Wikipédia:Liste de canulars/Abolition de l'heure du thé en Angleterre

L’abolition de l’heure du thé est un thème récurrent en politique anglaise. En effet, il a fréquemment été question de modification voire de suppression de cette coutume millénaire. Mais à chaque époque, chaque dirigeant de ce pays ayant tenté de prendre une mesure s’est heurté à un refus catégorique face au changement. Malgré tous les arguments avancés (dont un bon nombre étaient plus que justifiés), la population anglaise (ou ses représentants), fort respectueuse des traditions, n’a jamais fléchi ni changé d’avis : l’heure du thé, qui a remplacé l’heure de l’eau chaude[N 1], cette coutume, cette institution, ne pouvait souffrir aucune modification, si futile soit-elle.

Mais les membres de la dynastie des Stuart (dynastie de souverains ayant régné sur l’Angleterre de 1603 à 1714), habitués aux pratiques autoritaires et absolutistes, ont tenté par deux fois de modifier cette coutume de force : tout d’abord avec Jacques Ier (1603-1625) dont la tentative fut vite enterrée par le Parlement, de sorte que le peuple n’eut pas connaissance de cet acte, ensuite sous le règne de Charles Ier (1625-1649) qui aboutit à une guerre civile et à la révolution.

Cette mesure ne fut évidemment pas la seule cause du soulèvement massif de la population. Aussi, nous[Qui ?] rappellerons succinctement d’où vient cette coutume, le contexte historique dans lequel la mesure concernant son abolition s’inscrit, et nous étudierons plus précisément ses conséquences multiples.

Apparition du thé en Angleterre modifier

La guerre romano-bretonne : facteur décisif de cette apparition modifier

C’est aux environs de 50 avant Jésus Christ que les premières feuilles de thé parviennent dans ce pays alors appelé Bretagne[1].

Les armées romaines menées par l’empereur Jules César tentent de conquérir la Bretagne, pays traître ayant apporté plusieurs fois son aide aux Gaulois dans leur combat contre Rome[2],[3],[4],[5],[6]. L’armée romaine, connue pour ses stratégies d’attaque infaillibles et ses nombreuses victoires, se heurte à des Bretons implacables, courageux et très organisés[7]. Leur défense est exemplaire, et pendant un temps ils tiennent tête aux romains[8]. Seulement, ils ont un défaut important, qui sera même décisif dans la finalité du conflit : les Bretons, fidèles aux traditions ancestrales, stoppent toujours toute activité à dix-sept heures pour aller boire ce qu’ils appellent de l’eau chaude et s’arrêtent de travailler deux jours tous les cinq jours[9].

Jules César, fin stratège (qui est maintenant mort[N 2]…) décide donc de les attaquer uniquement à partir de l’heure destinée à la consommation de l’eau chaude ainsi qu’aux jours de repos[10]. Très vite, les Bretons sont submergés et doivent capituler[11].

Naissance de la coutume modifier

(Astérix et Obélix chez les bretons) Seul un petit village peuplé d’irréductibles Bretons parvient à résister à l’Empire romain. Sachant qu’ils ne peuvent résister longtemps face aux légions romaines et ayant entendu parler de Gaulois dissidents résistant à Rome, les Bretons dépêchent un messager en Gaule afin de leur demander leur aide[12]. Ces Gaulois acceptent de fournir aux Bretons une aide plus que précieuse : deux d’entre eux (un petit rusé aux moustaches jaunes et un gros costaud aux tresses rousses, d’après certaines descriptions d’époque[B 1]) sont envoyés avec un tonneau contenant une de leurs armes les plus efficaces, à savoir une boisson énergisante permettant de décupler leur force[13].

