Trophée de France 1908

Le Trophée de France 1908 est la 2e édition du Trophée de France, une compétition de football de fin de saison organisée par le Comité français interfédéral entre les champions de chaque fédération qui le compose.

Trophée de France 1908
Généralités
Sport Football
Organisateur(s) CFI
Édition 2e
Lieu(x) Drapeau de la France France
Date Du 20 avril au 3 mai 1908
Participants 3 clubs
Matchs joués 2

Palmarès
Vainqueur Patronage Olier
Finaliste SM Puteaux

Navigation

La compétition est remportée par le Patronage Olier, champion de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France, qui bat en finale le SM Puteaux, champion de la Fédération cycliste et athlétique de France.

Participants

modifier

Le Patronage Olier est choisi comme représentant de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF) en tant que champion de Paris. Une semaine après son entrée dans la compétition, le Patronage Olier devient effectivement champion de France des patronages en battant les Cadets de Bretagne par huit buts à zéro[1].

Participants au Trophée de France 1908
Club Ville Fédération
Société municipale de Puteaux Puteaux Fédération cycliste et athlétique de France (FCAF)
Patronage Olier Paris Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF)
SA Montrepos Bordeaux Fédération athlétique du Sud-Ouest (FASO) et Fédération athlétique d'amateurs (FAA)

Compétition

modifier

Demi-finale

modifier

La demi-finale a lieu le lundi [2].

La finale lieu le dimanche entre le Patronage Olier et le SM Puteaux. Le match ne va pas à son terme, le terrain étant envahie par les spectateurs alors que le Patronage Olier mène déjà par trois buts à zéro après moins d'une demi-heure de jeu. Le score est considéré comme tel[3].

Références

modifier
  1. « La vie sportive - Football association », Le Matin, no 8826,‎ , p. 5 (lire en ligne)
  2. « La vie sportive - Football association », Le Matin, no 8820,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  3. « La vie sportive - Football association », Le Matin, no 8833,‎ , p. 5 (lire en ligne)