Arènes Marcel-Guillarmet

arène à Marsillargues (Hérault)

Arènes de Marsillargues
Entrée des arènes côté sud.
Entrée des arènes côté sud.
Données générales
Nom officiel Arènes de Marsillargues
Coordonnées 43° 39′ 54″ nord, 4° 10′ 43″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Hérault
Département 34590
Province Languedoc
Ville Marsillargues
Organisation
Statut Monument historique
Catégorie d'arènes 3e catégorie
Propriétaire municipalité de Marsillargues
Données historiques et techniques
Date de construction 1960
Date d'inauguration 1960
Classées Logo monument historique Inscrit MH (1993)
Capacité d'accueil 800 places
Géolocalisation sur la carte : Hérault
(Voir situation sur carte : Hérault)
Arènes Marcel-Guillarmet
Géolocalisation sur la carte : Languedoc-Roussillon
(Voir situation sur carte : Languedoc-Roussillon)
Arènes Marcel-Guillarmet
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
(Voir situation sur carte : Occitanie)
Arènes Marcel-Guillarmet
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Arènes Marcel-Guillarmet

Les arènes de Marsillargues sont les arènes de la commune de Marsillargues, dans le département français de l'Hérault. Elles peuvent accueillir plus de 800 personnes[1].

Présentation modifier

Elles ont la forme d'un quadrilatère aux angles arrondis et sont constituées d'un échafaudage de gradins en tubes métalliques et en planches. Situées sur la grand-place entre l'église, la mairie et le château du XVIe siècle, elles ont une infirmerie sommaire dans l'arrière-boutique d'un bistrot voisin qui sert de salle d'attente médicalisée pour les ambulances. Le toril est bâti dans l'alignement de la devanture du café. Frédéric Saumade les considère comme parfaitement adaptées au modèle tauromachique local[2].

Elles ont un « intérêt ethnologique pour la tradition culturelle de la bouvine en Bas-Languedoc » selon la fiche de la base Mérimée[3].

Elles sont inscrites sur la liste des monuments historiques protégés depuis le . Frédéric Saumade a produit une étude sur l'importance de la préservation des monuments dits de la bouvine en Languedoc[4].

Elles accueillent, outre les courses camarguaises[5], d’autres types de spectacles[6].

Bibliographie modifier

  • Frédéric Saumade, Des sauvages en occident, les cultures tauromachiques en Camargue et en Andalousie, Paris, Mission du patrimoine ethnologique, 1994 et 1995, 275 p. (ISBN 978-2-7351-0587-8, BNF 35704910)

Notes et références modifier

Voir aussi modifier

Article connexe modifier

Liens externes modifier