7,5 t, vitesse maximum : 16 km/h.
  • Moteur Deutz F4L de 57 ch.
  04 Decauville, 1933 Opérationnel
  • Numéro constructeur : no 643.
  • 3,1 m, 2,2 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • Moteur CLM monocylindre de 10 ch.

  Classé MH (2011)[9]

  05 Campagne, 1952 Opérationnel
  • Acquis le 29.11.1986.
  • Numéro constructeur : no 4075.
  • 3,5 m, 4 t, vitesse maximum : 16 km/h.
  • Moteur Deutz F3L 912 de 42,5 ch.
  DLD 07 Plymouth, 1946 Opérationnel
  • Acquis le 20.06.1990.
  • m, 8 t, vitesse maximum : 25 km/h.
  • Moteur Deutz F3L 912 de 120 ch.
  DLD 08 Plymouth, 1946 Opérationnel
  • Acquis le 20.06.1990.
  • m, 8 t, vitesse maximum : 25 km/h.
  • Moteur Deutz F3L 912 de 120 ch.
  DLD 09 dit "Gilbert" Plymouth, 1946 Hors service (en cours de restauration complète).
  • Acquis le 20.06.1990.
  • m, 8 t, vitesse maximum : 25 km/h.
  • Moteur Deutz F3L 912 de 120 ch.
  DLD 10 Plymouth, 1946 Opérationnel
  • Acquis le 20.06.1990.
  • m, 8 t, vitesse maximum : 25 km/h.
  • Moteur Deutz F3L 912 de 120 ch.
  11 (Type LD1) Orenstein & Koppel, date inconnue Opérationnel
  • 2,5 m, 2,1 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • Moteur diesel MAN à deux cylindres.
  LO 20 14 Schöma (de), 1940 Hors service (en cours de restauration complète).
  • Numéro constructeur : no 541.
  • 2,8 m, 3,7 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • Moteur diesel à deux cylindres.
  • Ce locotracteur à conservé son moteur diesel deux temps SELVE d'origine (il ne reste que deux exemplaires connus en état de marche).
  16 CFC, date inconnue Situation inconnue
  • Locotracteur construit de façon artisanale par l'association.
  • m, 00 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • Moteur Hercules de 4 cylindres.
  • Sa fabrication autour d’un groupe électrogène alimenté par un moteur à essence Hercule est tout à fait inhabituelle. Son constructeur avait même installé un compresseur et un réservoir d’air.
  17 Gmeinder (en), date inconnue Hors service (en cours de restauration complète).
  • 2,6 m, 3,5 t (en ordre de marche), vitesse maximum : 00 km/h.
  • Moteur diesel monocylindre.
  ZL 114 20 Arnold Jung (en), 1937 Hors service (en cours de restauration complète).
  • Acquis en 2001.
  • Numéro constructeur : no 7604.
  • 2,2 m, 5,4 t, vitesse maximum : 15 km/h.
  • Moteur diesel deux cylindres à volant d’inertie de 24 ch.
  21 CFC, date inconnue Opérationnel
  • Acquis en octobre 2004 puis restauré.
  • Locotracteur construit de façon artisanale par l'association sur base de châssis (des années 50) de type JW 15 construit par la société CACL ex Jules Weitz (Chantiers et Atelier de Construction de Lyon).
  • 3,9 m, 00 t, vitesse maximum : 15 km/h.
  • Moteur 4 cylindres UNIC type MZ32, refroidissement par eau.

Locotracteurs électriques modifier

Photo Type Numéro CFC Constructeur et date État actuel Origine et informations techniques
  e OBO-01 & 02 CFD, 2023 Opérationnel
  • Arrivés au CFC le .
  • 0,0 m, 0,0 t, vitesse maximum : 16 km/h.
  • Moteur à accumulateurs électrique (batteries lithium).
  • Ces Locotracteurs sont équipés de freins à air.

