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Utilisateur:Leonard Fibonacci/Hérodion de Patras

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Hérodion de Patras et l'Archangel Selaphiel (1840, Russie)
Erastus (en), Olympas, Hérodion, Sosipater, Quartus et Tertius (extrait du Ménologe de Basile II)

Hérodion de Patras (également appelé Hérodien ou Rodion ; grec : Ἡρωδίων, ρωδιανός, Ῥοδίων ) serait le parent de Paul de Tarse que « l'apôtre » salue dans l'Épître aux Romains (16:11). Selon la tradition, il faisait partie des Septante disciples et devint évêque de Patras, mais cette ville serait plutôt la ville qui au Ier siècle était appelée Nouvelle Patras en Phtiotide.

Il est associé avec Erastus (en), Olympas, Sosipater, Quartus et Tertius. Tous auraient été exécutés à Rome le jour même où l'apôtre Simon Pierre a été crucifié. Il est fêté le 4 janvier.


Exploration

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Il comptait parmi les soixante - dix apôtres . Il était un membre de la famille de l' apôtre Paul ( Romains 16:11) et un évêque de Neoparthia, où il a beaucoup souffert. Après l'avoir battu, lapidé et poignardé, ils l'ont laissé pour mort, mais Saint-Hérodien s'est levé et a continué à servir les apôtres.

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Enragés par la prédication du disciple, les adorateurs d'idoles et les Juifs tombèrent d'un commun accord sur saint Hérodion. Ils commencèrent à le frapper avec des bâtons et à le peler de pierres. Un membre de la foule l'a frappé avec un couteau et le saint est tombé. Mais quand les meurtriers furent partis, le Seigneur le rétablit indemne.

Saint Hérodion a accompagné l'apôtre Paul pendant des années. Lorsque le saint apôtre Pierre a été crucifié (environ 67 ans), saint Hérodion et saint Olympe ont été décapités par l'épée au même moment.

Saint Hérodion a enduré de terribles souffrances pour le Christ et a été jugé digne d'une couronne de martyr. Il est également commémoré le 10 novembre.

Associés

Il est associé à Agabus, Asyncritus, Rufus, Phlegon et Hermès font partie des soixante-dix apôtres, choisis par Christ et envoyés par lui pour prêcher (Synaxis des soixante-dix apôtres: 4 janvier).
[...]

Le saint apôtre Agabus était doté du don de prophétie. Il a prédit (Actes 11: 27-28) la famine pendant le règne de l'empereur Claude (41-52) et a prédit les souffrances de l'apôtre Paul à Jérusalem (Actes 21:11). Saint Agabus prêcha dans de nombreux pays et convertit de nombreux païens au Christ.

Saint Rufus, que le saint apôtre Paul mentionne dans l'épître aux Romains (Rom. 16: 11-15), était évêque de la ville grecque de Thèbes. Saint Asyncritus (Romains 16:14) était évêque à Hyrcania (Asie Mineure). Saint Phlegon était évêque dans la ville de Marathon (Thrace). Saint Hermès était évêque en Dalmatie (il y a un autre apôtre des soixante-dix du nom d'Hermas, évêque de la ville thrace de Philippopolis).

Tous ces disciples pour leur service intrépide au Christ ont subi des souffrances féroces et ont été jugés dignes d'une couronne de martyr.

Asyncritus, Rufus, Phlegon et Hermès

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Asyncritus, Rufus, Phlegon et Hermès, auxquels il est associés pour sa fête seraient les mêmes que ceux qui sont mentionnés l'Épître aux Romains.

Asyncritus

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Asyncritus "gloire des Apôtres" et rempart de l'Hyrcanie" ; "l'Hyrcanie a été heureuse de vous recevoir pour son apôtre". Selon la synopse de saint Dorothée, "Asyncritus est mentionné dans l'Épître aux Romains et a été évêque d'Hyrcanie".

Phlégon

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Le catalogue des 72 disciples et la Synopse de saint Dorothée de Tyr indique que Phlégon a été institué (premier) évêque de Marathon. Les Cahiers Moscovites contiennent le même type d'information. Les Églises orientales l'appellent Divinus Phégon" (Divin Phlégon).

Hermès

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"Hermès différent d'Hermas, auteur du Pasteur, comme on le voit dans l'Épître aux Romains", membre des 72 "selon Hippolyte et les Grecs". Hipp., Doroth. et Menaea (Ménologe ?) disent qu'il était évêque de Dalmatie.

Rufus, Alexandre et Simon le Cyrénéen

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Rufus, Alexandre annonçèrent le royaume de Dieu en Ègypte, Afrique, Grèce, Rome, Espagne et Asie. C'est ce Rufus que Paul salue dans l'épître aux Romains, ainsi que « sa mère qui est aussi la mienne. » Polycarpe dans sa lettre aux Philippiens (vers 107 ?) fait l'éloge de la constance de Rufus. Dorothée de Tyr, Flavis L. Dexter, Adon, Pierre des Noëls, les traditions chrétiennes de l'Espagne et d'autres, indiquent qu'après avoir prêché en plusieurs pays, Rufus fut d'abord évêque de Thèbes, puis alla fixer son siège épiscoparl à Dortose ou Tortose, ville de la province de Catalogne. Les bréviaires de l'église de Tortosae rapporte aussi cette tradition. Des auteurs de Chroniques comme Moralès, Marietta, Vincent Dominique racontent l'histoire de son apostolat. La Catalogne l'honore le 12 novembre avec le titre d'évêque de Tortose, alors que le Martyrologe romain l'honore le 21 novembre, tout en disant qu'il n'a pas été mis à mort .

