Etre humain né à la fin du XX siècle dans la pleine poussée néo-libérale des années 80. Il se caractérise par un réveil intellectuel plutôt tardif et peu cloisonné en termes de thèmes de prédilection qui vont de la philosophie a l'agriculture en passant par les arts et la politique. Le jeu de l'éducation l'amène à suivre la chaire néo-marxiste autrefois portée par René Dumont ou il approfondit l'agronomie, l'économie du développement, puis le commerce équitable, avec lequel il est en rupture très rapidement. Très tôt attiré par le journalisme, il co-lancera quelques journaux étudiants qui reçurent quelques modestes prix. Suite à une réflexion entreprise sur un blog [1] à partir d'un entretien de Castoriadis[2], il cherche et propose des solutions pour résoudre certaines problématiques écologiques. Proche du mouvement de la décroissance, de la permaculture, il essaye toutefois d'inscrire son parcours dans une approche la plus transversale et philosophiquement universaliste possible. Son blog se fait l'expression de cette approche pouvant être jugée comme dilettante, passant de la démographie[3] a la sociologie[4], de l'agronomie [5] a la philosophie [6], de l'architecture[7] a l'Histoire[8], mais en fait toujours gouverné par la problématique de la justice et de l'écologie politique. Il est tout d'abord introduit au penseur anti-libéral Jean-Claude Michea, critique acerbe de la modernité et du libéralisme. Il redécouvre alors en réaction à ce penseur la pertinence du projet libéral initial, l'inefficacité de l'étatisme marxiste ou keynésien, et propose en France des projets basés sur l'écologie politique et la libre association.