Utilisateur:Christophe Verna/Christophe Verna

Christophe Verna, né le à Paris 1er, est un personnage éclectique.

Biographie

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Après avoir exercé divers petits métiers, il part à l'armée dont il sort en 1969 après 16 mois d'un ennui profond.

Il est embauché comme assistant photographe de mode durant six mois, puis passe trois mois à l'abbaye de la Pierre-qui-Vire (Saint-Léger-Vauban)[1] pour décompresser.

Il devient grutier et pose une partie des énormes blocs de pierres situés sur la face exposée à la mer de la nouvelle (en 1970) digue des Minimes de La Rochelle[2], l’acquisition, à crédit, d’un Dundee[3], le "Pas sans Peine" [4] échoué sur la cale pour manque d’étanchéité de sa coque, lui permet de se loger après qu’il en ait refait le calfatage.

Revenu chez ses parents à Épinay-sur-Seine, il devient marchand de pommes de terre au porte à porte, son affaire est prospère lorsqu’il subit un grave accident de moto.

Après diverses pérégrinations, il pose son sac dans une petite maison située sur les terres du Mont d’Onel [5] et vend des surplus américains sur les marchés de Dordogne. Cette activité, assez peu lucrative, fait que Christophe écoute avec intérêt son copain Doudou, sénégalais qui vend de « véritables souvenirs africains », il lui décrit son prochain retour au Sénégal dans une 404 Peugeot, acheté 150 , il la vendra dix fois plus cher après un voyage d’une semaine en passant par la Mauritanie, Christophe part illico acheter la carte 153 de l’Afrique du sud-ouest, se fait expliquer le parcours par Doudou et ne met pas longtemps à prendre sa décision. Il prend rendez-vous avec ce dernier à Saint Louis du Sénégal où il ne parviendra jamais, cette aventure qui durera huit ans, est relaté dans un livre intitulé « Yovo, yovo, bonsoir. » [6],[7]

En 1988, il transforme la boutique d’un marchand d’outillage située en face de la patinoire de Bordeaux en restaurant qu’il baptise « Le Vistamboir » [8], réponse que lui faisait son grand-père quand il ne connaissait pas le nom de l’objet sur lequel Christophe l’interrogeait, une fois à peu près installé, il loue un petit local dans lequel il exerce son hobby consistant à fabriquer des automates. Ce restaurant est vendu en 1994 ; avec l’argent réalisé, il achète et réhabilite l’ancien syndicat des dockers de la ville de Bordeaux qui avait été pillé et squatté durant des années [9] afin de continuer la fabrication d’automates et de sculptures animées et sonores sous le pseudonyme d’Hector Narphivès, anagramme de ses nom et prénom [10], un peu plus tard, il agrémente son établissement d’une girouette [11], à partir de 2007, il complète ses activités en devenant inventeur[12] [13] [14].

Inventions

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Ses inventions favorites sont :

1° Un système de climatisation/chauffage écologique de tous les véhicules roulants ayant fait l’objet d’une interview dans l’émission « votre auto » de Radio Monte-Carlo [15] parution dans le site « écologie appliquée » [16] et sur bien d’autres [17]

2° Une voile libre auto portée pour cargos [18]

3° Un aménagement architectural consistant à mettre des miroirs autour des fenêtres afin d’effacer le mur (d'où le nom de "gomme à effacer les murs" donné par son inventeur) et de renvoyer la lumière vers l’intérieur de la pièce qui en est dotée [19],[20].

4° L’hydrolienne de gou-Verna-il qui est un générateur d‘électricité réversible positionné sur le gouvernail d’un bateau (un peu comme une dynamo sur un vélo) [21].

Notes et références

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Liens externes

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