Mais, en cours de route, une mésaventure dramatique aboutit à la destruction du tonneau et à la perte de son précieux contenu[14]. Le plus rusé des deux Gaulois a alors l’idée de fabriquer une potion factice qui redonnerait du courage aux Bretons[15]. Il fait bouillir de l’eau et y introduit simplement quelques feuilles d’une plante donnée par son druide[16]. Les Bretons, croyant à ce miracle, parviennent à battre les Romains. Toute la Bretagne, suite à ce coup d’éclat, se soulève et les Romains sont chassés[17].

Stimulés par cette victoire, les Bretons louent les effets de la plante et son goût qui, selon leurs critères, est exquis[18]. Désirant en obtenir davantage afin d’en consommer régulièrement, ils concluent un pacte avec les Gaulois qui les approvisionneront pendant longtemps[19]. On apprendra par la suite que ces plantes provenant de lointaines contrées barbares étaient appelées thé[20].

Ainsi naît la coutume consistant à consommer du thé chaque soir vers dix-sept heures.

L’abolition de l’heure du thé : contexte historique et conséquences multiples modifier

Plusieurs tentatives d’abolition de l’heure du thé ont avorté au cours de l’histoire. Nous ne verrons ici que celles faites par les deux premiers membres de la dynastie des Stuart ayant régné sur l’Angleterre. En effet, leurs conséquences ont eu d’importantes répercussions sur l’histoire du pays (en particulier la tentative de Charles Ier).

La tentative avortée de Jacques Ier modifier

Nous sommes au XVIIe siècle. L’Angleterre est sous le règne de la dynastie des Stuart, plus précisément sous l’autorité de Jacques Ier. Son ambition ayant toujours été le pouvoir sous la forme de monarchie absolue de droit divin (nous pouvons notamment nous référer à son ouvrage The True Law of Free Monarchies), Jacques Ier gouverne en temps que tel et ne laisse passer presque aucune concession au peuple. Il se réfère le moins possible au Parlement qui a pourtant en Angleterre une importance non négligeable (notamment la Chambre des communes, représentante du peuple). Il entre plusieurs fois en conflit avec le Parlement car prenant trop de décisions sans son accord.

La décision de l’abolition de l’heure du thé sera une de ses seules concessions et le commencement de sa chute : en 1620 lui vient cette idée ; Jacques Ier désire avant tout supprimer cette institution qu’il juge inutile et dangereuse. Seulement, il tente de la modifier de façon trop brusque, ce qui déplaît fortement au Parlement. Ce dernier sait pertinemment qu’un bouleversement de cette ampleur ne sera pas sans conséquences sur les agissements du peuple : il redoute par-dessus tout un soulèvement massif de la population. Après de nombreuses négociations - tenues secrètes - au cours desquelles le Parlement exerce sur le roi une forte pression par la menace notamment de réduire considérablement son pouvoir, Jacques Ier décide d’abandonner ce sujet, qui sera rapidement et volontairement laissé à l’oubli. D’autres projets importants sont portés à exécution (notamment la mise en place de nouveaux impôts), mais son entêtement à vouloir décider seul sans l’avis du Parlement le conduira à perdre son appui et sa popularité auprès du peuple. Jusqu’à sa mort en 1625, Jacques Ier ne prendra plus que des décisions de moindre importance.

Prise de pouvoir et chute de Charles Ier modifier

Charles Ier, fils cadet de Jacques Ier, lui succède en 1625 après sa mort. À l’image de son père, Charles Ier ne tolère pas que le Parlement puisse avoir une quelconque emprise sur son pouvoir, et très vite il décidera de gouverner en monarque absolu. Dès 1629, il ne fait plus appel au Parlement. Il crée librement de nouveaux impôts, une nouvelle taxe douanière et exerce des pressions fiscales sur la noblesse et la haute bourgeoisie. Durant cette période, le roi est assimilé à un tyran. Vient alors sa première tentative –détournée et discrète– d’abolition de l’heure du thé : couplée aux précédentes décisions très critiquées, il ne peut plus résister aux pressions du peuple qui commence à se soulever. En 1640, Charles Ier est contraint de convoquer le Parlement. Mais il ne tarde pas à sombrer à nouveau dans sa volonté de suprématie et il dissout le Parlement quelques semaines seulement après sa convocation. Son règne tyrannique se poursuit sous la menace constante d’une explosion du peuple. La guerre civile pointe dangereusement en Angleterre.

En 1642, Charles Ier décide de prendre la Chambre des communes de force : mais le Parlement est fort car soutenu par le peuple. Sous la menace – bien trop redoutable – du soulèvement du peuple, le roi se retire à Nottingham et rassemble une armée de fidèles. Son objectif est de mater la rébellion naissante. Entre temps, il impose une nouvelle mesure : il déclare publiquement l’abolition du rituel de la consommation du thé. En guise d’exemple, il exécute toute une famille paysanne pour avoir enfreint cette nouvelle loi le lendemain de sa mise en application.

À l’annonce de cette horreur, le peuple entier se révolte et la guerre civile éclate : deux camps se forment, avec d’un côté les Têtes Rondes (les défenseurs des libertés anglaises et des droits du Parlement) et de l’autre les Cavaliers (le parti du roi Charles Ier). Des alliances se créent également : alors que les Têtes Rondes concluent un pacte avec l’Écosse, Charles Ier obtient le soutient des Irlandais. La guerre civile se généralise donc, chaque couche de la population étant concernée. D’importantes ressources sont détournées pour permettre aux hommes en guerre de se nourrir, se protéger et se déplacer.

Les deux camps sont successivement en position de vainqueurs et de vaincus. Toutefois, un coup terrible est porté dans les rangs des Têtes Rondes par des espions infiltrés des Cavaliers : toutes les réserves de thé sont enflammées puis dévorées par les flammes. Aucune action n’a pu sauver les réserves, et à l’annonce de cette traîtrise, les rangs des Têtes Rondes connaissent une chute de moral importante. Les quelques combats qui suivent font subir de lourdes pertes à des soldats lassés par la guerre. Mais un brillant meneur du nom de Cromwell parvient, grâce à son inflexibilité et son sens inné du commandement, à redonner le moral à ses troupes, les garder soudées et à les relancer dans la bataille. La guerre se radicalise alors puis les Cavaliers sont finalement défaits par Cromwell à Naseby, le 14 juin 1645. Cette défaite entraîne la fuite du roi en Écosse, où il doit finalement se rendre le 5 mai 1646. Il est ensuite ramené au Parlement de Londres en janvier 1647. Il réussi à s’échapper le 15 novembre, mais est retrouvé et fait à nouveau prisonnier le 30 novembre 1648. Il est traduit en justice, condamné à mort, puis exécuté le 30 janvier 1649.

Bien que le roi ait accepté la mort avec dignité, il fut exécuté une feuille de thé placée de force dans la bouche, lui rappelant avant de mourir combien il était fou de s’opposer à tout le peuple anglais, qui plus est quand il s’agissait de coutume, les Anglais attachant un grande importance à la transmission du patrimoine culturel de leurs ancêtres.

Après la mort du roi, Cromwell s’installe au pouvoir et instaure une sorte de despotisme puritain. Il comprend naturellement qu’il serait vain de tenter quoi que ce soit concernant la coutume de l’heure du thé, sinon de décider son maintien. Ainsi la première décision de Cromwell fut la restauration de cette coutume, redonnant le faible espoir d’une vie meilleure à des Anglais désespérés.

Conséquences modifier

Les conséquences de cette guerre civile (dont l’élément déclencheur fut la décision d’abolition de l’heure du thé) sont multiples mais, contrairement à l’idée générale, pas si désastreuses qu’elles ne le laissèrent supposer à l’époque.

Sur le plan économique, l’Angleterre est très mal en point. La grande majorité des ressources ont servi aux soldats partis en guerre. Beaucoup de villages ont été incendiés et des villes entières doivent être reconstruites, les deux camps combattant n’ayant jamais épargné leurs adversaires. Le commerce est donc extrêmement difficile et nombre de commerçants se voient contraints de fermer boutique et d’aider les ouvriers sur le terrain.

Sur le plan financier également l’Angleterre est en chute libre (allant de paire avec le plan commercial). De nombreux emprunts effectués auprès des Écossais comme des Irlandais la place en mauvaise posture. Mais les Irlandais, ayant choisi le camps des vaincus, sont ignorés, Cromwell arguant qu’un traitre n’a d’égards à recevoir, et que l’Angleterre est déjà bonne de ne pas occuper la petite île. Les Irlandais se font ainsi oublier.

Les conséquences humaines ne sont pas si désastreuses qu’elles ne le laissaient penser. De nombreux morts sont à déplorer, tant « civils » que « militaires », et certains documents d’époque parlent de plusieurs dizaines de milliers. Mais là où nombre de dirigeants s’accordaient à dire qu’il y aurait désastre, l’évolution est finalement largement positive.

Cela concernait le moral de la population anglaise. Après une guerre impitoyable, des destructions considérables et une chute sensible des conditions de vie – déjà difficiles – tous s’attendaient à devoir gérer, sinon un abandon total, au moins une démotivation collective. Mais, à la surprise générale, le peuple anglais n’a d’autre requête que de réintroduire assez de thé pour que la population puisse en profiter pleinement. Et, encore une fois au grand étonnement des dirigeants du Parlement, l’avis est (quasiment) unanime. Il est donc décidé de se procurer de grosses quantités de thé et les Anglais, en attendant son arrivée, se mettent à reconstruire les villes et villages détruits et à reprendre leurs vies respectives.

Évolution de cette coutume du XVIIe siècle à nos jours modifier

Pendant longtemps la coutume dite de l’heure du thé sera pratiquée par les Anglais. Plus qu’un simple héritage ancestral, c’est le symbole de leur libération du joug des autoritaristes de la famille des Stuart et de leur combat pour parvenir à conquérir cette liberté.

Au fil des ans, les Anglais ajoutèrent des ingrédients dans leur thé, variant les plaisirs (« Car, répondait un Anglais interrogé, la consommation du thé dois rester avant tout un plaisir ! N'oublions pas qu'elle symbolise notre liberté ! Ô joie exubérante ! »).

Ainsi, ils commencèrent simplement par mettre dans leur collation de dix-sept heures a cloud of milk, ou nuage de lait (ce qu’ils faisaient déjà alors qu’ils ne buvaient que de l’eau chaude), puis en vinrent aux ajouts d’aromates ou aux combinaisons avec d’autres saveurs, donnant naissance aux variantes de thé que l’on connaît actuellement (du thé vert au thé à la menthe en passant par le thé gingembre-citron vert-tilleul, le thé à la bergamote ou encore le thé aux extraits de pudding, ce dernier étant très récent et peu commercialisé).

Les coutumes n’échappent pas non plus à la règle dictée par le temps et ne sont pas éternelles, même chez les Anglais, si bien que l’on a constaté, depuis le XXe siècle, une baisse progressive de la pratique régulière de cette coutume dans les foyers.

Gastronomes, anthropologues, psychologues, psychanalystes, politiques, journalistes même, et bien d’autres experts venus de différents domaines ont créé une commission spéciale et bénévole chargée d’étudier la question et de trouver des solutions face à un éventuel risque de disparition du tea time. Jusqu’à présent, aucun résultat n’a été publié, cette commission continuant ses recherches sur le terrain, ses analyses et ses conférences, mais nous sommes en droit d’espérer, d’ici quelques années, de recevoir quelques informations situant clairement la place de la coutume de l’heure du thé en Angleterre aujourd’hui.

Une ingérence européenne ? modifier

Un hebdomadaire britannique réputé pour son sérieux et son intransigeance[P 1] a récemment évoqué dans son site internet l'existence d'une « directive européenne secrète », dont l'une des dispositions entraînerait ipso facto l'abolition de l'heure du thé. Elle établirait à cette fin des pénalités pour le moins significatives : le supplice des écrouelles pour les résidents dont le nom commence dans une lettre comprise entre A et H, l'envoi d'une lettre recommandée menaçant entre autres la suspension de l'abonnement au minitel[N 3] pour les résidents dont le nom commence par une lettre comprise entre H et Z.

L'identification de cette directive reste sujette à caution. Un article de la Directive n°154629Fr461s65-XXXX sur l'harmonisation des concordances des temps a été pointé du doigt, mais dans une étude assez serrée diffusée sur son blog, Maître Eolas montre que l'article en question est nécessairement cassé par l'arrêt de jurisprudence Æþð rendu par la cour de Mercie en 718[P 2].

Il se pourrait que la directive soit effectivement secrète. Plusieurs études sociologiques récentes sur la composition des instances dirigeantes de l'Union Européenne, montrent que la Commission (et dans une moindre mesure, le Parlement) sont investis par de nombreuses cabales. Ces dernières expriment des intérêts plus ou moins occultes dont les origines se perdent dans la nuit des temps.

Polémiques modifier

Les polémiques liées à l'abolition (ou la non-abolition) du thé sont innombrables. Parcourant l'Angleterre dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, le baron de Sado-Maso a entrepris de recueillir un vaste corpus de verbatim sur cette question. Commencée le 5 août 1940 dans des circonstances assez pénibles (la météo annonçait une rafale d'obus), son enquête s'est achevée calmement le 25 juin 1929[N 4]. En tout et pour tout, le baron amassa quelques 500 000 témoignages, regroupées sur 1 000 000 de pages. Jusqu'à aujourd'hui, ce travail monumental n'a jamais été publié — même si le Collège de 'Pataphysique s'est fermement engagé à éditer un volume annuel de 100 pages d'ici à 2055[P 3]. Faute de trouver preneur, Sado-Maso en tira un vague succédané, lors d'une communication de deux minutes destinée au Colloque local de papyrologie appliqué de Saint-Pouilleux.

Nécessairement condensée, sa présentation ne faisait état que de deux des positions les plus notables : celle de la communauté judaïque anglaise et celle d'une organisation allemande qui détenait une petite succursale londonienne. Consacrant exactement une minute à chaque positions, Sado-Maso subdivisa son texte en deux parties : la minute pour les juifs et la minute pour Hitler.

La Minute pour les juifs modifier

En 1748, le rabbin Elie Marx décida soudainement de retarder de cinq minutes l'heure de son thé. Elie Marx était un homme d'influence, apprécié pour son humour et sa sagacité : on n'osa le contredire. Cette coutume se perpétua dans la famille Marx, y compris après sa séparation en deux branches : la branche allemande des Marx-qui-pleure et la branche américaine des Marx-qui-rit. L'influence considérable qu'ont pu avoir ces deux branches tout au long du XXe siècle a contribué à généraliser la pratique du five-five-tea-time (ou heure du thé de cinq heure cinq) au sein de la communauté juive.

La Minute pour Hitler modifier

Cette minute est tout entière occupée par une citation unique d'un propos de Hitler émis apparemment en 1913, au dos d'une carte postale représentant une orgie érotique dans une taverne bavaroise. Rédigé dans un dialecte mal connu, truffé d'argot et d'une écriture compacte, ce texte a longtemps défié les historiens et les linguistes. Dans sa communication de 1941, Sado-Maso n'en propose qu'une version imparfaite. La meilleure transcription existante a été établie le cinéaste Charles Chaplin, pour les besoins d'un film à succès :