Toutefois, il semble qu'il existe un deuxième Rufus à Philippe de Macédoine que le Martyrologe romain fête le 18 décembre (alors que l'autre l'est le 21 novembre). Rufus et Zozime, martyrs, qui furent disciples qui fondèrent l'2glise primitive parmi les Juifs et les Gentils. Polycarpe, dans son épître aux Philippiens, parle de leur bienheureux martyre.

Zozime (ou Zosime) compagnon de Rufus se serait aussi attaché à son frère Alexandre. Suit l'histoire d'Alexandre évêque d'Avignon qui part de la ville lorsque Lazare, Maximin, Trophime, Saturnin et d'autres arrivent en Gaule et va se rapprocher de Rufus (son frère ?) en passant en Afrique et est martyrisé à Carthaga avec Zozime et Candide (le Martyrologe d'Adon ajoute Pipérion et 20 autres compagnons)

Roufos - Rufus ?

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Rouphos aurait subi le martyre sous Néron, le même jour que l'évêque de la Nouvelle Patras (Nétov natourv = "Ynàxr]), Hérodion, et quatre autres martyrs. De plus, d'après le Ménée (Mnvaïov) du 8 avril et le synaxaire, 1 19. À Panayia Lontza ...

Sources

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Pour commencer

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Originaire de Tarse, en Cilicie, Asie Mineure, Hérodion est un parent de saint Paul, l'apôtre des Gentils, au 1er s. Il l'accompagne à Rome lors de sa seconde captivité, devient prêtre, puis évêque de la Nouvelle- Patras, en Grèce. Il aurait subi le martyr à la fin du Ier siècle. (8 avril)

Nouvelle-Patras

8 avril Saints Apôtres HÉRODION, évêque d'Hypatie (Nouvelle Patras) en Phtiotide et martyr, AGABOS, RUFUS, évêque ... Office à saint Hérodion seul traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IV du Supplément aux Ménées.

Constitutions apostoliques, Ménologes grecs, Martyrologes romains

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Listes de disciples

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Les auteurs sont partagés sur la désignation de cette Nouvelle Fatras, dont S. Hérodion était évêque. Les uns pensent qu'il s'agit de Patras où a souffert saint André, d'autres pensent qu'il s'agit d'une ville de Lycie où il y avait une colonie grecque. D'autres disent qu'il fut ensuite évêque de Tarse en Cilicie.

Sources récentes

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Herodion (d. first century) + Martyr withAsyncritus and Phlegon. He was a relative of St. Paul (Rom 16:11). and he and his companions were bishops. Herodion served in Patras, Greece; Asyncritus at Marathon, Greece; and Phlegon 300.

HÉRODION, parent de S. Paul (cf. Rom, xvi, 11), dont on a fait un évêque de Tarse ou un évêque de Néo-Patras en Achaie. Il est commémoré comme martyr à la date du 8 avril.Voir Dictionnaire de la Bible, III, 654. Ajouter à la bibliogr. : A.S. ...

On the Latin Church of New Patras (Hypate, Phthiotis) during the period of Catalans (1318–1388). Leontsini. Pahlitzsch, Johannes: Zur ... Two saints with the name of Herodion are identified. The first belongs to the Seventy Disciples and ...

  • [Hero'dion ('Hpwéiwy, a deriv. from Herod), a Christian at Rome to whom Paul sent a salutation as his kinsman (Rom. xvi, 11). A.D. 55. According to Hippolytus, he became bishop of Tarsus, but according to others, of Patra. Cyclopedia of Biblical, Theological, and Ecclesiastical Literature, Volume 4], John McClintock, Baker Book House, 1981

Hero'dion ('Hpwéiwy, a deriv. from Herod), a Christian at Rome to whom Paul sent a salutation as his kinsman (Rom. xvi, 11). A.D. 55. According to Hippolytus, he became bishop of Tarsus, but according to others, of Patra.

  • etc. (poursuivre au delà de 1979)

Sources hagiographiques récentes

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Recherche google-livres

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À partir de 1950
40 dernières années
30 dernières années

Ménologe, Ménée

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Ménologe

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Un ménologe (du grec ancien : μήνολoγιον, mênologion, de μήν, « mois » et λόγος, « discours » : « tableau des mois »)[1] est un ouvrage contenant la liste mensuelle des fêtes à célébrer. Les ménologes trouvent leur origine dans les Églises d'Orient — Églises orthodoxes et Églises catholiques de rite byzantin. Le premier ménologe oriental contenait les fêtes fixes relatives à Jésus-Christ, auxquelles s'ajoutèrent au fil des siècles les fêtes de la Vierge Marie et les fêtes des saints. L'ouvrage équivalent dans l'Église catholique romaine s'appelle martyrologe. On qualifie aussi de ménologe une icône-calendrier.

Menaion, Ménée

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Le Menaion du grec ancien : Μηναῖον, slavon d'église : Минеѧ, Minéya, « mensuel ») est le rituel, ou ouvrage liturgique, utilisé par les Églises d'Orient — Églises orthodoxes et Églises catholiques de rite byzantin — pour les célébrations fixes du calendrier, c'est-à-dire celles qui ne dépendant pas de la date de Pâques, .

Le Menaion est le recueil le plus large des propres du rite byzantin et est utilisé pour presque tous les services quotidiens.

Marie la Magdaléenne en Provence

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  1. ↑ Google Livres : Jean Baptiste Glaire, Dictionnaire universel des sciences ecclésiastiques. Tome second, Librairie Poussielgue Frères, Paris, 1868
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