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Jardin des Disparus
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Gladys disparue de Cordoba

Graciela Geuna et Teresa Maschietti (voir Q126722920) étaient dans le camps de la Perla (voir Centre clandestin de détention#Province de Córdoba : La Perla et le centre du D-2.

2 oct 2000 fondation du jardin à Meyrin : élargissement à tous les disparus du monde Teresa Meschiati l'a fondé (Tina)[1] retournée en Argentine[2],[3],[4]

Deux rescapées du camp de l'ESMA Escuela de Mecánica de la Armada, une enterrée au cimetière juif à Veyrier: Sara Osatinsky[5] (4 enfants tués et son mari (es) aussi) et Ana Maria Marti 3.

Le jardin des disparus (film). présenté au FIFDH

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Film présenté au FIFDH[6][7]

Marta Suarez, interviewée

meyrinoise active au jardin Arta Kryeziu d'origine kosovare

Émilienne (nom de famille ?)

Antonio Hodgers et Sylvia Hodgers

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Antonio Hodgers = fils de disparu (mère = Sylvia Hodgers du ballet béjart et a rejoint la révolution). => mettre à jour Wikidata voir le livre qu'ils ont écrit avec son ex femme Sophie Balbo et sa mère préface de Pierre-Alain Tschudi.

  • Antonio Hodgers, Sophie Balbo et Pierre-Alain Tschudi (préfacier), Fils : biographies de Silvia et Antonio Hodgers, Vevey, éditions de l'Aire, , 178 p. (ISBN 9782940478866, présentation en ligne). Écrit par Antonio Hodgers et par sa femme Sophie Balbo, l’ouvrage raconte la vie de Sylvia Hodgers (la mère d’Antonio, sous la plume de Sophie) et celle d’Antonio Hodgers (par lui-même)[8],[9],[10]

Une cérémonie a été organisé pour Srebenica. Ce sont beaucoup les femmes qui ont porté ces mémoires (elles fait des rondes aussi avec des foulards portant le nom des personnes disparues à Tuzla)

18ème anniversaire du Jardin des disparus sur les bébés volés de la dictature franquiste[11]

Alexei Jaccard

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Alexei Jaccard [12]

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Le Jardin des disparus est un lieu de mémoire pour les personnes victimes de disparition forcée dans le monde. Il est inauguré en 2000 en face du cycle de la Golette à Meyrin dans le parc de la Golette.

Contexte

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De 1982 à 1992 des manifestations se tiennent pour les disparus victimes de la dictature en Argentine à l'avenue Chantepoulet les derniers jeudis du moi, qui prennent la forme de rondes silencieuses par des femmes arborant des foulards blancs (mères de la place de mai)[1].

En novembre 1999 l'association Memoria Viva fondée et présidée par Teresa Maschiatti lance l'idée d'un Jardin des Disparus à la mémoires des victimes de disparitions forcées[1].

 
Point d interrogation-sculpture d'Anne Blanchet

Le 7 octobre 2000 l'association Jardin des disparus inaugure au parc de la Golette[13] avec le soutien de la commune de Meyrin un espace dédié à la mémoire des personnes victimes de disparitions forcées dans le monde[14], quelque soit leur origine ou leur religion[15]. Selon Catherine Haus présidente de l'association Jardin des Disparus, le lieu sert de lieu de recueillement pour les proches des personnes disparues qui ne peuvent se rendre dans un cimetière mais aussi de lieu de revendication pour continuer d'exiger la vérité sur le sort de ces personnes[15]. A Meyrin il y a 140 nationalités, beaucoup des personnes étaient touchés par la disparition forcée de proches originaire d'Afrique, des Balkans ou d'Amérique latine, qui souhaitaient avoir un lieu de recueillement et de revendications[15].

La stèle commémorative dessinée par Jenny Bettancourt est installée en 2000 complétée plus tard par une sculpture d'Anne Blanchet, intitulée Point d'interrogation[15][16].