Voitures à voyageurs modifier

Photo Type Numéro CFC Constructeur et date État actuel Origine et informations techniques
  Baladeuse à deux bogies V-1 à V-6 Socofer, date inconnue Opérationnel
  • m, 2,5 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 40 places assises par voiture (240 places assises au total).
  • Ses voitures sont équipées de l'attelage "Rockinger" et du frein à air.
  Baladeuse à deux essieux (dite du "Père Noël") V-7 à V-9 Constructeur et date inconnue Opérationnel
  • 2,5 m, 300 kg, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 6 places assises par voiture (18 places assises au total).
  • Ses voitures sont équipées de freins à sabots.
  Voiture "Salon" à deux bogies V-10 CFC, date inconnue Opérationnel
  • Voiture entièrement construite par l'association (en collaboration avec le Lycée d'enseignement professionnel de l'automobile Charles Petiet à Villeneuve-la-Garenne).
  • 8,1 m, 3,5 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 00 places assises.
  • Cette voiture est équipée de freins à air.
  Petite voiture "Salon" à deux essieux V-11 Decauville/CFC, date inconnue Opérationnel
  • Construite sur base d'un châssis freiné Decauville des années 1920. Aménagé en voiture salon.
  • m, 1 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 4 places assises.
  • Cette voiture est équipée de freins à sabots.
  Voiture "Baignoire" à deux essieux V-12 à V-14 De Dietrich/CFC, 1914 Opérationnel
  • Voitures construites à partir de plates-formes Péchot.
  • m, 3,5 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 20 places assises par voiture (60 places assises au total).
  • Ces voitures sont équipées de freins à air.
  Voiture "fermée" à deux bogies V-15 Decauville/CFC, 1916 Opérationnel
  • Construite à partir d'une plate-forme Decauville de 1916.
  • 7,2 m, 3,5 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 20 places assises.
  • Cette voiture est équipée de freins à air.
  Baladeuse à deux bogies V-16 & V-17 De Dietrich/CFC, 1914 Opérationnel
  • Baladeuses construites à partir de plates-formes Péchot.
  • m, 3,5 t, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 22 places assises par voiture (44 places assises au total).
  • Ces voitures sont équipées de freins à air.
  Baladeuse à deux essieux et bancs longitudinaux V-18 & V-18 Feldbahn (en), date inconnue Opérationnel
  • m, 500 kg, vitesse maximum : 00 km/h.
  • 10 places assises par voiture (20 places assises au total).
  • Ces voitures sont équipées de freins à sabots.

Wagons de marchandises modifier

Photo Type Numéro CFC Constructeur et date État actuel Origine et informations techniques
  Wagon plat à deux essieux W-1 CFC, date inconnue Opérationnel
  • 2,5 m, 00 t.
  • Ce wagon a été entièrement conçu et réalisé par l’équipe du CFC et constitue le parc de travail et de secours sur la voie.
  Wagon atelier à deux essieux W-2 CFC, date inconnue Opérationnel
  • 3,4 m, 1 t.
  • Ce wagon a été entièrement conçu et réalisé par l’équipe du CFC et constitue le parc de travail et de secours sur la voie.
  Wagons à benne basculante à deux essieux 26D type 1925 W-3 à W-5 Decauville, 1925 Opérationnel
  • 2,1 m, 1,5 t.
  • Capacité de stockage : 1 500 L (1,5 m3).
  • Ex-Etablissements LAMBERT à Montebourg (Manche) utilisées pour le ravitaillement en charbon en ligne.
  Wagon tombereau à deux essieux W-6 Decauville, date inconnue Opérationnel
  • m, 1 t.
  • Capacité de stockage : 4 500 L (4,5 m3).
  • Ex. no 22263 des Kaolins de Beauvoir (dans l’Allier).
  • Ce wagon a été équipé d’une passerelle d’élagage.
  Trucs forestiers à fourche pivotante à deux essieux L-5 à L-6 Decauville, date inconnue Opérationnel
  • 00 m, 00 t.
  • Ex-scierie de Compiègne.
  Wagons à benne basculante à deux essieux 26D type “Lorraine” L-12 à L-14 Decauville, 1925 Opérationnel
  • 2,1 m, 1,5 t.
  • Capacité de stockage : 1 500 L (1,5 m3).
  • Ex-scierie Barillet (Loiret).
  • Après révision des châssis et boîtes d’essieux, les bennes ont été reconstruites par les élèves du lycée technique Charles Petiet.
  Wagon plate-forme à bords rabattables à bogies Decauville, date inconnue Situation inconnue
  • 00 m, 00 t.
  • Divers wagonnets et lorrys (pas d'informations).

Notes et références modifier

  1. « Image pour le week-end des 17 et 18 mai 2014 consacré aux 30 ans de l'association du Chemin de fer des Chanteraines », sur cfchanteraines.fr (consulté le ).
  2. Pour alléger le tableau, seules les correspondances avec les transports guidés (métros, trains, tramways…) et les correspondances en étroite relation avec la ligne sont données. Les autres correspondances, notamment les lignes de bus, ne sont pas indiquées.
  3. a b c d et e Temps de parcours valable les mercredis, samedis et certains dimanches
  4. a b c d et e Temps de parcours valable tous les dimanches d'avril à septembre et les jours fériés
  5. a et b [PDF] « Chemin de fer des Chanteraines – Tarifs spéciaux 2016 », sur cfchanteraines.fr (consulté le ).
  6. Notice no PM92000244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  7. Notice no PM92000246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  8. Notice no PM92000245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  9. Notice no PM92000272, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Jérôme Camand, « Le chemin de fer des Chanteraines », dans Petits trains de France, Sélection du Reader's Digest, 2002 (ISBN 2-7098-1324-6), pp. 164-165

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier