Utilisateur:Gerardo Moldragon/Vera la felicidad está en ti

Danseurs Brenda Tapia Berrios et José Carlos Trelles Aguilera Spectacle Multiforo Tlalpan à CDMX

Cet article traite de la pièce de théâtre de Omar Kuriansky Aviña, Vera la felicidad está en ti

Vera LE BONHEUR EST EN TOI (en espagnol la felicidad está en ti) est un roman structuré en un acte, a été produite en théâtre, danse et multimédia, commandée par la compagne, Iluminarte producciones en 2017 et sorti en 2019. La musique est composée de soundtracks <<periodo rosa>> de Pedro Almodóvar. C’est la première de ses pièces en tant que dramaturge.Dans la première production, la chorégraphie a été créée par la société Movens Corporea, la critique dramaturge a été menée par David Delgado Gaona, sur la base du livret écrit par Kuriansky extrait du roman Vera la felicidad está en ti.

le premier spectaclea été exposée le 20 octobre 2018 au Multiforo Tlalpan à ciudad de México.Cette pièce de théâtre a été entourée de mésaventures depuis sa première ; comme une courte production initiale, dont il reste quelques enregistrements sur des pages Facebook(ciber Radio),la coordination technique et la chorégraphie de la première mise en scène n’ont pas été synchrones en raison de désaccords techniques entre les parties, car O.Kuriansky (peu familier avec la composition de pièces de théâtre et de danse) a travaillé de manière rapide, innovante et confiante sur un livret qui finirait par déconcerter les chorégraphes Diana Cárdenas Guzmán y Gustavo Sánchez Guzmán, tout cela a conduit à ne pas être appréciée ni par la critique ni par les danseurs, en écoutant des commentaires comme "aucun des danseurs ne travaillera avec toi sur un nouveau projet" Cependant O.Kuriansky se rend en France où il obtiendra les financements FSDIE y CROUS de Montpellier Le Mardi, 28. janvier 2020 en Salle Jean Moulin Montpellier Cette pièce de théâtre rencontre son premier succès avec une nouvelle chorégraphie par Clara Villalba, un casting a été organisé pour le choix des danseurs;PHILIP ESCH, DARIA BESSON, LEA CARVILLE, FELIPE HEREDIA, ANTHONY BALLA, ELENA RODRÍGUEZ, PAUL WARNERY, THIBAULT AZEMA, DIANE FLORIS, les premières idées qu’a eues O.Kuriansky sur le livret de Vera la felicidad está en ti ont été réarrangés, chansons qu’il a choisi à l’origine pour Vera tombe amoureux, le pas de deux Lingerie qu’il garde, La Mort d’Ariel ont été remplacés par Clara Villalba,il s’associe avec D.Delgado Gaona dirigeant la première version de l’application de ILA producciones, en tant que tendance générale au sein de la nouvelle société étudiante, comme que modèle d’innovation pour la danse contemporaine pour le théâtre expérimental movida, en étant invité à participer aux principaux festivals culturels, en raison de la pandémie mondiale du début de 2020 COVID 19 ont été pour la plupart annulées, mais en soutien, il a transmis en direct le spectre enregistré à Montpellier.

Historique

Composition

Les débuts du roman Vera, la felicidad está en ti. Il les réalise en se basant sur ses propres expériences, en s’inspirant du changement de genre de son cousin. O.Kuriansky écrit le roman pensant qu’il serait porté sur les scènes. En étant questionné lors d’une conférence de presse sur les personnages, le commentaire qui a pris soin de la spéculation pour inciter le public à s’identifier avec eux, initiant l’auto-acceptation comme message principal. Le dramaturge s’est appuyé sur le célèbre producteur David Delgado pour poursuivre le projet, où son ami collaborerait jusqu’à la fin des présentations, générant une influence continue sur les décisions de la production, a fait alliance avec le directeur de la compagnie de spectacles Luminaria, Enrique Fernández fournit ses installations pour les essais, les écrans LED et l’éclairage, bientôt, il commence à chercher des artistes qui participent à la création en trouvant différentes chorégraphies qui ne correspondent pas à l’avancement du scénario technique (numéro de registre 03-2018-072409593700-01 24 juillet 2018) Ayant à sacrifier la santé pour le stress décide d’essayer avec la danseuse Cárdenas Guzmán Diana, qui jouerait le rôle de la mère de Vera, Elle s’appuie sur le chorégraphe Sánchez Guzmán Gustavo,il réalise la plupart de la chorégraphie et, fournit le corps de danse à ce moment de la compagnie Movens corporeaayant comme premier danseur Daniel Vargas par manque d’organisation du dramaturge, il abandonnerait l’essai général en se référant à lui peu professionnel, en écrivant un message où il se réservait le droit de danser, Cardenas interviendra pour le projet d’annoncer à la dernière minute que Vargas dansera à la première. Quand Sanchez a commencé la chorégraphie une fois le script technique terminé, il a demandé quelques changements à Kuriansky. En exigeant l’ajout d’un autre danseur pour le personnage de Vera, Sanchez indiquait clairement qu’il allait jouer un rôle très important dans la création de cette pièce. Bien qu’il ait été demandé aux deux artistes de travailler ensemble, chacun semblait préférer travailler indépendamment l’un de l’autre.

Influences de Kuriansky.

Du début du Xxe siècle au début des années 1990, au Mexique, les pièces de danse narrative étaient réalisées par des "spécialistes". Des chorégraphes qui étaient très doués pour créer des danses, décoratives, mélodieuses et synchrones, qui étaient alors en vogue pour la danse. Kuriansky a étudié le travail de ces "spécialistes", comme la danseuse et chorégraphe Gloria Contreras Roeniger et la Méxicana Sylvie Reynaud, directrice de Compañía Nacional de Danza del Instituto Nacional de Bellas Artes, avant de travailler chez Vera la felicidad está en ti. Kuriansky avait une opinion assez éloignée des travaux en ballet "spécialiste" jusqu’à ce que je travaille dans les spectacles, a étudié les détails, étant impressionné par la variété presque illimitée dans la conception de la production, Kuriansky admire plus qu’aucun autre travail de ballet celui des enlumineurs comme Marc Antonio Barragan, Pierre Inguanzo et Raphaël Morales. Plus tard, il écrira à son protégé, le technicien de l’éclairage Javier Alcalá,"Choisis tes maîtres, ils feront la différence dans ta réalité." Kuriansky admirait énormément les productions en salle Covarrubias, centre cultural UNAM, et la compagnie nationale de théâtre, en associant certaines couleurs avec certains personnages ou des états d’esprit, une technique qu’il rencontrerait dans La belle au bois dormant et plus tard avec l’atelier chorégraphique de la maîtresse Contreras.