« EigenestrrrrrrechkÜüts der stress, der staggue, der, da banana, ßössöböme crrttteeisliüÜ, englander einübervorausaufhinenaußerinnkanngestellt. Die Abschaffung der Stunde des Tees Stimnt. Ja gute bravo… Es ist alles shitamerdascheiss »

Une fois qu'on a ôté les nuances insaisissables et les habillages rhétoriques de ce texte, la traduction prend la tournure suivante :

« Faut abolir l'heure du thé. C'est de la …[B 2] »

Appareil critique et épistémologique modifier

Notes modifier

  1. Comme on le verra développé plus subséquemment dans le courant de ce présent article, les premières feuilles de thé ont été importées en Grande Bretagne par Astérix (voir Astérix chez les Bretons).
  2. Son prétendu fils adoptif, Brutus, a laissé des descriptions suffisamment digne de foi à ce propos pour qu'il ne soit nécessaire d'expliciter ce postulat plus avant
  3. Comme le souligne très exactement Julius Krasnoïark dans son excellente synthèse, les directives européennes ont tendance à s'accumuler comme autant de strates archéologiques : il n'y a donc rien de surprenant à ce qu'une disposition de 2011 fasse référence à des techniques antérieures de vingt ans
  4. Nous avions bien dit dans le sens inverse des aiguilles d'une montre…

POVs, foutages de gueule et autres prises de positions partiales modifier

  1. Soit dit en passant, la presse française est très éloignée de ce niveau d'exigence : elle est devenue le véritable réceptacle du fiel de jaloux et de prétentieux qui n'ont rien de mieux à faire que de traîner not'bon président dans la boue — seul un quotidien satirique (du moins il l'était en 1826) échappe à cette ambiance déplorable
  2. Ce qui tombe évidemment sous le sens : à quoi bon payer à prix d'or des avocats (au cours de mon dernier divorce le barème était de 400 € de l'heure) s'ils sont infoutus de réinventer l'eau tiède
  3. Ce qui prendra la bagatelle de 10 000 ans. Encore des chercheurs payés à rien foutre pendant une éternité…

Private Jokes (blagues privées dirait-on en bon français) à l'attention des vraiswikipédiensTM modifier

  1. Des gravures au burin de l'an -10 réalisées par une tribu batave permettent de s'en faire une juste idée. Suite à l'allongement de la durée des droits d'auteur à 2015 ans, et l'abandon du fair use pour les gravures d'époques romaines, elle ne peuvent être reproduites ici. On peut les retrouver notamment dans le dernier numéro des Nouvelles de l'estampe
  2. Ce terme a été reconnu comme relevant d'un registre de langue vulgaire ou familier par votre Filtre de texte et a été remplacé à cette fin par des points de suspensions. Veuillez en changer les paramètres en suivant la procédure telle que décrite par le mode d'emploi des filtres de la Wikimedia Foundation p. 1155-1856

Références modifier

Bibliographie modifier

  • [Goscinny & Uderzo -45] (la) Renatus Goscinny et Albertus Uderzo, Astérix chez les Bretons : Relation d'un gaulois sur d'estranges & redoutables peuplades d'outre-manche, Lutèce, Hachette, , 52 p.  
  • [Sado-Maso 1941] (it) Carlo-Maria-Veneto-Turpido de Sado-Maso, « Analyse d'un archétype du traitement médiatique dans la presse anglaise naissante : le cas de l'abolition », dans Hegel Brothers, Actes du LCCXXXVIIIe colloque local de papyrologie appliqué, t. II, Saint-Pouilleux, , 532-532 p.
  • [Krasnoïark 2015] (ur) Julius Krasnoïark, Structures, témoins, mémoires de l'abolition interrompue : Analyse de la résistance sociale d'une coutume anglo-saxonne contre l'irruption du quadrillage normatif de la modernité, Königsberg, Mocheslettres, , 5170 p.  

Liens externes modifier

Articles connexes modifier