Agaricus campestris

espèce de champignons
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Rosé-des-prés, Agaric champêtre

Agaricus campestris, le Rosé-des-prés, moins communémment l'Agaric champêtre, la Psalliote champêtre, le Champignon de rosée ou encore la Souris-rose[1] (au XIXe siècle), est une espèce de champignon (Fungi) basidiomycète du genre Agaricus dans la famille des Agaricaceae. Proche du Champignon de Paris (Agaricus bisporus), c'est un champignon comestible et commun, populaire mais très souvent confondu. Il est caractérisé par ses lames d'abord roses puis brunes à maturié, son anneau discret et la forme de son pied en fuseau.

Le Rosé-des-prés est une espèce très recherchée mais dont l'identification est beaucoup plus ardue que ce que l'on pense. Nombre de cueilleurs le ramassent en pensant que les lames roses sont son seul critère d'identification, mais il partage ce critère avec bien d'autres espèces d'Agarics très ressemblants, dont certains sont même toxiques. Il existe une mauvaise idée préconçue quant à la facilité d'identification du Rosé-des-prés, persistant même chez les cueilleurs aguerris. C'est sûrement l'espèce ramassée communément entrainant le plus de confusions d'identification, notamment (mais pas que) avec le ressemblant et toxique Agaric jaunissant (Agaricus xanthodermus) qui est l'espèce entrainant le plus d'intoxications chaque année pour cause de cette confusion[2]. Si le jaunissement peut sembler un critère fiable pour exclure cette espèce, il est parfois dur à déceler selon les conditions, sans compter le fait que d'autres espèces toxiques d'Agarics ressemblants ne sont pas jaunissants. Contrairement à l'idée reçue, il n'est pas aisé d'identifier le Rosé-des-prés parmi la centaine d'espèces d'Agarics en France métropolitaine, dont beaucoup lui ressemblent si on ne connait pas précisement ses différents critères distinctifs. Beaucoup de personnes pensent manger des Rosés-des-prés en ayant ramassé en réalité une autre espèce d'Agaric, à la comestibilité simplement sans intêret dans la plupart des cas, mais renforçant donc l'idée du ramasseur dans sa capacité à reconnaître l'espèce. Cela entraîne un biais de confirmation ne l'encourageant pas à chercher les bons critères pour reconnaitre l'espèce, favorisant dans le futur une confusion avec un Agaric toxique faute de faire attention aux bons détails.

Taxonomie

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Le nom correct complet (avec auteur) de ce taxon est Agaricus campestris L.[3].

Synonymes

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Agaricus campestris a pour synonymes[3] :

  • Agaricus arvensis var. villaticus (Brond.) Anon.
  • Agaricus bisporus subsp. albidus (J.E.Lange) Singer, 1961
  • Agaricus bisporus subsp. avellaneus (J.E.Lange) Singer, 1961
  • Agaricus bisporus subsp. bisporus
  • Agaricus campester var. equestris (Möller) Pilat
  • Agaricus campester var. fuscopilosellus (Möller) Pilat
  • Agaricus campester var. squamulosus (Rea) Pilat
  • Agaricus campester L., 1753
  • Agaricus campestris L. ex Fr.
  • Agaricus campestris Scop.
  • Agaricus setiger Fr.
  • Agaricus subfloccosus subsp. bisporus (J.E.Lange) Hlavácek, 1951
  • Agaricus villaticus Brond.
  • Amanita campestris (L.) Roussel
  • Fungus campestris (L.) Kuntze
  • Fungus setiger (Fr.) Kuntze
  • Fungus villaticus (Brond.) Kuntze
  • Hypophyllum campestre (L.) Paulet
  • Pluteus campestris (L.) Fr.
  • Pratella campestris var. alba Gillet
  • Pratella campestris var. lutescens Gillet
  • Pratella campestris var. praticola Gillet
  • Pratella campestris var. villatica (Brond.) Gillet
  • Pratella campestris (L.) Gray
  • Pratella pratensis
  • Pratella setigera (Fr.) Gillet
  • Pratella villatica (Brond.) Gillet
  • Pratella villatica (Brond.) Quél.
  • Psalliota arvensis var. villatica (Brond.) Cleland & Cheel
  • Psalliota bispora subsp. avellanea (J.E.Lange) Treschew, 1944
  • Psalliota campestris (L.) Fr.
  • Psalliota campestris (L.) P.Kumm.
  • Psalliota campestris (L.) Quél.
  • Psalliota flocculosa Rea
  • Psalliota hortensis subsp. avellanea J.E.Lange, 1939
  • Psalliota hortensis subsp. bispora J.E.Lange, 1926
  • Psalliota villatica var. roseola Rick
  • Psalliota villatica (Brond.) Bres.

Phylogénie

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Trois Rosés-des-prés

Cette espèce a été initialement décrite et nommée en 1753 par Carl Linnaeus sous le nom d'Agaricus campestris.

Étymologie

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L'épithète spécifique vient du latin campestris : plaine et par extension champ donc qui pousse dans les champs, champêtre[4].

Noms vulgaires et vernaculaires

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Les noms vernaculaires d'Agaricus campestris sont: Rosé-des-Prés, Agaric champêtre, Psalliote champêtre, Champignon de rosée, Souris rose, Petit rosé. En Occitan, il est appelé Bosiguet (prononcé : "bouziguét") ou Pradelet ("padélét"). En anglais, il est appelé Field mushroom ou Meadow mushroom.

Description du sporophore

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C'est un champignon qui présente un pied et un chapeau. Le pied est central. Sous le chapeau, l'hyménophore est constitué de lames libres, serrées et inégales, c'est-à-dire qu'il y a des lamelles qui sont plus courtes.

Son chapeau mesure 4 à 10 cm, il est fibrilleux ou un peu méchuleux, de couleur blanc pur puis blanc-rose ou blanc grisâtre en vieillissant[5]. Sa marge est longtemps enroulée et déborde un peu du chapeau, parfois. Sa forme est d'abord hémisphérique à convexe puis devient plat avec le temps

L'hyménophore est fait de lames libres, de couleur rose vif à rose saumon puis brunes avec l'âge[5]. Sa sporée est brune.

Son stipe mesure 4 à 10 cm x 0,8 à 2 cm, de couleur blanc, parfois crème, lisse, allant en s'amincissant vers la base (en fuseau), portant un anneau blanc membraneux ascendant, court et fragile, incomplet, mal formé et souvent vite disparu[5]. Il est séparable du chapeau.

La chair est blanchâtre, rougissante légèrement et lentement à la coupe, épaisse et pleine. Sa saveur est douce et fongique[5] et son odeur est agréable, fongique, rappelant le "Champignon de Paris".

Caractéristiques microscopiques

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Ses spores mesurent 6,5 à 8,5 µm × 4,5 à 4,6 µm.

Galerie

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Habitat et distribution

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C'est un champignon saprotrophe. Il est retrouvé dans les prairies, les jardins et les prés pâturés par les vaches et surtout par les chevaux. Il pousse en troupe (c'est-à-dire en petits groupes) et, parfois, en ronds de sorcière. Il est présent dans le monde entier, surtout en Europe et en Amérique du Nord. Selon les régions, il peut être très commun à assez rare.

Agaricus campestris pousse de la fin de l'été à la fin de l'automne, entre Août et Novembre mais on peut en trouver dès le printemps.

Ce taxon se rencontre dans les pays suivants[6] : Allemagne, Andorre, Australie, Autriche, Belgique, Canada, Chine, Corée du Sud, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Géorgie, Hong Kong, Hongrie, Inde, Irlande, Islande, Israël, Italie, Japon, Luxembourg, Mexique, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Taïwan, Serbie, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Suisse, Suède, Tchéquie, Ukraine, États-Unis, Île de Man, Îles Féroé.

Comestibilité

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Rosés des prés cuits.

Le Rosé-des-Prés est un bon comestible. Il est largement ramassé et consommé. Il peut être cultivé dans des champignonnières pour être vendus en grandes surfaces. Ces champignons peuvent être dégustés sautés ou fris ou au barbecue. La saveur de ce champignon ressemble très fortement à celle des Champignons de Paris. Il est préférable de consommer les Rosé-des-Prés quand leurs lames sont encore roses et quand leur chair n'est pas vérolée. Aussi, il est déconseillé de prendre ces champignons lorsqu'eux-mêmes sont colonisés par un autre champignon provoquant une moisissure.

Il est à noter que tous les champignons du groupe des Agarics (y compris les fameux Champignons de Paris) contiennent des molécules probablement cancérigènes dont la teneur diminue drastiquement lors de la cuisson. De ce fait, même si certains auteurs continuent à dire que nous pouvons les manger crus, il est recommandé de les cuire avant de les consommer et de ne pas en manger plus de 2kg par an et par personne, et cela pour tous les Agarics.

Confusions possibles

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Les critères capitaux à impérativement retenir pour identifier le Rosé-des-près sont l'anneau fugace peu étendu, le pied en forme de fuseau et la chair blanche ne jaunissant pas, ce sont des critères obligatoires pour le différencier d'autres Agarics. Si ces critères ne sont pas présents, il vaut mieux revoir l'identification. La croyance populaire portant sur la prétendue facilité d'identification du Rosé-des-près est source directe de nombre d'intoxications chaque année, il est important de faire de la prévention quant à cette idée reçue. Il existe presque une centaine d'espèces d'Agarics en France métropolitaine, beaucoup ressemblant au Rosé-des-prés, et peu réellement comestibles.

Pour correctement identifier une espèce du genre Agaricus, les principaux critères à noter sont :

  • L'ornementation du chapeau (lisse, squamuleux, méchuleux)
  • L'anneau et ses caractéristiques (étendu, fugace, mince, épais, cottoneux, en roue dentée, pelucheux sur sa face inférieure, mince, en jupe, en chaussette, perpendiculaire, etc)
  • La forme du pied (en bulbe, en fuseau, en massue, cylindrique, terminé par une racine)
  • Le changement de couleur de la chair au grattage et à la coupe (nul, jaunissant, rougissant, faiblement, fortement, lentement)
  • L'odeur (anis, amande amère, phénol, iodée, nulle).

Confusions possibles avec d'autres Agarics

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Liste non exhaustive des autres espèces d'Agarics pouvant être confondus avec le Rosés-des-prés. Énormément de cueilleurs pensent bien connaitre cette espèce, sans imaginer le nombre d'espèces proches et souvent difficiles à distinguer. La quasi-totalité des espèces d'Agarics possèdent des lames rosées ou rosâtres avant de devenir brunes à maturité, il est donc important d'oublier le mot "rosé " pour ce qui concerne l'identification d'Agaricus campestris. Voici quelques espèces d'Agarics présents en France métropolitaine, toxiques, sans interêt, ou comestibles, plus au moins ressemblants au Rosés-des-prés et susceptibles d'être confondus avec lui :

Confusions possibles avec d'autres espèces en dehors des Agarics

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      L'Amanite vireuse (Amanita virosa), mortelle.
 
    L'Entolome livide (Entoloma sinuatum), toxique sévère.
 
  La Lépiote pudique (Leucocoprinus leucothites), sans interêt.
  •       L'Amanite printannière (Amanita verna) dont le chapeau est souvent un peu gras au toucher. Ses lames sont blanches et le resteront. Le pied est cylindrique et bulbeux à la base. L'Amanite printanière possède un anneau blanc, mince, membraneux, pendant mais qui peut aussi disparaitre. Elle a une volve blanche, en sac. Son odeur est faible puis devient agréable et florale avec l'âge. Ce champignon pousse surtout dans les forêts, sous feuillus et sur sols sablonneux. À noter que sa chair réagit vivement à la potasse donnant une couleur jaune d'or vif. Toxique, mortel.
  •       L'Amanite vireuse (Amanita virosa) dont le chapeau a une forme variable, parfois tronconique ou largement mamelonné qui peut devenir visqueux par temps humide. Ses lames sont blanches et le resteront. Le pied est méchuleux donnant un aspect "ébouriffé" et il est bulbeux à la base. La chair est fibreuse. Elle a une volve blanche, ample, en sac, parfois un peu teintée de rosâtre. Ce champignon pousse dans les forêts de feuillus mais surtout dans les bois de conifères. Toxique, mortel.
  •       L'Amanite phalloïde (Amanita phalloides) dont le chapeau a une couleur variable, généralement vert olive à vert jaune (parfois blanc !) avec des fibrilles radiales grises. Ses lames sont blanches et le resteront. Sa chair est fibreuse. Elle a un anneau blanc, strié, persistant, dit "en jupe". Elle a une volve blanche, membraneuse, en sac. Son odeur est faible ou agréable de "rose fanée". Ce champignon pousse surtout dans les forêts de feuillus. Toxique, mortel.
  •     L'Entolome livide (Entoloma sinuatum), dont le chapeau peut être plus grand, légèrement déprimé avec le temps et plus ou moins mamelonné. Ses lames sont adnées à échancrées, moins serrées et de couleur jaune beurre (jeunes) puis rosâtres. Le pied peut être plus grand et il est en forme de massue. L'Entolome livide ne possède pas d'anneau. Son odeur et sa saveur sont farineuses. Ce champignon pousse surtout sous feuillus et sur sols calcaires ou argilo-calcaires. Toxique sévère.
  •   La Lépiote pudique (Leucocoprinus leucothites), dont le chapeau est fibrilleux. Ses lames sont blanches et le resteront. Le pied est en forme de massue et la Lépiote pudique possède un anneau mince, persistant et coulissant. Sans interêt.

Pour en savoir plus

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Le poète romain Horace du Ier siècle av. J.-C. cite dans ses poésies en latin « Pratensibus optima fungis - Natura est ; aliis male creditur » (le champignon des champs est le meilleur champignon de la nature ; il ne faut pas se fier aux autres).

Jean-Baptiste de La Quintinie, jardinier-agronome créateur du potager du Roi Louis XIV du château de Versailles, en cultive dès 1670 pour le roi (fruits et légumes de la cuisine parisienne).

Le genre Agaricus a été décrit pour la première fois en 1753 par le Suédois Carl von Linné. Il regroupait alors tous les champignons qui avaient des lamelles sous le chapeau.

Les mycologues ont ensuite découpé cet énorme ensemble en de nombreux genres de taille plus modeste et aujourd'hui, ce nom ne s'applique qu'a des champignons à chair fibreuse, à lame libres et à spores brun chocolat ou noirâtre.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle[réf. incomplète]
  2. ANSES, « Intoxications accidentelles par des champignons en France métropolitaine - Rapport d’étude de toxicovigilance »
  3. a et b GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 1 mai 2024
  4. « MycoDB : Fiche de Agaricus campestris », sur www.mycodb.fr (consulté le )
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t Guillaume Eyssartier & Pierre Roux : Guide des champignons – France et Europe – 4ᵉ édition, Belin, 2017.
  6. UICN, consulté le 1 mai 2024
  7. « MycoDB : Fiche de Agaricus xanthodermus », sur www.mycodb.fr (consulté le )
  8. Patrice TANCHAUD, « Agaricus xanthodermus », sur mycocharentes
  9. (en) Peter Jordan, The Mushroom Guide and Identifier: The Ultimate Guide to Identifying, Picking and Using Mushrooms, London, Hermes House, (ISBN 1-84038-574-X), p. 100
  10. Patrice TANCHAUD, « Agaricus bresadolanus », sur mycocharentes
  11. « MycoDB : Fiche de Agaricus bresadolanus », sur www.mycodb.fr (consulté le )
  12. Patrice TANCHAUD, « Agaricus moelleri », sur mycocharentes
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  15. Patrice TANCHAUD, « Agaricus pseudopratensis », sur mycocharentes
  16. Patrice TANCHAUD, « Agaricus menieri », sur mycocharentes
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