Historique

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Pour le dixième anniversaire du Jardin des disparus, le film documentaire Tierra de Nadie[17] sur appel d'offre est réalisé par Marisa Cornejo, plasticienne éxilée du Chili et d Pascal Baumgartner, réalisateur. Le réalisateur suit Jenny Bettancourt pendant un voyage au Chili à la recherche de son frère disparu à à Punta Arenas, au Chili[18]. Pascal Baumgartner a rencontré Jenny Bettancourt en 2003 au Jardin des disparus, alors qu'il tournait un film sur les disparitions forcées pour le CICR, film qui met en avant le Jardin des disparus[19]. Le projet d'un film suivant les recherches de proches de victimes au Rwanda, au Kosovo et au Chili est discuté avec l'association du Jardin des disparus, mais c'est le périple de Jenny Betancourt qui est finalement retenu[20].

Références

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  1. a b et c « Historique – Jardin des Disparus » (consulté le )
  2. Charles Heimberg, « Une "rivière de sang qui sépare le passé du présent" de l'Argentine: témoignage de Teresa Meschiati de l'Association Memoria viva (Genève) », Cahiers d'histoire du mouvement ouvrier, vol. 14,‎ , p. 83 (ISSN 1424-0475, DOI 10.5169/seals-520350, lire en ligne, consulté le )
  3. (es) Cba24n, « Teresa Meschiati, sobreviviente de La Perla: "Tenía necesidad de contar mi debilidad" », sur Cba24n, (consulté le )
  4. « Un homme de confiance de la Suisse fait l'apologie de la dictature argentine », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  5. (es) Página/12, « Sara Osatinsky: "El represor Vergez me contó paso a paso el asesinato de mi marido y de mis hijos de 15 y 19 años" | El testimonio de la sobreviviente de la ESMA, que murió ayer, en el juicio por La Perla », sur PAGINA12, (consulté le )
  6. PROJECTION | Le jardin des disparus, 20 ans d’activités, de commémorations, de luttes · Fondation FIFDH (90 minutes) Consulté le .
  7. « PROJECTION | Le jardin des disparus, 20 ans d’activités, de commémorations, de luttes · Fondation FIFDH » (consulté le )
  8. Biographies de Silvia et Antonio Hodgers, 2013..
  9. Marc Moulin, « Antonio Hodgers : « Je n’en ai jamais voulu à mes parents » », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
  10. Carole Vann, « Portrait. Silvia Hodgers danse le jour où sa vie a basculé - Le Temps », Le temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  11. Achille Karangwa, « Espoirs pour les bébés volés », sur Le Courrier, (consulté le )
  12. Grand Conseil, « Proposition de motion pour un auditoire universitaire « Alexei Jaccard » »   [PDF], sur https://ge.ch/
  13. photosvideo.ch, « Commémoration des 20 ans du Jardin des disparus à Meyrin », sur LacTU, (consulté le )
  14. « Jardin des disparus, Meyrin, Genève. », sur notrehistoire.ch, (consulté le )
  15. a b c et d (de) « Couleurs locales - Le "Jardin des Disparus", à Meyrin dans le canton de Genève, lieu consacré à la mémoire et au recueillement depuis plus de 20 ans. - Play SRF » (consulté le )
  16. Fonds d’Art contemporain de Meyrin, « Anne Blanchet-Point d’interrogation-Jardin des disparus », Plaquette,‎ (lire en ligne [PDF])
  17. (en-US) « Tierra de nadie », sur IDIP FILMS (consulté le )
  18. Emmanuel Deonna, « Où la mémoire refleurit »  , sur Le Courrier, (consulté le )
  19. (en) CICR, « The missing : briser le silence = The missing : end the silence = The missing : rompamos el silencio »  , sur ICRC Audiovisual archives, (consulté le )
  20. Carole Vann, « Un film suisse brise le silence sur les disparitions forcées »  , sur SWI swissinfo.ch, (consulté le )

Articles connexes

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Liens externes

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