Utilisateur:Ginobili/Brouillon

Batum, jeune ailier de 2m03, évolue dans le championnat de France de Pro A avec l'équipe du Mans. Joueur très talentueux, Nicolas Batum a mené la génération des joueurs français nés en 1988 et 1989 à de nombreux succès avec les équipes de France cadets et juniors. Malgrès son jeune âge, il est déjà convoité par de nombreuses équipes de la NBA. En 2007, après avoir longtemps hésité, il fait fait finalement le choix de rester en France et de prolonger avec l'équipe du Mans. La saison 2007/2008 s'annonce pleine de défis pour Nicolas Batum qui devra confirmer son statut de grand espoir français. Il devra assumer de nouvelles responsabilités avec son club qui disputera en plus du championnat, la prestigieuse Euroleague. Une saison réussie lui ouvrirait, sans aucun doute, les portes de la NBA en 2008.

mail de Baby Cash (photos équipe de france junior) : ol_eyez_on_me@hotmail.com

Site sur l'histoire du bball

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Article trouvé sur le net modifier

=== 1972 2- URSS - USA, 1972, finale des JO, les fameuses 3 dernières secondes, durée de l’extrait 2.21min. http://www.youtube.com/watch?v=sqCXSSJHwU0

Dans ce match le plus controversé de l'histoire du basket, les américains perdent le titre olympique pour la 1ère fois, mettant fin à une série de 63 victoires consécutives aux JO.

Les américains emmenés notamment par Bobby Jones et Doug Collins sont d'entrée distancés par les soviétiques (7-0 puis 26-21 à la mi-temps). Mais ils reviennent progressivement et ne sont plus menés que d'1pt (49-48 ) sur un panier de Jim Forbe à 40 secondes de la fin. A 10 secondes de la sirène, Tom McMillen contre le tir d'Aleksander Belov et Doug Collins intercepte, traverse le terrain et provoque la faute. Il reste 3 secondes. Le futur coach de Jordan plante les 2LF (49-50 pour les USA).

Vont alors se disputer les 3 secondes les + longues et les plus confuses de l'histoire du basket. Les Soviets remettent en jeu mais un arbitre interrompt la partie alors qu'il reste 1 seconde. Les arbitres décident de refaire jouer l'action avec 3 secondes, mais le chrono est resté bloqué à 1 seconde. L'extrait proposé débute là. Les Soviets shootent donc de leur camp, manquent évidemment et les américains peuvent exploser de joie. Joie de courte durée puisque les arbitres vont à nouveau faire rejouer l'action puisque les 3 secondes n'ont pas été jouées.

Tout le monde semble un peu perdu sur le terrain et Edeshko profite de la confusion pour balancer une passe de l'autre côté du terrain. Belov entre Joyce et Forbes capte le ballon et inscrit le panier au buzzer. Fin du match et début de la polémique, les américains refuseront d'ailleurs la médaille d'argent.


=== 1988 C’est la 1ère rencontre aux JO entre les 2 équipes depuis 1972 et les US ont bien l’intention de prendre leur revanche. L’équipe est belle sur le papier : Hersey Hawkins, Dan Majerle, Mitch Richmond, Danny Manning, JR Reid, David Robinson, entre autres. Mais l’équipe soviétique, avec une génération exceptionnelle de lituaniens (Kurtinaitis, Sabonis, Chomicius, Marciulionis) va mettre fin aux équipes de collégiens américains.

Traduction article Bill Russel modifier

1956 NBA Draft modifier

Lors de la draft NBA 1956, Red Auerbach, le coach des Boston Celtics, avait l'oeil sur Russell. Il lui semblait que ses qualités aux rebonds et aux contres pouvaient combler les carences de son équipe dans ces deux secteurs de jeu. Il s'agissait d'un reél pari pour Auerbach. En effet, à cette époque, la valeur d'un joueur était d'abord définie par ses qualités offensives, la défense n'étant que secondaire.

Toutefois, les chances de pouvoir retenir Russell était mince. Les Celtics avaient terminé deuxième lors de la saison précédente, or les équipes les plus mal classées disposaient des choix de draft les plus haut. Le choix de draft des Celtics était trop bas pour pouvoir sélectionner Russell. En outre, Red Auerbach avait déjà utilisé son choix de draft 'géographique' pour retenir le talentueux ailier Tom Heinsohn.

Auerbach savait que les Rochester Royals, qui disposaient du premier choix de la draft, comptaient déjà dans leur rang un jeune rebondeur prometteur avec Maurice Stokes, de plus, ils ne souhaitaient pas payer à Russell la prime de 25 000 dollars que ce dernier exigeait. Les St. Louis Hawks, avec leur deuxième choix de la draft, retinrent Bill Russell mais manifestèrent leur intérêt pour le pivot des Celtics Ed Macauley. Ce joueur avait déjà été sélectionné six fois au All Star Game et était originaire de Saint-Louis. Auerbach accepta de céder Macauley à condition que les St. Louis Hawks mettent Russell dans la balance. Les Celtics durent ajouter le rookie Cliff Hagan à l'échange pour que les Hawks acceptent. Lors de cette draft les Celtics obtinrent également K.C. Jones, ancien co-équipier de Bill Russell à l'université de San Francisco.

C'est ainsi qu'en une soirée les Celtics parvinrent à drafter trois futurs membres du Hall Of Fame (qui deviendront même tous les trois champions NBA en tant que coach) : Bill Russell, K.C. Jones et Tom Heinsohn.