Catastrophe aérienne du mont Cimet
| Vol 178 Air France | ||||
 Un Lockheed Constellation semblable à celui qui s'est écrasé. | ||||
| Caractéristiques de l'accident | ||||
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| Date | ||||
| Site | Le Mont Cimet (80 km de Nice) | |||
| Coordonnées | 44° 17′ 25″ nord, 6° 41′ 59″ est | |||
| Caractéristiques de l'appareil | ||||
| Type d'appareil | Lockheed L-749A Constellation | |||
| Compagnie | Air France | |||
| No d'identification | F-BAZZ | |||
| Phase | Approche | |||
| Passagers | 33 | |||
| Équipage | 9 | |||
| Morts | 42 | |||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
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Le , le vol 178 d'Air France doit relier Paris-Orly à Saïgon, les escales prévues étant Nice (France), Beyrouth (Liban), Bagdad (Irak), Karachi (Pakistan) et Calcutta (Inde). Lors de l'approche de sa première escale, le Lockheed Constellation immatriculé F-BAZZ heurte à 23 h 30 le pic du mont Cimet (3 020 m) dans le massif du Pelat dans la commune française d'Uvernet-Fours (hameau de Saint-Laurent)[1].
Les 42 personnes présentes à bord, soit neuf membres d'équipage et trente-trois passagers, dont le violoniste Jacques Thibaud et le compositeur René Herbin, sont tuées.
Une croix a été installée le sur le lieu de l'accident ainsi qu'une stèle à l'entrée du hameau de Saint-Laurent[1],[2],[3].
Enquête modifier
Les enquêteurs ont conclu que l'avion a dévié de son plan de vol sans toutefois en indiquer les raisons.
L'avion modifier
L'avion était un Lockheed L-749 Constellation à quatre moteurs dont le numéro de construction était 2674. Son première vol avait eu lieu en 1951 et il avait été acquis par Air France.
Référence modifier
- Fiche sur AviaTechno
- Constellation Paris-Saïgon sur Aérostèles
- [image] Image sur Panoramio
Bibliographie modifier
- "F-BAZZ ne répond plus", de Philippe Castellano. Article spécifique à l'accident du Constellation F-BAZZ d'Air France dans la nuit du , paru dans la revue aéronautique "Avions", numéro 126 () des éditions Lela-Presse.
- « Crash A320. En 1953, le vol Paris-Saïgon s’écrasait dans la même zone », Ouest-France, (lire en ligne)
