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Lorrie Jean-Louis
modifierLorrie Jean-Louis est une poète née à Montréal.
Biographie
modifierLorrie Jean-Louis naît à Montréal de parents haïtiens. Elle complète un baccalauréat en histoire, culture et société avec une mineure en philosophie[1] avant de faire une maîtrise en études littéraire à l'Université du Québec à Montréal, soumettant sa thèse intitulée « Corps noir et intersubjectivité chez Beyala, Gordimer et Morrison »[2]. Elle complète ensuite une maîtrise en bibliothéconomie[3].
Son poème « XXX » paraît dans le collectif Chairs, dirigé par Marie-Ève Blais et Olivia Tapiero, en septembre 2019.
[EMPLOIS]
De 2017 à 2018, elle contribue au site HuffPost Québec. Elle écrit ensuite pour la revue Liberté, dont elle fait partie du comité de rédaction depuis 2019[4], et pour la revue Lettres québécoises.
En juin 2020, elle publie aux éditions Mémoire d'encrier son premier recueil poétique, La femme cent couleurs, (REF) dont un poème [LEQUEL?] figure* dans l'Anthologie de la poésie actuelle des femmes au Québec en 2021[5]. [RÉSUMÉ]
En 2021, la poète reçoit le Prix des libraires du Québec dans la catégorie poésie[6], le Prix du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) - Œuvre de la relève à Montréal 2020[7], et le Prix de l'artiste émergent.e 2020 de Primary Colours/Couleurs primaires[8]. La même année, elle est choisie pour faire partie du jury du Prix de poésie Radio-Canada[9].
En août 2021 paraît chez Édito son deuxième livre, un texte de littérature jeunesse intitulé Philibert, le garçon qui pliait son cœur et illustré par Nahid Kazemi[10]. [RÉSUMÉ]
Œuvres
modifierRecueil poétique
modifier- La femme cent couleurs, Montréal, Mémoire d'encrier, coll. « Poésie », , 104 p. (ISBN 9782897126889).
Littérature jeunesse
modifier- Philibert, le garçon qui pliait son cœur (ill. Nahid Kazemi), Québec, Édito jeunesse, , 24 p. (ISBN 9782898260346)
Contributions
modifier- « Colonialisme et gratitude », Liberté, no 322, , p. 28-29.
- « Loup-Garou », dans Marie-Ève Blais et Olivia Tapiero, Chairs, Montréal, Triptyques, coll. « Encrages », , 204 p. (ISBN 978-2-89801-077-4), p. 65-82.
- « Joséphine Bacon. Dignes femmes illégitimes », Liberté, no 325, , p. 17-19.
- « Quand j'étais Ken », Liberté, no 327, , p. 52-54.
- Lorrie Jean-Louis et Jessie Mill, « Catherine Blondeau : Un théâtre de la relation », Liberté, no 329, , p. 19-25.
- « Une inquiétante familiarité », Liberté, no 330, , p. 36.
- « Je me tais ou je crie », Lettres québécoises, no 180, , p. 46-47.
Références
modifier- « Lorrie Jean-Louis | Les voix de la poésie », sur www.lesvoixdelapoesie.com (consulté le )
- Lorrie Jean-Louis, « Corps noir et intersubjectivité chez Beyala, Gordimer et Morrison », sur archipel.uqam.ca, (consulté le )
- « Lorrie Jean-Louis | Les voix de la poésie », sur www.lesvoixdelapoesie.com (consulté le )
- « L’actualité des livres », sur La Presse+, (consulté le )
- Anthologie de la poésie actuelle des femmes au Québec (lire en ligne)
- Zone Arts- ICI.Radio-Canada.ca, « Ténèbre , de Paul Kawczak, meilleur roman au Prix des libraires du Québec », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- (en) « Lorrie Jean-Louis reçoit le prix Œuvre de la relève à Montréal », sur Conseil des arts et des lettres du Québec (consulté le )
- « 2020 Prix de l’artiste émergent.e - Lorrie Jean-Louis - Couleurs primaires », sur primary-colours.ca (consulté le )
- ICI Radio-Canada- Radio-Canada.ca, « ICI on lit | ICI Radio-Canada.ca », sur Radio-Canada (consulté le )
- « Un premier livre jeunesse pour la poète Lorrie Jean-Louis », sur La Presse, (consulté le )