Je ne m'appelle ni Hubert ni Schwarz.

Ma véritable identité est consignée à l'encre sympathique sur un palimpseste de l'époque mérovingienne, enfermé dans un coffre en tungstène, recouvert de plusieurs épaisseurs de plomb, enrobé de lourdes chaînes, et enfoui à plusieurs mètres de profondeur dans le sous-sol nauséabond des ruines du château de *** (département du ***).

Donc, n'insistez pas.