Utilisateur:Réglisse290776/Brouillon

Sanctuaire légendaire dans lequel serait conservé un trésor d'une valeur inestimable.

Histoire modifier

 

Le trésor caché de la veine suprasonique n’a jamais été découvert et suscite depuis plus de 500 ans la convoitise de nombreux explorateurs. Les premières références à son existence ont été identifiées dans le Libro de los epítomes, manuscrit assemble par Fernand Colomb au début du XVème siècle. Le manuscrit, composé des résumés d'environ 2 000 livres, contient un unique ouvrage inédit décrivant un trésor fabuleux et le moyen d'y accéder. La description de la veine suprasonique est émaillé de mises en gardes contre les dangers présents sur le trajet. Le Libro de los epítomes détaille également certaines informations permettant de décrypter les énigmes et d'éviter les pièges destinés à éliminer les importuns cherchant à atteindre le trésor. Malgré les éléments contenus dans ce manuscrit, personne n'a jamais trouvé l'emplacement exact de la veine. D'autres références à la veine suprasonique ont été répertoriées dans divers ouvrages de botanique et de zoologie du XVIIème au XIXème siècle.

Localisation modifier

Les caractéristiques décrites sont typiques de la végétation tropicale présente en Asie du Sud-Est c'est la raison pour laquelle on suppose que son emplacement se situe dans une zone comprise au nord du 11ème parallèle et au sud du 26ème parallèle et entre le 91ème et le 131ème méridien. La veine suprasonique est composée d’un ensemble de galeries terrestres et immergées couvrant plusieurs centaines de kilomètres.

Description modifier

 

L'enchevêtrement des galeries, dissimulées par la luxuriante végétation, fait de la veine suprasonique un endroit dangereux ayant vraisemblablement coûté la vie à de nombreux explorateurs. La profondeur des veines souterraines, pouvant atteindre plusieurs dizaines de mètres ainsi que les reliefs escarpés, font de cette zone un lieu propice aux chutes et aux accidents.

La flore décrite dans l'ouvrage Souvenirs d'un voyage autour du monde, de George Samuel Perrottet publié en 1831 répertorie plusieurs plantes ayant des propriétés potentiellement mortelles : pollen paralysant de la Tubera ribensis, épines imprégnées d'une substance neurotoxique apparentée au curare de la Persistia metro fortunae, toxines hallucinatoires des fruits du Barcatio pedigorar.

Edward Topsell décrit une faune particulièrement agressive dans son History of Four-Footed Beastes. Plusieurs de ses compagnons ont succombé aux attaques des prédateurs et animaux présents sans cette région : Mammifères, reptiles, arthropodes.

Explorateurs célèbres modifier

 

Hormis les naturalistes cités précédemment, plusieurs chasseurs de trésors et explorateurs se sont risqués à la recherche de la veine suprasonique.

Jan Nieuhof, explorateur hollandais a décrit, dans une annexe méconnue de son Het Gezantschap der Neerlandtsche Oost-Indische Compagnie, aan den Grooten Tartarischen Cham, den legenwoordigen Kzier van China, l'exploration qu'il a menée en 1660.

Fernao Mendes Pinto, aventurier et explorateur portugais, a exploré, lors d'une période où il pratiqua la piraterie, la jungle correspondant aux territoires birmans et thaïlandais à la recherche du trésor de la veine suprasonique. Il relate dans Pérégrination, les écueils rencontrés sur le chemin et combien cette aventure lui a coûté tant en termes financiers et humains.

Anecdote modifier

Les obstacles jalonnant le parcours au travers de la veine suprasonique nécessitent à la fois endurance, force physique, mental et réflexion : ponts suspendus, franchissement de gouffres, accès s'activant par des mécanismes sophistiqués ... L'institut Berggruen a émis l'hypothèse dans un document de travail secret ayant fuité inopinément, que Le siècle aurait créé un certain nombre de jeux pour grand public afin de sélectionner de potentiels candidats à de futures expéditions, jeux dans lesquels, une lutte sans merci voit s'affronter hommes et femmes dans un environnement hostile et des conditions de survie extrêmes.