Utilisateur:Noliscient/Brouillon/Autres

Machins[1].


C'est cassé là : « Séquence vidéo de Welwitschia mirabilis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cerimes.fr, SFRS-CERIMES

Bla exceptionnellement élevés[Combien ?] meuh. Ceci sans compter les édrisseurs de mourflon[Quoi ?].

On s'applique à citer proprement une page[2] de la Toile[3].

À présent, ceci est un paragraphe longuet qui pèche cruellement par la totale absence de citation, référence ou source. On le signale adéquatement par un {{refnec}} dont la portée s'étend à l'intégralité dudit §, c'est plus joli qu'un soulignement s'étalant sur plusieurs lignes, lequel rend la lecture pénible et in fine décourage la correction.


Ici c'est codé.

Ci-dessous itou :

…ions en Iran · Invasion de l'Ukraine par la Russie  –  Armada · Ligue des…
..............^....................................._^_....................
Codage multilignes modifier

Il est d'ailleurs fréquent, que les articles traitant d'œuvres musicales soient adjoints d'enregistrements. Ledit modèle, et ladite documentation, sembleraient d'ailleurs mériter une mise à jour : on trouve par exemple, dans l'interface graphique, et précisément dans cet ordre,

   fichier02
   fichier01
   titre01
   titre02
   fichier03
   titre03

ce qui est, j'avoue, un tantinet dissuasif.

On trouve aussi dans le formulaire des champs qui ne semblent n'avoir aucun effet sur le résultat, comme légende ou encore texte, ou même sources. Sont-ce là ceux qui sont visés par le mystérieux bouton « Masquer les inutilisés » ?

Enfin, j'aurais aimé créditer les interprètes, qui le méritent biens tout bénévoles qu'ils soient. (En l'occurence la pianiste pianist Ursula Oppens and le DuPage Symphony Orchestra). Il ne semble pas que le modèle s'y prête, ce qui au moins est cohérent avec le fait que la documentation ne semble rien prévoir d'audible ;-)


Rainer Werner Fassbinder Foundation, « Berlin Alexanderplatz (1979/80) » (consulté le )

Principes clés modifier

Les différentes associations et institutions qui défendent la vie privée comme le CNIL ou les RSF en France, ont voulu que chaque citoyen ait une plus grande maîtrise de ses informations personnelles.

En effet, afin de maîtriser l’usage qui est fait des informations personnelles des citoyens, il est important de contrôler et d’avoir connaissance de qui détient des informations sur eux et quel est le type d’informations personnelles détenues.

Ceci permet d’éviter de se faire interpeller (par téléphone, par courrier, par courriel…), de pouvoir modifier ses propres informations ou encore d’avoir des influences sur ses chances de trouver un emploi.

Sans contrôle de ses informations, des personnes malveillantes pourraient les utiliser contre les citoyens. On peut prendre l’exemple du totalitarisme : il ne faudrait pas qu'en cas d'installation d'un tel régime, celui-ci puisse « avoir accès à des informations de ségrégation ».

Ces demandes de maitrise des informations personnelles ont parfois été reçues :

Cela a débuté avec la Directive 95/46/CE sur la protection des données personnelles, l'Union européenne impose que les données personnelles collectées par une société pour rendre un service ne puissent être utilisées sans l'accord express de son utilisateur : il s'agit de l’opt-in du citoyen. À comparer à l’opt-out qui prévalait avant et où un citoyen devait spécifiquement interdire l'usage de ses données personnelles. Cette directive a été remplacé par le Règlement général sur la protection des données. C’est un règlement de l’Union Européenne qui constitue le texte de référence en matière de protection des données à caractère personnelle. L’objectif de la mise en place du RGPD (Règlement général sur la protection des données) est de continuer à renforcer la protection des données personnelles.

Suivant les pays, il y a un droit d'accès et de modification. Le droit d’accès se définit comme le droit de savoir si un organisme détient des informations nous concernant. Cela permet donc de les contrôler, les rectifier ou les effacer[4].

Suivant les pays, le refus que l'on utilise les données personnelles dans un but de sollicitation commerciale ne doit pas porter atteinte à l'accès au service initial. Cela préserve donc l'égalité de traitement des personnes.

Le droit à l'oubli se développe, (voir Archivage électronique / Le « droit à l'oubli »)[5].

Chaque personne peut avoir des préférences différentes selon le cas. Certains acceptent d'être sollicités, d'autres refusent, et tout dépend du contexte.

Ainsi les données personnelles peuvent être définies comme suit :

  • soit la juxtaposition du nom/prénom + une donnée personnelle (définition courante aux États-Unis, mais contestée), ce qui constitue en fait des données d'identification et non des données qui sont « personnelles » ;
  • soit des données liées à un individu identifié ou identifiable : son état civil, son adresse IP, ses identifiants, tout type d'adresse (courriel, postale, téléphone, etc.), son numéro de Sécurité sociale (en France), ses caractéristiques biométriques[6] ce qui constitue le bloc d'identification (analogue à la définition USA) mais aussi toutes données qui y sont reliées telles que chats, navigation internet, profil, préférences personnelles ;

Les défenseurs de la vie privée établissent une distinction entre possesseur des données et dépositaire. On peut le traduire d'une autre façon : « mes données sont une extension de moi-même », donc quand on les touche, ou qu'on les utilise je veux le savoir et en connaître le but. Ce serait de ce principe que découlerait le droit d'accès et de modification. Une idée en ce sens serait que toute personne puisse souscrire à un organisme de gestion de mes données qui permettrait de lui rapporter qui a des informations sur lui, quelles sont les informations, pour quels usages elles sont destinées, et qui lui permettraient de les corriger, modifier, supprimer lorsque de droit ;

Les standards de la protection des données personnelles mettent en avant ces deux principes : notice and consent (« notification et consentement »), mais ces deux seules fonctions deviennent difficiles à mettre en pratique vu la complexité des systèmes de collecte d'information disponibles aujourd'hui (internet mais aussi « big data »). En complément de ces deux principes fondamentaux, on trouve également « notice, consent, access and update, data minimization, purpose limitation » ;

Les données sensibles des personnes sont un cas particulier qui requièrent des protections et consentements spécifiques. Cette définition peut varier suivant pays et culture sociale et juridique (en Europe ethnie, religion, préférences sexuelles sont en général considérées comme sensibles).


Galerie de trognes modifier

Voir aussi Une pratique ancestrale donnant des « sculptures vivantes » aux formes singulières

À table modifier

français anglais
Navire cuirassé Ironclad warship
Gloire (cuirassé) French ironclad Gloire
Cuirassé Battleship

En route … modifier

pour la Joie

Références modifier

  1. Matthieu Auzanneau, Or noir, la grande histoire du pétrole, Paris, La Découverte (1re éd. 2015), 881 p. (ISBN 978-2-7071-9062-8), p. 173-176
  2. « Bien durable - Définition », sur alternatives-economiques.fr, Alternatives Économiques (consulté le )
  3. « Le fonctionnement du Web - Apprendre le développement web | MDN », sur developer.mozilla.org, (consulté le )
  4. « Le droit d'accès : connaître les données qu’un organisme détient sur vous », sur cnil.fr (consulté le )
  5. Valentin Hamon-Beugin, « Quatre questions sur le droit à l'oubli », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  6. qu'est-ce qu'une donnée personnelle ?
  7. a et b Dominique Mansion, op. cit., p.5