Utilisateur:Mandrak/A faire/A lire
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L'arc de cercle étoilé correspond à notre Voie lactée.
Textes en ligne divers
modifier- Traduction en calque de l'anglais de Denys d'Halicarnasse — livre V
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Notes
modifier1. : « Vanité des vanités, dit Qohélet ; vanité des vanités, tout est vanité. », Livre de l'Ecclésiaste, chapitre I, verset 2, ou en latin, « Vanitas vanitatum, dixit Ecclesiastes ; vanitas vanitatum, et omnia vanitas ».
2. : La magnifique épitaphe de Simonide mérite le détour (c'est Hérodote qui nous l'a conservée) :
« Ὦ ξεῖν’, ἀγγέλλειν Λακεδαιμονίοις ὅτι τῇδε [Passant, de notre part, va dire à ceux de Sparte,]
κείμεθα, τοῖς κείνων ῥήμασι πειθόμενοι [Que nous gisons ici, ses fils obéissants.] »
3. : Voici ce que dit Tite-Live sur ce fameux sujet, passage traduit sans doute par des générations d'écoliers.
« Alors, les mêmes Sabines, dont l'enlèvement avait allumé la guerre, surmontent, dans leur désespoir, la timidité naturelle à leur sexe, se jettent intrépidement, les cheveux épars et les vêtements en désordre, entre les deux armées et au travers d'une grêle de traits : elles arrêtent les hostilités, enchaînent la fureur, et s'adressant tantôt à leurs pères, tantôt à leurs époux, elles les conjurent de ne point se souiller du sang sacré pour eux, d'un beau-père ou d'un gendre, de ne point imprimer les stigmates du parricide au front des enfants qu'elles ont déjà conçus, de leurs fils à eux et de leurs petits-fils. “Si cette parenté, dont nous sommes les liens, si nos mariages vous sont odieux, tournez contre nous votre colère : nous la source de cette guerre, nous la cause des blessures et du massacre de nos époux et de nos pères, Nous aimons mieux périr que de vivre sans vous, veuves ou orphelines.” Tous ces hommes, chefs et soldats, sont émus ; ils s'apaisent tout à coup et gardent le silence. Les chefs s'avancent pour conclure un traité, et la paix n'est pas seulement résolue, mais aussi la fusion des deux états en un seul. Les deux rois se partagent l'empire, dont le siège est établi à Rome. Ainsi, la puissance de Rome est doublée. »
— Tite-Live, Ab Urbe condita, livre I, § 13.
4. : Pindare écrivit : « (le soleil) chevauche, chevelure tombante, dans un brasier resplendissant » (fr. 356)
« (Ἥλιος) ἱππεύει πυρσῷ
κατάκομος λάμποντι. »
— Πίνδαρου