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Test de création d'article :
modifierJeu de société
| Auteur | Bruno Cathala et Ludovic Maublanc |
|---|---|
| Illustrateur | Miguel Coimbra |
| Éditeur | Matagot |
| Date de 1re édition | 2009 |
| Joueur(s) | 2 à 5 |
| Âge | À partir de 14 ans |
| Durée annoncée | 60-90 minutes |
Cyclades (jeu)
modifierCyclades est un jeu de plateau créé par Bruno Cathala et Ludovic Maublanc. Il a été illustré par Miguel Coimbra[1]. Dans ce jeu de développement et de conquête chaque joueur incarne le chef d’une cité-état de la Grèce antique encore non unifiée : Sparte, Athènes, Corinthe, Thèbes et Argos. Leur but est de se développer et de s’affronter dans l’archipel des Cyclades avec l’aide des Dieux et de créatures mythologiques afin d’assurer leur suprématie[2],[3].
Principe
modifierLe but du jeu est d’être le premier à posséder deux métropoles. Les 3 moyens pour y arriver sont de construire quatre bâtiments (un port, une université, un temple et une forteresse) à l’aide des dieux : la possession de ces quatre bâtiments entraine la formation d’une métropole. Un autre moyen est, avec l’aide du dieu de la guerre, de conquérir l’île d’un adversaire afin de lui voler sa métropole. Et enfin, le dernier moyen est de rassembler quatre philosophes à l’aide de la déesse de la sagesse ce qui permet la construction d’une métropole. Le joueur doit donc mettre en place des stratégies pour réussir à atteindre ce but.
Chaque tour se déroule de la même manière : les joueurs reçoivent leur revenu sous forme de Pièces d’Or (PO) en fonction de la production de leur île et du commerce maritime (illustré par des cornes d’abondance). Ensuite, les joueurs doivent faire des offrandes au dieu dont il souhaite obtenir les faveurs : Arès, Athéna, Poséidon, Zeus ou Apollon (qui ne nécessite pas d’offrande). Chaque dieu permet au joueur de réaliser des actions spécifiques au cours du tour de jeu, son choix doit donc être dument réfléchi en fonction de sa stratégie, à moins que son nombre de pièce d’or l’en empêche.
Pour avancer dans sa conquête le joueur peut aussi s’aider des créatures mythologiques disponibles durant le tour.
Le jeu se joue de 2 à 5 joueurs et disposent de différents plateaux et de dispositions initiales différentes en fonction du nombre de joueur. Les parties durent généralement plus de 1 heure mais dépendent du nombre de joueurs.
Récompenses
modifier- 3e prix des Swiss Gamers Award 2010[4]
Activité 1 : Casbah
modifierLa casbah ou vieille ville d’Alger tire son nom de la citadelle qui la surplombe[5]. Elle est un exemple important de ville historique au Maghreb[6]. Le secteur de l'artisanat dans la Casbah, autrefois florissant, est de nos jours en déclin, concurrencés par les produits manufacturés[7]. Le tourisme est en revanche stimulé par sa nomination au Patrimoine mondial de l'UNESCO[6],[7].
Activité 2 : Renard
modifierLe renard roux, qui tire son nom de la couleur de sa fourrure[8], est un animal présent dans de nombreux pays à travers le monde[8],[9],[10]. Il est souvent décrit comme rusé, voir même nuisible pour l'homme[8],[9]. Il possède en tout cas une bonne faculté d'adaptation à de nouveaux environnements, y compris urbains[8],[9]. Son régime alimentaire est carnivore[8],[9],[10].
Notes et références
modifier- « Cyclades: jeu de société chez Jeux de NIM », sur www.jeuxdenim.be (consulté le )
- « Cyclades (2009) », sur Tric Trac (consulté le )
- https://www.jeuxavolonte.asso.fr/regles/cyclades.pdf
- « Swiss Gamers Award », dans Wikipédia, (lire en ligne)
- Saïd Almi, Urbanisme et colonisation: présence française en Algérie, Editions Mardaga, , 159 p. (ISBN 978-2-87009-812-7, lire en ligne), p. 144
- UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Casbah d'Alger », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le )
- Mélissa Chemam, « A Alger, les artisans de la Casbah tentent de sauver leur héritage », sur RFI, (consulté le )
- Futura, « Renard roux », sur Futura (consulté le )
- Hélène Dubarry, « Le renard roux », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- Michel Vallance, Faune sauvage de France: biologie, habitats et gestion, Le gerfaut, , 415 p. (ISBN 978-2-35191-030-6, lire en ligne), p. 242